Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Discours de Fabrice Robert aux Assises de la remigration

Remigration.jpg

Partager sur Facebook Tweeter 

 

17/11/2014 – PARIS (NOVOpress)
Mesdames, Messieurs,

Les guerres politiques sont des guerres idéologiques et les guerres idéologiques sont des guerres conceptuelles et sémantiques. Les mots sont des armes, certes, mais les mots sans concepts sont des armes chargées à blanc.
Le colloque que nous tenons aujourd’hui vise à n’être ni plus ni moins que les fondations de l’arsenal dont la France et l’Europe ont besoin pour prendre l’offensive dans cette guerre politique, idéologique et conceptuelle qui nous est faite et que, depuis plusieurs décennies, nous subissons. Il s’agit d’armes de légitime défense, non létales, comme l’on dit dans le jargon administratif. J’insiste sur ce double point :

Premièrement, la remigration n’est pas un concept agressif, c’est, au contraire, un concept de protection utile à tous.

Ne nous lassons jamais à l’avenir de le répéter : remigrer, c’est la paix pour chacun. L’immigration, c’est la guerre pour tous.

Secondement, la remigration est une arme de paix, de concorde, qui, si elle n’est pas utilisée, laissera place à des situations que, par commodité on appellera à la libanaise, et là, dans ce cas, ce sont hélas d’autres armes, de vraies, qui auront le champ libre. Disant cela, nous ne proférons aucune menace, nous constatons seulement que la guerre d’intensité modérée que nous subissons actuellement changera d’ampleur et de nature si, d’aventure, la remigration n’était pas transférée du domaine conceptuel au domaine pratique.

Ne nous lassons jamais à l’avenir de le répéter : remigrer, c’est la paix pour chacun. L’immigration, c’est la guerre pour tous.

Une fois ceci posé, comment mettre en place cette remigration ?

D’abord, en faisant en sorte qu’elle soit la plus naturelle possible. En d’autres termes, qu’elle vienne des migrants. On ne vient pas boire à une source tarie. Pour atteindre ce but, il faut deux choses : un cadre législatif et une volonté politique.

 

fabrice-robert-discours-assises-remigration.jpg

Le cadre législatif est la chose la plus aisée à obtenir dès lors qu’un gouvernement national serait mis en place. Où fixer le curseur ? Jusqu’où aller et quel mince filet d’eau doit-on laisser couler pour rester fidèle à ce que l’on appelle la tradition d’accueil de la France ? La question ne doit pas relever de la morale, mais du pratique : quel budget la France peut-elle encore consentir pour abriter des populations étrangères ? De ce budget découle tout le reste, à commencer par le cadre législatif. Ce que des lois ont fait, d’autres le déferont.

La loi n’est pas une morale, elle est l’expression d’une volonté, celle du peuple. Pas seulement au sens de 1789 et d’une souveraineté théorique donnée en hochet aux masses, mais au sens d’une entité vivante, consacrée par l’histoire, une entité ethnique et culturelle. Mais cette volonté du peuple encore faut-il qu’elle trouve un débouché politique animé lui-même d’une force de caractère à la hauteur des enjeux historiques.

La volonté politique est donc une autre affaire que le législatif car elle relève d’un plan supérieur. Cette volonté exigera de celui – ou de celle… – qui gouvernera la France en 2017 de ne pas céder, ni à l’Europe de Bruxelles, ni aux lobbies de gauche. Dans ce but, son meilleur bouclier sera le soutien populaire. En d’autres termes, et c’est sur ce point qu’il convient d’insister, la question de la remigration devra être inscrite dans un programme afin de pouvoir en retirer une légitimité d’action. Être inclus dans un programme n’assure nullement la réalisation d’un projet, mais, du moins, il s’agit d’une garantie double.

La loi n’est pas une morale, elle est l’expression d’une volonté, celle du peuple. Pas seulement au sens de 1789 et d’une souveraineté théorique donnée en hochet aux masses, mais au sens d’une entité vivante, consacrée par l’histoire, une entité ethnique et culturelle. Mais cette volonté du peuple encore faut-il qu’elle trouve un débouché politique animé lui-même d’une force de caractère à la hauteur des enjeux historiques.

