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Excision et immigration en Europe : de la barbarie au paradoxe

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02/03/2015 – PARIS (NOVOpress)
En Angleterre, 500 nouveaux cas d’excision ont été recensés sur les 2.242 cas traités dans les hôpitaux pour le seul mois de janvier. C’est autour 137.000 cas de cette mutilation qui sont estimés dans ce pays.

Cette barbarie faite sur des femmes, comme sur des fillettes, consiste en l’ablation rituelle du clitoris et parfois des petites lèvres.

On trouve cette pratique dans 29 pays d’Afrique et du Moyen-Orient, mais aussi dans certaines communautés leur étant liées de façon religieuses, ethniques, culturelles à travers le monde (Indonésie par l’Islam, Amérique du Sud par l’immigration etc…). Par exemple, en France, en 2004, on estimait à 53.000 environ le nombre de femmes adultes excisées résidant en France (Enquête Excision et Handicap (ExH) de l’INED (Institut National des Études Démographiques) et de l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne).

C’est une conséquence supplémentaire, et pas des moins choquantes, de l’immigration massive en Europe, pourtant défendue par les cercles “progressistes”, les mêmes qui dans le même temps dénoncent les violences faites aux femmes. Culture du paradoxe, cette pratique n’est qu’un combat sous-terrain dans les cercles féministes. Le politiquement correct parviendrat-t-il à dépasser ses incohérences ?

Commentaires

  • ces "progressites " ne doivent voir les violences faites aux femmes , seulement par des européens avinés , abrutis , et autres "fachos" de base . .!!
    salutations.

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