Le Café du soir
Oliviers avec les Alpilles en arrière-plan
Les iris
La nuit étoilée au-dessus du Rhône
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Le Café du soir
Oliviers avec les Alpilles en arrière-plan
Les iris
La nuit étoilée au-dessus du Rhône
Commentaires
Là Gaelle vous avez sorti l'artillerie lourde ! que des chef- d'oeuvres, avec mention pour moi au Café du soir et à la Nuit étoilée. Merci.
Décée, merci à mon tour pour votre commentaire. J'ai eu du mal à trouver les bonnes images.
Le café du soir, merveilleux, on a envie d'y aller... La Nuit étoilée sur le Rhône, magique... Les Iris, si frais, avec un iris blanc plus épanoui, les oliviers si grecs, oui quelle beauté du monde!
@Gaelle : on remarque que les étoiles sont grosses (ou leur halo) ... que les oliviers sont torturés, et que l'iris blanc de pureté est à gauche, dans le "passé" : tout le personnage. Mais il aurait été amputé de la moitié de l'expression de son génie sans la Provence et sa lumière, notre (encore) magnifique région - meme si pour moi d'adoption.
Quelle fascination pour la lumière ! Celle du Midi, toujours recherchée par les peintres du nord, et particulièrement VanGogh qui en fut fasciné; celle de la nuit : une terrasse de café, un ciel étoilé...
Mais ce sont les Oliviers les plus émouvants. Les lignes tordues, la peinture écrasée, les couleurs froides…annoncent déjà l'angoisse et le désespoir profond du peintre qui l'amènera au suicide un an plus tard ! Il y aura encore le champ de blé aux corbeaux, portant le même diagnostic morbide. Il en sera resté d'immortels chefs d'oeuvre.
…et l'interrogation sur le rapport entre la pathologie mentale et le génie.
Cher Dirk, j'aime cette fascination pour la lumière!
Quant aux oliviers, ils secrètent toujours une certaine angoisse, parce qu'ils sont très anciens, tordus, tourmentés, que leur feuillage est argenté, presque métallique, parce qu'ils évoquent irrésistiblement pour moi l'Antiquité perdue.
Dirk: la pathologie mentale n'est peut-être pas liée au génie et vice-versa.
La quasi-totalité des malades mentaux n'ont aucun génie.
Mais le cas tragique de van Gogh, se suicidant à 37 ans, pose en effet beaucoup d'interrogations.
J'ai lu qu'on pensait aussi à l'époque qu'il avait été assassiné par de jeunes voyous d'Auvers-sur-Oise qui l'avaient pris comme souffre-douleur. C'est fort possible.