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  • Drame des migrants: "Kadhafi, c'était déjà le chaos" se défend BHL

    http://www.leparisien.fr/politique/libye-kadhafi-c-etait-deja-le-chaos-se-defend-bernard-henri-levy-29-04-2015-4734911.php

  • Un tweet de Stéphane RAVIER

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  • Dimitri Casali : J’ai pris ces nouveaux programmes scolaires comme un nouveau coup de poignard à ce qui fonde notre identité

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    Source : Atlantico — Dimitri Casali, historien et directeur de collection, livre ses réflexions sur les nouveaux programmes d’histoire. Il explique en quoi ils menacent les fondements de notre identité et préparent les guerres civiles françaises de demain.

    Les concepteurs des programmes n’ont pas tiré les leçons des attentats du 11 janvier, ni compris l’attente de tout un peuple pour retrouver ses racines : la transmission de la culture est le premier facteur d’intégration. Pour éviter que des événements comme ceux de janvier ne se reproduisent, il faut réapprendre à nos élèves à aimer la France. Le projet de programme d’histoire au collège manqué de ce grand récit fédérateur, qui parle à tous les Français, quelle que soit leur origine ou leur religion. Exit l’humanisme de Montaigne et l’esprit des Lumières, à la trappe Napoléon Ier, Louis Philippe, la IIe république et Napoléon III, Gambetta, optionnel l’enseignement du christianisme à l’époque médiévale. En revanche, l’étude de l’islam et de la traite négrière sont obligatoires. La France est le produit d’un double héritage chrétien et monarchiste et républicain et laïc. Effacer des programmes scolaires ces périodes revient à effacer ce qui fait l’identité de la France.

    Les concepteurs des programmes pensent avoir affaire à de jeunes universitaires qui savent déjà tout de l’histoire de France, alors qu’en réalité 25 % des élèves qui entrent en 6e ne savent ni lire ni écrire. Cette réforme, qui vient s’ajouter à la suppression du grec et du latin, est révélatrice des partis pris idéologiques des technocrates de la rue de Grenelle.
    Ils affichent leur volonté de plaire aux nouveaux arrivants en supprimant tout ce qui peut les heurter : l’enseignement des racines chrétiennes et l’exercice de l’esprit critique si français. On s’étonne ensuite que des Coulibaly, des Kouachi et des Merah, qui tous ont suivi consciencieusement le cursus scolaire français, puissent en arriver à des telles extrémités.
    Ces garçons sont le pur produit des travers de la société française tout entière*, et en particulier de ceux du ministère de l’Éducation nationale qui ont déconstruit nos valeurs et nos repères depuis une trentaine d’années

    Crédit photo : Michel Montignon via Flickr (CC)

    NOVOPRESS

    NdB: * Pas d'accord  sur ce point!

  • Éric Zemmour : “Le territoire national est en train de redevenir un lieu de guerre”

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    29/04/2015 – FRANCE (NOVOpress)
    Depuis la chute du mur du Berlin, en 1989, le ministère de la Défense est le premier à réduire ses dépenses. Alors qu’à ce sujet, l’armée avait pris le parti du silence, elle s’exprime désormais haut et fort et demande des soldats. Pourtant la France est exsangue. La gauche doit donc faire des choix. Et l’armée française manque de moyens.

    En dix ans, l’armée de Terre a perdu 45.000 hommes et arrive aujourd’hui à un seuil de 100.000 hommes.

    Éric Zemmour va plus loin :

    Actuellement près de 10.000 hommes sont chargés de la sécurité des lieux publics. Autant que ceux engagés dans les interventions extérieures, au Mali ou en Centrafrique. Le territoire national est en train de redevenir un lieu de guerre.

  • Pour Chloé, Aurélie et tous les autres ! Tribune par Vincent Revel

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    28/04/2014 – FRANCE (NOVOpress)
    En Hollandie, comme sous l’ère Sarkozy d’ailleurs, les vies brisées ne nous enseignent rien. Médiatiquement, elles servent juste à créer de l’émotion, une indignation passagère strictement contrôlée. Elles permettent aux incapables et aux fautifs de se justifier en donnant l’illusion d’être des personnes responsables. Mais au rythme de la désinformation continue, ces vies brisées entrent vite dans l’oubli pour l’immense majorité des consommateurs d’images que sont devenus les citoyens dociles de la Vème République.

    Après bien d’autres, Chloé et Aurélie (photos) rejoignent la cohorte des innocents sacrifiés sur l’autel d’un système décadent. Ce qui est le plus tragique, c’est d’écouter, sans résistance, les leçons de morale de ceux qui devraient normalement garantir notre sécurité et dont les échecs s’affichent jour après jour. Dans un esprit soixante-huitard, libéral et libertaire, mondialiste et sans-frontiériste, ils continuent de transformer les coupables en victimes et les victimes en coupables, sans jamais se remettre en cause.

    Face à l’ignominie, notre peuple, en voie de dislocation, ne réagit plus que par intermittence par le biais de marches blanches.

     

    Du pourquoi et du comment, il ne veut pas savoir, il préfère le confort même si celui-ci mène tout droit à un suicide collectif. Face à l’horreur, il préfère détourner le regard en prétextant, comme le lui ont appris les nouveaux censeurs, que rien ne peut être fait contre l’inéluctable, que le risque zéro n’existe pas, que l’insécurité et la barbarie ont toujours été présentes, que tout cela est bien malheureux mais que c’est inévitable dans le monde du bien vivre ensemble. C’est le prix à payer pour vivre le rêve, pour ne pas dire l’utopie, de nos dirigeants déracinés. Le poids de la fatalité pèse sur les épaules du bon peuple tout en lui donnant bonne conscience car elle lui permet de faire comme si de rien n’était. Le relativisme ambiant justifie le pire et l’égalitarisme explique et conforte les actes les plus odieux. Tout ce cirque médiatique n’est qu’une mascarade car la réalité est bien plus cruelle. Elle a le goût du sang, du carnage, de la honte car elle nous dévoile notre incapacité à protéger les nôtres.

