La cour d’assises a retenu hier la volonté homicide d’Imed Rezgui. Hier, au second jour de son procès pour viol et tentative de meurtre, le 15 octobre 2012 à Séguret, sa jeune victime, 17 ans au moment des faits, a été appelée à la barre pour se lancer dans le plus bouleversant des récits.
« Je me souviens juste qu’il a pris un coussin, qu’il l’a mis sur mon visage. Je me débattais, j’essayais de me tourner vers la gauche pour respirer. Je savais que j’allais mourir. Voyant que j’arrivais à résister, il a enlevé le coussin, il a mis ses mains autour de mon cou… Puis mes bras, mes mains ne répondaient plus. Là, je me suis dit : « c’est comme ça que je vais mourir. Rezgui, il m’a volé mon insouciance, une part de ma jeunesse. Mais ce qu’il ne m’a pas volé, c’est cette force qui est en moi, et qui est éternelle. Je suis là pour dénoncer ce meurtrier, ce prédateur sexuel… cette barbarie ».
Merci à Lilib
FDS
Commentaires
la seule peine valable pour ce genre d,ordure , est l,échafaud !!
salutations.
Encore un qui n'avait rien à faire en France, il aurait dû garder les chèvres au bled. Il n'y a pas de meêêêhhh ;o)