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Crash de l'A320 : "Un jour, tout le monde connaîtra mon nom" avait affirmé le copilote à son ex-petite amie

Le quotidien allemand Bild a eu accès à l'interrogatoire de l'ancienne compagne d'Andreas Lubitz.

 Publié le 28 Mars 2015

image: http://www.atlantico.fr/sites/atlantico.fr/files/styles/une/public/images/2015/03/crash.png

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Le lieu du crash Crédit Capture

 

Peu à peu, le voile lève sur les motivations personnelles d'Andreas Lubitz, le copilote de Germanwings qui a délibérément fait chuter l'A320 dans les montagnes françaises. Le tabloïd Bild a eu accès à l'interrogatoire de l'ancienne petite amie de l'homme, dont la séparation a eu lieu quelques semaines auparavant.

Maria W, une hôtesse de l'air de 26 ans, affirme qu'une phrase lui est revenue à l'esprit lorsqu'elle a eu connaissance du crash. "Un jour, je vais faire quelque chose qui va changer tout le système, et tout le monde connaîtra mon nom et s'en souviendra" lui avait dit Lubitz.

 

Selon la jeune femme, les problèmes psychologiques le privaient d'une grande carrière. "Il a compris qu'à cause de ses problèmes de santé, son grand rêve d'un emploi à la Lufthansa, comme capitaine et comme pilote de long courrier était pratiquement impossible" souligne celle qui a volé pendant 5 mois avec lui mais dont la relation n'a jamais été officielle. Elle le présente comme quelqu'un de "gentil et ouvert, très doux" et qui surtout "avait besoin d'amour."

 

Mais sa santé psychologique était fragile. "La nuit, il se réveillait et criait 'Nous tombons'" se souvient-elle. "Nous avons toujours beaucoup parlé du travail, et là, il devenait quelqu'un d'autre, il s'énervait à propos des conditions de travail. Pas assez d'argent, peur pour le contrat de travail, trop de pression."

Et de décrire un homme parfois totalement paranoïaque. "Il était capable de cacher aux autres ce qui se passait vraiment en lui et ne parlait pas beaucoup de sa maladie, seulement qu'il suivait un traitement psychiatrique à cause de cela" précise-t-elle aux policiers.

A LIRE AUSSI - Le défi de la dépression : derrière le crash volontaire Germanwings, les ravages d’une maladie qu’on sait si mal traiter


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Commentaires

  • Psychiatriquement parlant, nous sommes au-delà de la dépression nerveuse, même grave !

  • Je trouve qu’on insiste beaucoup pour nous faire penser qu’il était fou : beaucoup trop, et trop c’est trop !

  • On peut se demander si Germanwings (sic) tend à recruter dans les asiles d'aliénés.
    Charger ainsi un jeune copilote plus ou moins dépressif peut cacher des faits que le goy télévisuel ne doit pas connaître surtout en période électorale ;o)

  • cette hôtesse qui a partagé pendant 5 mois des vols avec lui , sachant qu,il souffrait de troubles psy , ne devait être guère rassurer pendant la durée des vols , mais c,est vrai qu,il était "doux et gentil" . . . !!donc incapable d,une telle horreur même pour changer le Système . . mais quel Système ??
    salutations.

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