    La lâcheté guide nos actions et la peur annihile toute réaction. Pourtant, dans notre société multiculturelle où « le droit de l’hommisme » règne sur nos consciences comme peut le faire une religion orientale, où l’emballement de la procédure judiciaire à l’américaine broie tout sur son passage, nous serions en droit de réclamer justice.

    Dans les morts de Chloé et d’Aurélie, nous connaissons tous les vrais responsables. Ces meurtres sont le reflet des défaillances, voulues et entretenues par nos politiques, de notre système judiciaire et de notre politique d’immigration.

    Comment pouvons-nous continuer à ne pas voir ? Pourquoi sommes-nous encore si peu nombreux à vouloir essayer de sauver ce qui nous unit ? Débarrassons-nous de l’esprit de culpabilité qui nous accable et nous terrasse. Tournons le dos à ce consumérisme individualiste et à ce communautarisme violent qui nous détruisent de l’intérieur.

    Soyons lucides et élevons-nous contre cette oligarchie cosmopolite capable de nous faire croire au lendemain d’actes terroristes islamistes que le remède à nos maux se résume par la nécessité d’avoir plus de mosquées sur notre territoire, d’avoir aussi une loi plus intransigeante contre le racisme et une autre loi liberticide sur le renseignement pour mieux contrôler les groupes identitaires ! Leurs mensonges sont tellement énormes que plus personne n’y prête attention. Il n’est pas normal que des faits divers comme ceux auxquels nous sommes confrontés (l’enlèvement et le meurtre d’une enfant de 9 ans par un délinquant étranger interdit de territoire et l’arrestation de Sid Ahmed Ghlam soupçonné du meurtre d’une jeune femme et d’un projet d’attentat islamiste contre plusieurs églises, après avoir bénéficié généreusement du regroupement familial) ne nous fassent pas plus réagir. Il est anormal que nous ne soyons pas plus nombreux à nous détourner définitivement de nos bonimenteurs. Cette indifférence est inquiétante car elle ne fait que confirmer l’idée défendue, entre autres par Éric Zemmour, que « l’âme du lieu s’est envolée ».

    « Nous ne savons plus où nous allons, car nous ne savons plus d’où nous venons. » Nous sommes perdus alors nous faisons mine de relativiser des évènements et des faits inacceptables, en évitant scrupuleusement les amalgames et les stigmatisations, de peur d’être ostracisés. Il n’y a pas de fatalité dans la vie des Hommes. Nous récoltons juste ce que nous semons et le pire reste à venir.

    Vincent Revel

    Crédit photo : DR.

  • Méditerranée : l’ONU propose “un encouragement à l’immigration légale comme solution globale”

    22h19

    Alors que l’Union européenne (UE) peine à mettre en place une stratégie à long terme pour traiter en profondeur la question de l’immigration clandestine, sous les projecteurs depuis les derniers drames survenus en Méditerranée, l’instance onusienne, par la voix de son secrétaire général, plaide pour la légalisation de l’immigration.

    “Il n’y a pas de solution militaire à la tragédie qui est en train de se produire en Méditerranée”, a déclaré, hier, Ban Ki-moon dans un entretien au journal italien La Stampa. Ban Ki-moon s’est dit préférer “un encouragement à l’immigration légale comme solution globale”, selon des propos cités par l’AFP. [...]

    Même Amnesty International réclame que les “opérations européennes de sauvetage de migrants en Méditerranée doivent impliquer des missions de recherches et secours au plus près des côtes libyennes”. “Nous voyons seulement cette mission patrouiller le long des frontières de l’Italie. Mais tous les bateaux qui ont coulé se trouvaient beaucoup plus loin, bien plus près de la Libye, et les navires (de Triton) ne vont pas dans cette zone”, selon Gauri Van Gulik, directrice adjointe d’Amnesty International pour l’Europe citée par l’agence Reuters. [...]

    Pour Ban Ki-moon, “une approche globale est cruciale qui prenne en compte les racines du problème, la sécurité et les droits humains des migrants et des réfugiés, comme avoir des canaux légaux et réguliers d’immigration”. “Les Nations unies sont prêtes à collaborer avec nos partenaires européens à cette fin”, dit-il.

    Faut-il comprendre que l’ONU va opposer son veto ? En attendant la mise en place d’une stratégie, des migrants continuent de fuir certaines zones de conflits ou des foyers de misère dans l’espoir de gagner les rivages cléments de l’Europe. Hier, 350 migrants syriens ont été interceptés dans le sud-est de la Turquie par les gardes-côtes alors qu’ils embarquaient pour l’Union européenne, a rapporté, hier, l’agence de presse officielle Anatolie reprise par l’AFP. 71 migrants ont été arrêtés à bord du bateau et 279 à terre, alors qu’ils attendaient au port de Mersin leur tour de monter à bord, selon la même source. Les migrants, parmi lesquels des femmes et des enfants, cherchaient à atteindre des pays de l’Union européenne, notamment l’Italie.

    Source et Source

    Merci à Mielrubis