Sur proposition de deux députées PS, l’Assemblée nationale vient de voter l’abandon des sept jours de réflexion que la loi IVG de 1975 avait instaurés.
Ainsi donc, sur proposition de deux députées PS, l’Assemblée nationale vient de voter l’abandon des sept jours de réflexion que la loi IVG de 1975 avait instaurés. Ce délai de sept jours avait pour but de permettre aux femmes (les hommes n’existent pas dans la loi IVG, officialisant leur marginalisation et leur déresponsabilisation) de prendre le temps de décider après une juste information sur cet acte et ses conséquences (juste information qui n’a jamais été mise en œuvre par les pouvoirs publics). Ce délai « imposé aux femmes », comme on peut le lire dans la pensée unique des médias, leur était offert pour discerner et peser leur décision face à un acte grave.
Avec la loi de 1975, l’IVG demeurait en réalité interdite. Elle était seulement dépénalisée en cas de recours en raison « d’une situation de détresse » de la femme. Il n’y avait donc pas de droit à l’avortement sauf dans l’esprit des militants pro-IVG et des médias et politiques acquis à leur cause. Ce qui faisait quand même beaucoup de monde, et avec une grande capacité d’influence.
Résultat : après des années de matraquage intellectuel, de manipulation des consciences dans les collèges et lycées (où il est interdit de tenir un discours autre que celui du Planning familial) et de mensonges institutionnalisés, on endort les consciences et on fait croire que l’IVG est un acte sans gravité.
Il ne reste alors plus qu’à poursuivre l’œuvre destructrice vers « toujours plus » : une mineure peut avorter sans l’accord de ses parents (mais elle ne peut faire une sortie scolaire pour aller au musée). La prise en charge de l’IVG est de 100 %, bien qu’il ne s’agisse pas d’une maladie à soigner. La loi du 4 août 2014 crée un « droit à l’IVG » (« la femme enceinte qui ne veut pas poursuivre une grossesse peut demander à un médecin l’interruption de sa grossesse ») et supprime la condition de détresse avérée (qui n’était déjà plus exigée depuis un arrêt du Conseil d’État de 1980). Elle sanctionne l’entrave à l’information sur l’IVG (c’est-à-dire le fait de donner une information autre que celle du Planning familial).
Aujourd’hui, avec la suppression à venir des sept jours, avorter sera aussi banal que faire une prise de sang. Ne réfléchissez pas, n’hésitez pas, ne vous posez pas de questions, mes bonnes dames… avortez après votre séance de zumba. Tenez, lisez Charlie pendant que je vous aspire votre amas de cellules !
Pourquoi est-ce que je devine que la prochaine étape sera d’obliger les médecins à pratiquer l’IVG contre leur conscience ?
Il y a, chaque année, 200.000 IVG dans l’indifférence totale. Indifférence des séquelles que cet « acte banal » cause aux femmes et aux pères, et indifférence pour les centaines de milliers de petits cœurs qui battent à huit semaines et qui s’arrêtent brutalement.
Heureusement, nous avons la satisfaction de savoir qu’un fœtus français devient un humain à douze semaines, bien avant le fœtus anglais à qui il faut dix-huit semaines ! C’est pour ça qu’on est moins bon au rugby ?
Commentaires
Une décision supplémentaire, parmi des dizaines d'autres dans tous les domaines, allant dans le sens de la fin de la race blanche (parce que ce ne sont pas les africaines qui avortent !).
D'aucuns douteraient-ils encore de la programmation de notre Grand Remplacement ?
Ces 200,000 bebes avortes bien blancs, bien Francais, seront remplaces par les 200.000 immigrants ... qui entrent en France tous les ans!
L'avortement est un meurtre relevant des Assises ! C'est bien un petit être humain VIVANT qu'on a assassiné VOLONTAIREMENT et non par accident !
Oui, c'est un meurtre délibéré. Ce petit être est vivant, on le voit, c'est un être HUMAIN, mais lui et les 220 000 autres assassinés dans le ventre de leur mère ne verront jamais le SOLEIL, ni ne respireront une fleur...
bien entendu , que ces avortements sont le fait de jeunes femmes européennes , une mesure du Système afin de faciliter le plan du Grand Remplacement . .!!
salutations.