Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

NE PAS AVOIR PEUR D’ETRE A CONTRE-COURANT

 

 

« JE SUIS CHARLIE ? » NON MERCI  !!!

 

Tout d’abord, je trouve ce slogan ridicule. Quand, au moment de l’érection du mur de Berlin, Kennedy déclarait : « Ich bin ein Berliner », cela avait de la gueule. Mais quand les copains de Cohn-Bendit scandaient en 1968 : « Nous sommes tous des juifs allemands », je ne me sentais pas concerné, mais alors pas du tout. Aujourd’hui, on voudrait nous faire croire que nous sommes tous des amis de Charlie Hebdo. La plupart des benêts qui « tweetent » ou braillent ce slogan n’ont jamais ouvert ce journal qui tient plus du papier hygiénique usagé que de l’hebdomadaire. Héritier  de Hara Kiri, « journal bête et méchant » comme il se qualifiait lui-même, Charlie Hebdo surfait sur la vague de l’esprit soixante-huitard et du caniveau.

 

Les hommes de Charlie Hebdo, Wolinski, Cabu, Charb… seraient tombés au « champ d’honneur de la liberté d’expression » (sic). Disons simplement qu’ils ont eu le courage d’afficher un certain courage en face de cet islam rétrograde et assassin qui veut nous « dhimmifier ». Contrairement à l’ensemble des media français qui ont fait dans leur froc. Un point, c’est tout.

 

Ils ont, en réalité, été pris dans un engrenage fatal. Tout commence par une blague de potache : les caricatures de Mahomet publiées dans un journal danois déchaînent dans tout le monde musulman une vague de haine anti-roumis (des centaines de chrétiens sont massacrés au Pakistan, en Indonésie et ailleurs). La plupart des rédacteurs en chef se dégonflent. Celui de France Soir a le cran de publier ces fameux dessins par solidarité avec les Danois ; il est viré. Charlie Hebdo, seul, ose les publier, en soutien à France Soir. Habitué à toutes les provocations, même les plus abjectes, il croit faire une bonne opération… médiatique et commerciale. Et ça marche, car le numéro s’arrache dans les kiosques. Mais les musulmans sont plus coriaces que les papistes. Poursuivi par « nos amis » du Conseil Français du Culte Musulman (Mosquée de paris, Dalil Boubakeur) et de l’Union des Organisations Islamiques de France (Tariq Ramadan), il est finalement relaxé par la justice française. Mais on ne vainc pas des Kalachnikov avec des Bic ! Pour conclure sur ce point, je pense que si Wolinski et Cabu avaient su ce qu’ils risquaient, ils n’auraient certainement pas pris cette décision…

 

Mais revenons à Charlie Hebdo, qui laboure plutôt le champ du déshonneur. Au nom de la liberté d’expression, mais uniquement celle de la gauche bobo. Regardez un peu les unes de ce torchon qui circulent sur Internet. De quoi avoir la nausée. De l’humour, un peu, du très mauvais goût, partout et toujours. Rappelez-vous ce dessin représentant l’adjudant Chanal (un pervers criminel sexuel) sodomisant le Soldat inconnu ou le pape sodomisant un enfant (la sodomie semble travailler les dessinateurs de Charlie Hebdo ; est-ce sous l’influence de la chroniqueuse Caroline Fourest ?). Son terrain de jeu, c’est de vomir sur tous les corps constitués de la nation, l’armée, la police… Et les croyants, catholiques surtout, mais aussi musulmans (s’ils avaient su…), mais peu sur les juifs (on ne s’appelle pas Wolinski pour rien). Charlie Hebdo « chiait » (pour employer un de ses mots préférés) sur tout ce qui était sacré aux yeux des gens. Il haïssait la nation, la famille, l’honneur, la fidélité… Il se faisait le chantre de l’immigrationnisme et de la décadence du peuple français (comprenez « de souche »).

 

Donc, pas une larme pour Charlie Hebdo ! L’ironie de l’histoire, c’est que cette feuille tout juste bonne à allumer (mal) le feu, qui était au bord de la faillite, va se refaire une santé financière parce que, maintenant, « Charlie ne peut pas mourir ». L’autre ironie de l’histoire, c’est d’imaginer la tête de Wolinski et des autres s’ils entendent, « là-haut » ou ailleurs, les Marseillaise entonnées en leur mémoire par des porteurs de drapeaux français : eux qui les conchiaient !

