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6 février 1934

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Pour nous, nous n'avons pas à renier le 6 février. Chaque année nous allons porter des violettes place de la Concorde, devant cette fontaine devenue cénotaphe, en souvenir des vingt-deux morts. Chaque année la foule diminue, parce que les patriotes français sont oublieux par nature. Seuls les révolutionnaires ont compris le sens des mythes et des cérémonies. Mais si le 6 fut un mauvais complot, ce fut une nuit de sacrifices, qui reste dans notre souvenir avec son odeur, son vent froid, ses pâles figures courantes, ses groupes humains au bord des trottoirs, son espérance invincible d'une Révolution nationale, la naissance exacte du nationalisme social de notre pays. Qu'importe si, plus tard, tout a été exploité, par la droite et par la gauche, de ce feu brûlant, de ces morts qui ont été purs. On n'empêchera pas ce qui a été d'avoir été."

Robert Brasillach, in Notre avant-guerre.

 

Commentaires

  • Un autre 6 février que nous n'oublions pas.

  • "L'homme est exactement aussi grand que la flamme qui brûle en lui !" Bismarck.
    Restons fidèles à la mémoire de ceux qui avaient cette flamme en eux, les seuls vrais hommes, dont Brasillach était un bel exemple !

  • si tous ces manifestants de l,époque reviendraient , en voyant l,état actuel du pays , ils penseraient plonger dans un affreux cauchemar . .!!
    salutations.

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