D’abord, je viens de le dire, pour ceux qui, nous gouvernant, pourront à bon droit dire qu’il sont élus sur ce programme. Ensuite, afin de pouvoir le cas échéant rappeler à certains qui pourraient vite préférer les ors du pouvoir, les bons cigares, les belles voitures, qu’ils n’ont pas été élus pour devenir amnésiques et s’inscrire dans la grande tradition républicaine de la trahison et du mensonge.

Arrêt de l’immigration, condamnation de ceux qui l’encouragent, abrogation du regroupement familial, arrêt de l’islamisation, fin à la propagande d’Etat en faveur de l’immigration, du métissage, remigration concertée avec les pays d’origine… Je ne vous rappellerai pas ici l’ensemble des propositions faites par les Identitaires pour rendre opérationnelle cette remigration. Disons seulement qu’elles sont quasi-exhaustives et embrassent presque tous les domaines. Constatons cependant qu’elles concernent autant les migrants récents que ceux plus anciens et déjà naturalisés. Il n’est plus possible d’accepter ces vagues massives de naturalisations. Comme le dit Eric Zemmour, il est aisé de faire passer la population de la France de 65 millions à 165 millions d’habitants… Il suffit de naturaliser 100 millions d’Africains !

C’est d’ailleurs l’excellente réponse de Zemmour, même s’il n’est pas le premier à la faire, qui rétorque à ceux qui lui opposent des statistiques : « Regardez dans la rue, dans les écoles, là est la réalité ».

Les centaines de milliers de lecteurs d’Eric Zemmour l’ont bien compris, les Français qui répondent majoritairement du côté de la conscience ethnique, cette force lumineuse de l’instinct de conservation, à toutes les questions des instituts de sondage aussi. Mouvement d’instinct donc, et non de raison, mouvement engendré par des faits et non par des illusions, des utopies, des nuées, cette considération que la nationalité ne veut plus rien dire dès lors qu’elle est accablée par un flot de naturalisations, est d’une puissance inouïe qu’aucune démonstration du système ne peut mettre à bas. Et c’est d’ailleurs l’excellente réponse de Zemmour, même s’il n’est pas le premier à la faire, qui rétorque à ceux qui lui opposent des statistiques : « Regardez dans la rue, dans les écoles, la est la réalité ».

Or, en effet, la France, comme l’Europe, ce ne sont pas des statistiques. Ce ne sont pas des êtres interchangeables. Celui qui ne croit pas à la personnalité des nations ne croit pas davantage à la personnalité des êtres. Celui qui ne croit pas aux frontières ne croit qu’à l’individu interchangeable, réduit à sa seule dimension consumériste, un individu si universellement humain qu’on ne sait plus s’il est une définition théorique ou un code barre.

Dans ce contexte, la remigration n’est pas qu’une mesure politique, c’est également un fait à envisager dans une perspective écologique. Je le dis sans plaisanter. Au demeurant, que croient les Verts ? Que les centaines de millions de candidats à l’exode d’Afrique ou d’Asie se préoccupent de décroissance ? Sont avides de manger bio ?

Or, en effet, la France, comme l’Europe, ce ne sont pas des statistiques. Ce ne sont pas des êtres interchangeables. Celui qui ne croit pas à la personnalité des nations ne croit pas davantage à la personnalité des êtres. Celui qui ne croit pas aux frontières ne croit qu’à l’individu interchangeable, réduit à sa seule dimension consumériste, un individu si universellement humain qu’on ne sait plus s’il est une définition théorique ou un code barre.