 

UNE COMPASSION ET UNE INDIGNATION SELECTIVES

 

« Je suis Charlie » est donc devenu, en trois jours, le slogan à la mode. Il est aujourd’hui obligatoire de s’incliner devant les dépouilles des caricaturistes de Charlie Hebdo, de se mortifier, de battre sa coulpe… Sortez vos mouchoirs. Tout le monde doit désormais aimer – et demain aider – Charlie Hebdo. Et tous les nigauds de se réunir, d’allumer leurs briquets et de « communier » ensemble. Y compris les catholiques que l’hebdomadaire salissait en permanence. Y compris les musulmans que Charlie Hebdo avait ridiculisés en insultant ce qu’ils ont de plus sacré : le Prophète. Rappelez-vous cette caricature où l’on voit Mahomet dire : « C’est dur d’être aimé par des cons ! ». Comme disent certains musulmans (peut-on les blâmer ?) : « Ils n’ont eu que ce qu’ils méritaient ! ».

 

Et comme chantait Aznavour, « Ils sont venus, ils sont tous là… ». Cinquante chefs d’Etat et des dizaines de délégations. Tout le gratin de la planète : l’Allemande Merkel, l’Italien Renzi, l’Espagnol Rajoy, l’Anglais Cameron, tout le brain trust de l’Union européenne. Sans oublier le Secrétaire général de l’OTAN et le ministre étatsunien de la Justice. Et Netanyahou, le premier Ministre israélien qui pratique un terrorisme d’Etat contre les Palestiniens. Et aussi, Davutoglu, le premier Ministre turc, et des émirs qataris et saoudiens : ceux-là mêmes qui fourguaient de l’argent et des armes aux égorgeurs de l’Etat islamique. Quelle sollicitude ! Ou plutôt quelle hypocrisie !

 

Gare à ceux qui n’y étaient pas ! Et en tout premier lieu ces « salauds » du Front National qui ont refusé de défiler à Paris (il faut dire qu’on les y a conviés avec des pincettes). A ce sujet, Marine le Pen a une attitude plutôt paradoxale. Elle s’est insurgée contre le fait qu’on ne l’ait pas invitée au « grand rassemblement d’unité nationale ». Mais elle n’a donc aucune mémoire. A-t-elle oublié que Charlie Hebdo a mis en une de couverture une « grosse merde » (c’est ainsi qu’on dit à Charlie Hebdo) peu ragoutante avec cette légende : « La candidate qui vous ressemble » ? A-t-elle oublié qu’elle et son père y ont toujours été caricaturés en Hitler ? A-t-elle oublié que ses électeurs y ont été traités de « gros cons » (toujours selon la terminologie de la revue) ? A-t-elle oublié cette autre une : « Que faire contre le Front National ? L’INTERDIRE ! » ?

 

Enfin, s’il s’était agi des journalistes de Rivarol, de Minute ou de Présent, croyez-vous qu’il y aurait eu tant de compassion ? Croyez-vous que Hollande, Valls, Taubira, Juppé, Sarkozy et les autres seraient descendus dans la rue pour crier « Plus jamais ça ! » ? Media et politiques auraient pensé « Bien fait pour eux ! » tellement fort que tout le monde l’aurait entendu. Quand ces journaux ont été attaqués (au plastic ou au cocktail Molotov), qui l’a déploré ? Et quand notre ami François Duprat a été assassiné lors de l’explosion de sa voiture préalablement piégée, laissant son épouse lourdement handicapée, qui s’en est ému ? Inutile de chercher d’autres exemples.

 

LA THEORIE DU COMPLOT ?

 

Dans les années 1980, les Américains ont manipulé les Pachtounes d’Afghanistan pour lutter contre les Russes. On connaît le résultat : les talibans du mollah Omar et le réseau al-Qaïda de ben Laden. Celui-ci a essaimé ses « franchises » un peu partout dans le monde arabo-musulman : Maghreb, Péninsule arabique… Dans les années 1990, la guerre civile d’Algérie a engendré des milliers de tueurs au nom d’Allah. Puis les anciens des deux conflits ont participé à la guerre de Bosnie contre les Serbes (puis au Kosovo) où ils ont montré une sauvagerie épouvantable. L’invasion de l’Irak en 2003 par l’Amérique de Bush n’a fait qu’accentuer le phénomène.

