BREIZATAO – PENNADSTUR (09/10/2014) Alors que les projections les plus pessimistes indiquent que le virus Ebola pourrait – d’ici à la fin de l’année – faire 277 000 cas, l’humanitarisme pathologique doit être combattu. L’heure est venue de suspendre toutes les liaisons aériennes avec l’Afrique noire de l’Ouest.
Prévisions apocalyptiques
Ce à quoi nous avons à faire peut, potentiellement, prendre des proportions inouïes, à l’instar de la Peste Noire au Moyen-Âge. Ebola, pour l’heure n’est que difficilement traité par une combinaison de traitements expérimentaux. Sa létalité – 50% au minimum – en fait une menace considérable. D’autant plus que les modèles informatiques basés sur la dynamique du virus sont terrifiants : le virus pourrait tuer 1,1 milliard d’individus d’ici au 9 octobre 2015, selon les projections d’un expert en modélisation informatique des pandémie. Ce dernier se base sur une donnée objective : le nombre de cas double toutes les trois semaines.
L’humanitarisme et l’antiracisme ont un coût
Si des infirmiers ou des aides veulent exposer leur vie dans ces pays, ce ne peut, en aucune façon, se faire au prix de la sécurité des peuples d’Europe. Les rapatrier sur notre sol, alors qu’ils sont atteints d’une maladie mortelle et ultra-contagieuse, relève de la folie suicidaire dont nous avons parlé plus haut.
Les bobos vont découvrir la terreur en marche, les villes bouclées demain, peut-être. A force de vouloir sauver ces populations malgré elles, le gouvernement français nous a tous exposés à un risque. Les illuminés de l’altruisme pathologique doivent assumer totalement et seuls leur solidarité préférentielle pour des allogènes.
Fermer les frontières avec l’Afrique
Les épidémologistes américains sont formels : il faut d’urgence fermer les frontières avec l’Afrique de l’Ouest, foyer de pestilence. Il en va de la sécurité des Américains. De la même façon, l’inconséquence criminelle des paternalistes africanophiles en Europe ouvre grand la voie à une vaste pandémie potentielle sur le Vieux Continent.
Lampeduza, Calais mais aussi Paris vont devenir, par évidence, les portes d’entrée du virus. Laisser béantes les portes de l’Europe, c’est organiser sciemment la survenue de cette maladie sur le sol européen. L’humanitarisme pathologique menace littéralement la vie de millions de nos compatriotes.
Mais cela ne suffit pas, il faut encore rapatrier les allogènes qui constituent le vecteur essentiel de toute menace de contamination. Il faut donc tarir la source même d’une possible contamination.
Si nous ne prenons pas des mesures drastiques pour nous préserver d’un tel scénario, nous savons par avance ce qu’il va se passer. Et à qui nous le devrons.
Commentaires
ces avertissements ne changeront pas les volontaires européens de se rendre en Afrique pour aider les personnels sur place , au nom de la fraternité humaine et autres sornettes , le problème étant qu,ils et elles peuvent revenir contaminés et le transmettre à la population, mais qu,importe . . .
il faut pas stigmatiser comme le dit si bien le sieur Cazeneuve . .!!
plus de 1 milliards d,individus en moins sur la planète selon la projection, se veut-il rassurant ??
salutations.