Imaginent-ils que l’agriculture raisonnée, c’est-à-dire moins déraisonnable, qu’ils défendent à juste titre suffira à nourrir 20, 30, 50, 100 millions de nouveaux européens ? Les barrages qu’ils refusent, les fermes de 1 000 vaches qu’ils combattent, relèvent des mêmes causes que le tsunami migratoire qui s’abat sur nous. A moins qu’ils n’imaginent possible de peupler nos vallées du Jura, de Haute-Provence, d’Auvergne ou des Pyrénées, de paysans bambaras, peuls ou mandingues portant le béret et fabriquant, comme le chantait Jean Ferrat, la « tomme de chèvre »…

La remigration ne doit donc pas être pensée comme l’inversion de l’immigration. Il ne s’agit pas d’une pensée antagoniste, ni même d’une conception différente du monde divisée en protagonistes, mais d’une pensée écologiquement holiste.

Ayant posé ce cadre, étant à peu près certain de ne pas être compris des grands médias, simplificateurs par nature, caricaturistes par hostilité idéologique, il nous reste à dire en quoi la remigration possible est aussi nécessaire. Non pas à nos propres yeux avertis, mais telle qu’elle devrait, dans une analyse factuelle et complète, apparaître devant l’opinion publique.

La remigration est nécessaire parce qu’elle est écologique, nous l’avons dit, parce qu’elle est gage de paix, nous l’avons également souligné. Nous pourrions ajouter qu’elle allégerait considérablement nos dépenses budgétaires. Mais, au fond, toutes ces raisons, excellentes, ne sont pas, en elles-mêmes, suffisantes.

La raison suffisante et impérative est celle-ci :

La remigration est nécessaire à la préservation de 40 000 ans d’identité européenne. La remigration est nécessaire pour l’avenir des enfants européens. En d’autres termes, la remigration ne relève ni de la morale, ni de l’économie, ni d’un quelconque domaine de l’activité. La remigration est un acte de vie, un acte identitaire et donc intrinsèquement politique, pour les peuples européens. Cette remigration qui peut sembler scandaleuse pour tous les adorateurs de la religion des droits de l’homme lorsqu’elle nous concerne, nous Européens, tendra à devenir durant ce siècle quelque chose d’universel.

Les populations d’Afrique du Nord sont déjà soumises à la pression des masses africaines. Il est douteux que les gouvernements de ces pays agissent avec les mêmes scrupules humanitaires que les Européens. A ce moment là, et je pense que nous nous en approchons ou, à tout le moins, que nous pouvons déjà en parler, il deviendra très compréhensible, je ne dis pas qu’ils l’admettront mais qu’ils le comprendront, pour les populations issus de ces pays et vivant chez nous, que nous avons le droit, nous aussi, d’agir comme leurs pays d’origine.

Le XIXème siècle a vu l’Europe conquérir le monde, puis, celui-ci conquis, le XXème siècle a été celui des grandes guerres civiles entre conquérants. Le siècle qui vient de s’ouvrir doit être celui de la reconquête de l’Europe par l’Europe. La remigration en est une des conditions. Nous n’aborderons pas ici les autres, même si elles devront être réalisées concurremment, et je pense notamment au retour d’une vitalité démographique proprement européenne.

Le terme de remigration doit être repris dans le discours politique, inoculé dans les réflexions sociales, économiques, écologiques. Ce terme doit être musclé de faits, irrigué de sens. Il doit devenir central et prendre la première place tout en haut des solutions aux malheurs du temps. Nous affichons donc la couleur. Nous ne dissimulons pas nos objectifs. La remigration n’est pas une utopie. C’est une potentialité, et une potentialité nécessaire à la France et à Europe.

Cette remigration qui doit être, nous en sommes ici les développeurs, les porteurs et les diffuseurs. Nous n’en revendiquons surtout pas l’exclusivité. Bien au contraire, nous allons faire tout pour que la remigration fasse son apparition à tous les étages de la sphère publique.