 

Plus récemment, l’assassinat de Kadhafi sur ordre de Sarkozy (je vous renvoie à l’analyse de Bernard Lugan) a détruit la Libye qui était un rempart contre l’islamisme djihadiste et l’immigration sauvage des Sahéliens et Subsahariens vers l’Europe. L’arsenal de Kadhafi n’a pas été perdu pour tout le monde : les armes de Coulibaly et Kouachi proviennent probablement de là-bas. La Libye est proche de tomber intégralement aux mains des islamistes. Pour éteindre l’incendie que nous avons allumé, nous voici impliqués dans une guerre perdue d’avance dans tout le Sahel : Mali, Niger, Tchad… En effet, comment prétendre être victorieux avec 4 000 hommes dispersés sur plusieurs centaines de milliers de km² ? Plus au sud, il a fallu mettre aussi les mains dans le cambouis en Centrafrique, où nous n’avons même pas le courage de désigner qui est le véritable ennemi : les Séléka musulmans. Encore une guerre qui nous échappe.

 

Enfin, Qataris, Saoudiens et Turcs n’ont cessé de soutenir financièrement et militairement les fous d’Allah pour tuer Bachar el-Assad et chasser les alaouites et les chiites de Syrie. Les gouvernements français de Sarkozy et Hollande ont ouvertement appuyé l’opposition « démocratique » syrienne ; en réalité, les tombereaux d’armes que nous avons livrés à ces pseudo-résistants se sont retrouvés dans les mains de l’Etat islamique et des autres mouvements djihadistes. Ajoutez à cette mixture quelques milliers de fondus venus d’Europe pour « faire le djihad ». Lavez-leur le cerveau, formez-les au maniement des armes et des explosifs et renvoyez-les en Europe. Il n’y a plus qu’à attendre que toutes ces taupes « pètent les plombs » l’une après l’autre.

 

On a pu lire sur Internet que certains voyaient dans cette tragédie un attentat sous fausse bannière (« false flag ») organisé par le Mossad ou je ne sais qui. Il faut savoir raison garder. Les Coulibaly et les Kouachi n’ont plus besoin d’être téléguidés ; ce sont des grenades dégoupillées qui ne demandent qu’à exploser. Ce n’est pas la peine d’imaginer qu’une « force obscure » pilote toutes ces opérations. Nous payons simplement le prix des comportements d’apprentis-sorciers des Américains et des Israéliens, mais aussi des Français, qui ont vu, tels le docteur Frankenstein, leur créature leur échapper. Et si cette force obscure existait, machiavélique et redoutable, c’est aujourd’hui qu’elle aurait dû frapper…

 

DES PROS OU DES PEIDS-NICKELES ?

 

Si on analyse le comportement des Kouachi, on est obligé de reconnaître que l’exécution de leur « mission » fut quasiment professionnelle. Sauf qu’ils se sont d’abord trompés d’adresse, puis qu’ils se sont trompés d’étage, que l’un d’eux a perdu une chaussure (qu’il a ensuite ramassée) et qu’ils ont « oublié » une carte d’identité dans la voiture. La suite de leur aventure confirme cette part d’amateurisme et l’absence de « réseau » pour les récupérer (et éventuellement les éliminer, si l’on retient la thèse complotiste) : leur cavale fut affligeante (pas de voitures relais, pas de planque, pas d’argent, pas de structure de recueil…). Quant à Coulibaly, qui devait « casser du flic », il n’a su que tuer une malheureuse fliquette de la même couleur que lui.

 

Trois pauvres types qui affrontent toute une armée, c’est un peu comme le taureau face au torero : l’issue ne fait pas de doute. Le GIGN et le RAID, c’est comme Dominguez et Manolete dans l’arène, on ne fait pas mieux. Sachons ici aussi raison garder : qui veut nous faire croire que ces trois pieds-nickelés ont fait trembler la République ?

 

C’EST QUOI, LA GUERRE ?

 

Une autre réflexion s’impose. Nous avons été gavés par les media pendant trois jours, quasiment sans interruption : « scènes de guerre », « c’est la guerre ! »… Conditionnés par un tel matraquage, les braves gens qui étaient interrogés par les journalistes répondaient qu’ils étaient « apeurés », « terrifiés », « horrifiés », etc., même lorsqu’ils se trouvaient à des kilomètres des événements. On ne savait même plus s’ils avaient peur des terroristes ou des forces de l’ordre. Je les rassure, ce n’est pas cela la guerre.

