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Une réforme du collège culturellement génocidaire !

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Nouvelles de France

Communiqué. Le projet de réforme du collège de Najat Vallaud-Belkacem, couplé aux propositions de refonte des programmes scolaires ont indéniablement un caractère anti-français, anti-chrétien et anti-humain.

L’école ne s’est jamais dégradé aussi rapidement depuis l’accession au pouvoir de François Hollande. Après la « refondation de l’école », la « charte de la laïcité », la « ligne Azur » et la « réforme des rythmes scolaires » portés par Vincent Peillon, le projet de Najat Belkacem est l’aboutissement du travail de sape de l’instruction nationale qui a démarré il y a 60 ans par l’entremise des communistes Langevin-Wallon.

La tentative de supprimer les enseignements du latin et du Grec, jugées « trop élitistes », la disparition des « classes bilangues », elles aussi jugées « trop élitistes », le programme d’histoire complètement chamboulé sous l’impulsion d’un racisme anti-français et anti-chrétien, qui préfère mettre en valeur de manière manichéenne plutôt la traite négrière ou la colonisation que les Lumières et la Chrétienté médiévale, tout en rendant l’islam obligatoire, et, pour finir, l’idéologique « interdisciplinarité » qui veut rendre l’école « cool » afin que les enfants ne s’ennuient pas, en mélangeant toutes les disciplines dans un « gloubi-boulga » général.

L’AGRIF s’inquiète du caractère ouvertement idéologique dans lequel toutes ces mesures s’inscrivent. Un des seuls à défendre cette réforme – y compris dans les rangs socialistes, le Premier ministre Manuel Valls, affirme à ce propos que « La République a fait l’école, et l’école a fait la République. ». Le premier ministre de l’éducation nationale de François Hollande, Vincent Peillon, était beaucoup plus clair : « c’est bien une nouvelle naissance, une transusbtantiation qui opère dans l’école et par l’école, cette nouvelle Église, avec son nouveau clergé, sa nouvelle liturgie, ses nouvelles tables de la Loi » (La révolution française n’est pas terminée, Seuil, 2008, p. 18). La République (et l’école) se passeraient bien de cette instrumentalisation à caractère théocratique des enseignements à destination des enfants français.

> le site de l’AGRIF

Commentaires

  • Le discours de Peillon est du discours maçonnique pur jus, pondu en loge et même pas décodé !
    Qu'il soit relayé par le frère Valls et l'employée docile Belkacem (qui roule par ailleurs pour l'islam) est d'une logique imparable ! La secte satanique est plus puissante que jamais !

  • L' un des objectifs évidents de cette réforme est la destruction de l' identité française et européenne : la suppression de l' enseignement du grec et du latin et l' enseignement obligatoire d' une religion étrangère et sanguinaire en sont les preuves les plus flagrantes.
    Les enseignement du christianisme et des " Lumières " deviennent facultatifs pour ne pas énerver les muzzs.
    Mais le but principal est le nivellement par le bas, certes pour ne pas laisser voir la différence de niveau entre les européens ( et asiatiques ) d' un côté et les importés de l' autre, mais surtout pour empêcher les autochtones d' accéder à des postes de responsabilité, tant dans le public que dans le privé, afin que ces postes échoient aux rejetons de la caste apatride qui a main mise sur la France.
    Les rouges mettent en place une société de type communiste où les enfants des apparatchiks ont déjà leurs places réservées et où le troupeau des fds lobotomisés ne sera plus en mesure intellectuelle de comprendre son sort et de se révolter.

  • " la République a fait l' école et l' école a fait la République ".
    Le très limité intellectuellement "Valls leurre de la République " récite la leçon de ses donneurs d' ordre , sans se rendre compte du ridicule de ce slogan .
    La République n' est ni une religion, ni une divinité.
    Et l' école existait bien avant 1789.
    " Ils " emploient le mot République pour " sidérer " le peuple . En réalité la République est pour eux leur dictature de voyous sur laquelle ils entendent bien se gaver, en attendant leur République universelle à la mode Attali.
    Les donneurs d' ordre ont placé des Français fraîchement naturalisés ou ayant peu de liens charnels avec l'Europe, mus par un sentiment de vengeance et d'envie de nature tribale ( Valls, Belkacem, Taubira) , peu doués intellectuellement , donc sans scrupules et totalement aux ordres.
    Tous les Français fraichement naturalisés ne sont pas de cette essence, je tiens à préciser.

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