Le terme de remigration doit être repris dans le discours politique, inoculé dans les réflexions sociales, économiques, écologiques. Ce terme doit être musclé de faits, irrigué de sens. Il doit devenir central et prendre la première place tout en haut des solutions aux malheurs du temps. Nous affichons donc la couleur. Nous ne dissimulons pas nos objectifs. La remigration n’est pas une utopie. C’est une potentialité, et une potentialité nécessaire à la France et à Europe. Faisons en sorte que cette potentialité soit une frontière claire entre ceux qui veulent vraiment que perdurent notre pays, notre continent, notre civilisation, et ceux qui prétendent y parvenir en vendant encore à leurs électeurs les astres morts de l’intégration et de l’assimilation.

Cette intégration comme cette assimilation n’est pas possible. L’affirmer n’est ni une hypothèse ni une prédiction autoréalisatrice. Il s’agit d’un constat, d’un constat étayé par des milliers de faits, anecdotiques ou majeurs, enregistrés, non depuis un an ou même dix, mais depuis plus de trente ans.

Lorsque le premier prénom donné en Seine-Saint-Denis est Mohamed, où est l’intégration ?
Lorsque des cités entières sont peuplées de non-européens, lorsque des rames complètes transportent uniquement des Africains, où est l’assimilation ?
Lorsque dans certains quartiers, on se croirait à Alger ou Bamako, quel constat faut-il faire ?

Ce constat, c’est celui du Grand Remplacement. Le Grand Remplacement est tout simplement le remplacement progressif, mais dans un laps de temps très rapide, quelques décennies, de la population historique de notre pays par des populations issues de l’immigration, et très majoritairement extra-européennes. Le Grand Remplacement est un phénomène dont l’accroissement est continu, à travers des politiques d’immigration toujours plus laxistes, mais qui est déjà quasiment abouti dans des zones entières du territoire où les Français de souche sont devenus minoritaires et ont même parfois totalement disparu, remplacés par des immigrés ou des Français administratifs issus de l’immigration.

Le Grand Remplacement est justement tout sauf une théorie, c’est malheureusement une réalité criante. Une réalité criante et palpable pour de très nombreux Français de souche qui vivent et constatent le Grand Remplacement dans leur immeuble, dans leur quartier, dans l’école de leurs enfants… Il n’y a que les politiques et les journalistes du système pour parler d’un fantasme.

S’ils ne croient pas au Grand Remplacement, ils continuent toutefois à vouloir nous imposer l’utopie du vivre-ensemble alors qu’il serait plus réaliste de parler aujourd’hui du subir ensemble.

Quelqu’un peut-il réellement s’imaginer que nous allons « assimiler » la dizaine de millions de musulmans, de plus en plus revendicatifs et radicaux, aujourd’hui présents sur notre sol, ou bien que nous allons nous « réconcilier » avec les sympathiques supporteurs de l’équipe d’Algérie ayant démontré suffisamment clairement quel était leur vrai pays de sang et de cœur ?

Imagine-t-on que d’un coup ceux qui brandissent des étendards du djihad ou sortent leurs drapeaux algériens à la moindre occasion, ceux qui se gavent de chansons où l’on répète que l’on « nique la France » à chaque refrain, vont devenir des bons petits Français parce qu’ils chantent la Marseillaise et agitent le drapeau tricolore ?

Loin des fantasmes de « réconciliation » ou d’assimilation massive, nous pensons que le seul moyen d’éviter le chaos qui découle fatalement des sociétés multiculturelles c’est aujourd’hui d’envisager, de manière pacifique et concertée, la remigration. C’est-à-dire le retour dans leurs pays d’origine d’une majorité des immigrés extra-européens présents sur notre territoire. Si certaines mesures proposées par les Identitaires peuvent sembler aujourd’hui « impossibles » ou « radicales » à certains, nous sommes persuadés que les temps à venir se chargeront de les rendre à la fois possibles et nécessaires.

Et je ne parle pas de ces centaines de “Français” partis faire le djihad en Syrie. Les nombreuses vidéos qui circulent sur Internet révèlent un certain nombre d’atrocités (victimes décapités, cadavres exhibés sur la place publique, etc.) commises par ces musulmans qui pourraient bien, un jour, revenir en France.