 

La vraie guerre urbaine, c’est connaître la vraie trouille, celle de courir sous les balles de sniper à Sarajevo, celle de fuir devant le nettoyage ethnique des musulmans en Bosnie ou au Kosovo, celle d’attendre la prochaine explosion d’une voiture piégée ou d’une bombe humaine à Bagdad ou à Beyrouth, celle de fuir l’horreur des tueurs de Boko Haram au Nigéria, des milices musulmanes des Séléka en Centrafrique ou de l’Etat islamique en Irak et en Syrie. Le reste, c’est « peanuts » !

 

Décidément, ce bon peuple de France ne sait plus où il habite. Il s’apitoie sur un journal de « merde » (toujours dans l’esprit de Charlie Hebdo) et il confond guerre et opération de police. Un état mental plus proche de la Débâcle de 1940 que du Verdun de 1916.

 

UNE COMPASSION BIEN RECUPEREE

 

Comme je l’écrivais au premier jour de ce feuilleton, nous allions vivre une première phase de compassion. J’avoue en avoir sous-estimé l’ampleur. Des centaines de milliers de gens dans la rue, peut-être des millions, pour défendre la liberté d’expression et les libertés en général. Un vrai, beau sursaut, spontané et sincère pour la plupart des participants. Sauf qu’on les a manipulés ! On ne les a pas réunis pour dénoncer le « terrorisme islamique » (expression bannie de tous les discours  des hommes politiques, sauf ceux du Front national). On les a utilisés pour conforter un système qui a failli,pour promouvoir le « vivre ensemble » et pour redorer un tant soit peu la cote de popularité de Hollande et de sa clique !

 

On veut nous faire croire que plus rien ne sera comme avant. Demain, on s’aimera tous, chrétiens, juifs, musulmans, Blancs, Noirs, Maghrébins, métis... Cela me rappelle la grande fraternisation des Pieds-noirs et des musulmans sur la place du Forum à Alger, le 13 mai 1958 ; trois ans plus tard, les premiers n’avaient plus qu’à choisir entre la valise et le cercueil ! Cela me rappelle aussi la grande fête des « Blacks, Blancs, Beurs », au soir du 12 juillet 1998, quand l’équipe de France de football devint championne du monde ; elle est où, aujourd’hui, cette France « black, blanc, beur » ? D’ailleurs, si dans toutes les manifestations de ce jour les drapeaux français fleurissaient, je n’ai vu aucun drapeau algérien, marocain, tunisien ou turc, eux qu’on voit pourtant massivement lors d’autres événements (comme au soir de l’élection de Hollande)… Et en dehors des responsables musulmans qu’on nous montrait encore et encore, je n’ai pas vu beaucoup de mahométans. Alors, tous unis, vraiment ???

 

Demain, on nous répètera, pour être sûr qu’on ne l’a pas oublié, qu’il ne faut pas faire d’amalgame, qu’il ne faut pas stigmatiser une population, que cela n’a rien à voir avec l’islam, que l’islam de France est bon pour nous et que l’immigration est une chance pour la France, et surtout qu’il ne faut pas écouter les extrémistes (de droite)… Car comme l’a dit Manuel Valls, le véritable ennemi, c’est « le racisme et l’antisémitisme ». Faute d’appeler un chat un chat, et donc l’islam et l’immigration par leur nom, on s’en prendra aux « fachos » ; c’est tellement plus facile. Et les fachos, ce sont la Manif pour tous, les identitaires, Zemmour, Houellebecq et tous ceux qui ne sont pas dupes. Gare au retour de bâton !

 

Et l’on prend bien soin de cacher la vérité aux Français. Par exemple, que dans certains quartiers d’Alger, on a observé les mêmes scènes de liesse qu’au moment du 11 septembre, avec des slogans comme « A bas la France ! » ou « Mort aux juifs ! ». Ou que dans certains établissements scolaires, des élèves ont refusé de respecter les minutes de silence. Ou que sur les réseaux sociaux, les « Je suis Coulibaly » et « Je suis Kouachi » sont désormais plus nombreux que les « Je suis Charlie » (le temps des soldes est venu). Bonne occasion pour le patron du CRIF, Cukierman, de demander au gouvernement un « contrôle strict » de la Toile. Sans doute au nom de la liberté d’expression pour laquelle il a défilé !