Et c’est avec eux qu’il faudrait se réconcilier ? Alors qu’ils sont en guerre contre notre pays, notre civilisation, notre identité ? Hors de question !

Loin des fantasmes de « réconciliation » ou d’assimilation massive, nous pensons que le seul moyen d’éviter le chaos qui découle fatalement des sociétés multiculturelles c’est aujourd’hui d’envisager, de manière pacifique et concertée, la remigration. C’est-à-dire le retour dans leurs pays d’origine d’une majorité des immigrés extra-européens présents sur notre territoire. Si certaines mesures proposées par les Identitaires peuvent sembler aujourd’hui « impossibles » ou « radicales » à certains, nous sommes persuadés que les temps à venir se chargeront de les rendre à la fois possibles et nécessaires.

Nous revendiquons simplement pour les Français le droit fondamental dont disposent tous les autres peuples du monde : celui de vivre en paix, chez eux, selon leur identité, avec ceux qui leur ressemblent.

Le Grand Remplacement est un constat. La Remigration est l’antidote. Séparer le constat de l’antidote, imaginer qu’il puisse exister un autre contrepoison, serait s’illusionner ou leurrer nos compatriotes. Avoir le choix est un luxe de riche. En terme de grande politique, les Français comme les Européens sont devenus des pauvres. A trop avoir laisser se créer des situations complexes, à force ne n’avoir su sinon résoudre les problèmes, du moins cesser d’en augmenter le nombre et l’ampleur, le choix des possibles s’est restreint.

Les phénomènes migratoires sont de tous temps. Il en a existé de grande ampleur. Mais notre temps est celui des masses. Prétendre que le passé a vu des remigrations se faire, souvent sous la contrainte du glaive, serait donc vrai historiquement mais calquer un raisonnement faux sur une situation neuve.

Ayant montré que la remigration est nécessaire, affirmé qu’elle est possible ; je pourrais ajouter qu’elle est probable, parce que, d’un bout à l’autre de l’Europe, des forces sont en train de s’éveiller, de s’organiser, de contre-attaquer et que face à elles ne se dressent que des idéologies épuisées.

Loin d’être un facteur de désespoir, le caractère éminemment nouveau de ce que nous vivons doit être une source de réconfort et d’espoir. En effet, c’est précisément car il n’est jamais rien arrivé de pareil dans le passé que précisément tout est possible, tout nous est possible.

Ayant montré que la remigration est nécessaire, affirmé qu’elle est possible ; je pourrais ajouter qu’elle est probable, parce que, d’un bout à l’autre de l’Europe, des forces sont en train de s’éveiller, de s’organiser, de contre-attaquer et que face à elles ne se dressent que des idéologies épuisées.

Face à ceux qui disent que tout est foutu, nous répondons que tout est en train de se faire.

De toute façon, nous n’avons pas le choix. Résister ou disparaître.

Pour la France, pour l’Europe, pour notre civilisation, pour l’avenir de nos enfants.

Nous sommes debout et nous nous battrons pour rester maîtres chez nous !

Commentaires

  • Encore un texte fondateur, pour lequel nous devons être reconnaissants à Fabrice Robert et aux Identitaires !
    Un jour, des millions de Français de souche nous donneront raison. Avant qu'il ne soit trop tard, espérons-le !
    Utilisons sans relâche les concepts de "Grand Remplacement" et de "Remigration", jusqu'à ce qu'ils se répandent dans l'opinion publique et deviennent des évidences et des urgences
    à mettre en oeuvre. Ce discours doit irriguer tout le programme du FN et faire partie de ses fondamentaux.

  • Excellent discours de Fabrice Robert qui pose les fondements de la nécessaire remigration si l’on ne veut pas que la France disparaisse d’ici quelques années !

  • résister ou disparaître , pas d,autres choix , je pense que certains (es) choisiraient la dhimmitude pour survivre comme des esclaves . . mais survivre . .!!
    salutations.

  • Yes you kahn ;o)

Les commentaires sont fermés.