 

LA VRAIE GUERRE DONT ON NE VEUT PAS NOUS PARLER

 

On a liquidé trois tueurs ? Fort bien, mais ce ne sont pas quelques dizaines d’autres illuminés qui sont prêts à prendre leur place, ce sont des milliers. Pourquoi ? Simplement parce qu’il y a dans ce pays treize millions d’immigrés et de descendants d’immigrés non européens, principalement afro-maghrébins, et que plus de sept millions d’entre eux sont musulmans. Parce que l’assimilation et l’intégration ont totalement échoué. Parce que la fracture est irréversible.

 

Les manifestants étaient un à deux millions dans la rue. Fort bien. Mais cela ne représente que 2 à 3% de la population française, ce qui relativise le discours de mobilisation unanime. Personnellement, depuis quatre jours j’ai entendu d’autres propos, ceux de braves gens exaspérés qui s’exprimaient à peu près en ces termes : « Si on nous demandait notre avis, nous dirions que nous en avons assez de tous ces « Français » multicolores qui ne parlent même pas français à la maison, qui ignorent tout de notre culture et veulent nous imposer la leur, qui nient notre histoire et exigent qu’on leur demande pardon (de quoi ?), qui transforment les « quartiers » en taudis du tiers-monde et en supermarchés de la drogue ! Nous dirions que nous en avons assez de tous ces barbus vêtus de djellabas, qui déguisent leurs femmes en draps housses et qui veulent  imposer leurs horaires dans les piscines et bénéficier de plages horaires réservées pour leurs prières et leurs ramadans, et nous forcer à manger halal ! Nous dirions que nous en avons assez de la construction de toutes ces mosquées qui se transforment en pépinières d’activistes haineux (avant le passage par la case prison, où ils seront métamorphosés en terroristes assassins) ! Si on nous demandait notre avis, c’est ce que nous dirions à ces « élites » du « politiquement correct » dont nous ne supportons plus les mensonges et la lâcheté ! ».

 

Je vous incite à réécouter Madame Jeannette Bougrab, ancienne ministre et compagne du dessinateur Charb, qui déclarait récemment : « Notre république est agonisante » et qui avouait avoir eu la tentation de l’exil. J’ai aussi entendu un « expert » déclarer qu’il espérait qu’il n’y aurait pas trop d’actes islamophobes à la suite de ces événements. Il ajoutait qu’avec plus de cinq millions de musulmans sur notre territoire, tout était à craindre si cette population se sentait menacée ou se mettait en colère. Effarant, non ? Quand ce sont des gens comme nous qui le clamons, nous nous faisons traiter de racistes ou d’islamophobes. Mais quand ce sont d’anciens ministres ou des experts reconnus qui le disent, que faut-il en penser ?

 

Alain CAGNAT

Commentaires

  • http://robertfaurisson.blogspot.com/
    Un Allemand emprisonne pour ses idees..et qui est bien oublie!
    Gerhard Ittner:

    "Qu'en pensent tous ces gogos qui nous tympanisent de leur « Je suis Charlie [du verbe "suivre"] » ou de leur « Je suis Charlie [du verbe "être"] » et qui protestent de leur attachement à la liberté de pensée et à la liberté d'expression ? Robert Faurisson

  • Excellent article !
    J'ai quant à moi, contrairement à l'auteur, observé (notamment sur la statue de la République) plusieurs jeunes qui ont brandi longuement leurs drapeaux Albanais, Turcs, Tunisiens et autres. Ce que je peux dire aussi c'est que l'immense foule était en majorité blanche, les gens, jeunes ou vieux ressemblant fort à ceux qui défilent actuellement dans les manifestations syndicalistes ou gauchistes, antifa pour certains, allure bobo ou libertaire pour un grand nombre, c'était la nouvelle bourgeoisie des grands villes qui ont adopté la mode de vie politiquement correct qui ne fâche personne, le consensus mou. Certes, des Antillais dispersés, d'autres ethnies et sans doute des musulmans bon teint mais on ne voyait pratiquement pas de femmes en foulards ! Cette foule, en somme, ne ressemblait pas à celle de tous les jours (surtout dans le 11eme à Paris) qui est très très colorée, voire misérable, indisciplinée, crasseuse et mendiante. La misère dégoûtante de ce Paris où je vis était gommée par cette foule assez joyeuse qui, comme dans tout défilé de gauche, brandissait des pancartes imaginatives ou agitait des silhouettes en carton pâte, les intermittents très remarqués, quant à eux, une grande Marianne articulée. Et toutes ces affiches "JE SUIS CHARLIE" rapidement apparues deux jours avant, qui les avait imprimées, avec quel argent ? Le n° spécial de l'"Humanité" se vendait comme des petits pains oui, c'était tout le "Front de gauche" qui répondait présent (même si des curieux en nombre, des gens neutres et sincères ou membres de la fausse droite battaient niaisement le pavé en pareille compagnie), vraiment, je ne regrettais pas l'absence du F.N. Revoyez les images, on nous a peut être trompé aussi sur le nombre de participants, vraiment, la foule est en majorité blanche et, vu les drapeaux Européens, israéliens ou Français, on se croirait presque à la "manif pour tous" sauce Hollandaise !
    Ces rassemblements faussement spontanés ont été une réussite en matière de sidération, une mise en scène bien orchestrée par Big Brothers et ses médias aux ordres, le pouvoir qui avait rameuté ses homologues nuisibles de la "communauté internationale" a redoré son blason aux frais des contribuables, des gogos et de tous les moutons de panurge croyant vivre un moment historique.

  • Le consensus est loin d'être général sur la "grande marche républicaine" du 11 janvier, contrairement à ce que laissent entendre les médias du régime qui sombrent parfois dans le délire. Que d'analyses et d'articles "à contre courant" sur les sites et les blogs indépendants ! Parmi ceux-ci, cet article d'Alain Cagnat est l'un des meilleurs et des plus convaincants.

    NB : Alain Cagnat est le grand spécialiste des réseaux occultes mettant en oeuvre le grand plan des mondialistes. Il est certainement l'un des meilleurs connaisseurs de ces réseaux et des complots réels qu'ils fomentent partout sur la planète. Il parle d'autorité. Voir ses nombreux articles très fouillés dans les revues Terre & Peuple, sur l'"Etat profond", la Trilatérale, le Siècle, les lobbies juifs, maçonniques, militaro-industriels et leurs liens avec les dirigeants occidentaux, etc.

  • Lettre ouverte du general Martinez a Hollande:
    http://la-dissidence.org/2014/12/30/lettre-ouverte-du-general-martinez-a-francois-hollande/

  • Vous me connaissez , vous n'attendez rien de bon de ma part et vous avez raison .
    Je suis Charlie = je suis mort
    ou cela ne saurait tarder .
    Le gauchisme des milliardaires , ce n'est que la submersion du monde blanc par les déchets du tiers-monde .
    Un avenir qui vous fait rêver , je l'espère
    Moi , je ne suis pas Charlie . Je préfère , et de loin , Voltaire ( un antisémite forcené ) , le Père Duchesne , Caran d'Ache et , aujourd'hui , Chard ou Konk .

  • Mais moi non plus, je ne suis pas "Charlie"!
    Et pour un empire, je ne serais pas aller défiler dans cette foule de moutons stupidifiés par la télévision!

    Je n'irais à ces rassemblements que pour PEGIDA.

    De tpoute manière, je n'aime pas les foules!

  • je n,ai pas participé à cette grande messe du politiquement correct , je pense que c,est une excellente chose que le FN n,était pas dans ce défilé , quant aux musulmans qui ne sont pas venus , ils et elles étaient plus dans la logique , que les chrétiens qui étaient présents . .!!
    salutations.

  • très bonne analyse de la manipulation des foules.C'est vrai que les journalistes de charlie hebdo ne faisaient pas toujours preuves de liberté de pensée en voulant interdire le FN.Enréalité c'étaient des gauchistes qui choisissaient leurs cibles et étrangement en oubliaient certaines comme les extrémistes juifs.

  • Je n'y suis pas allé non plus mais j'ai mandaté un de mes amis, un pigeon, afin de faire valoir mon opinion ;o)

  • Vivement qu'ils impriment "Je Suis Charlie" sur le papier toilette, ils auront ce qu'ils méritent ;o)

  • Oui, je confirme qu’au cours de cette manifestation beaucoup de drapeaux islamiques furent brandis et confisqués par la police. Mais ces faits furent soigneusement cachés et aucun merdiat officiel n’osa en parler.

Les commentaires sont fermés.