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La France "invitée" à accueillir 9 127 migrants en deux ans et percevra 6.000 euros par demandeur

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13h25

[NDLR : la France dépense 2 milliards d'euros/an pour 62 735 demandeurs d'asile. Soit 31.880 euros/demandeur]

La Commission européenne persiste et signe : elle a présenté, mercredi 27 mai, son plan global sur l’immigration, en précisant les quotas de migrants à accueillir par pays. Malgré les réticences de certaines capitales et l’hostilité affichée d’autres, elle confirme sa volonté d’assurer une répartition de demandeurs d’asile qui séjournent actuellement en Italie et en Grèce.

 

Elle ne parle toutefois plus de « quotas » par pays, mais d’une « clé » établie en tenant compte de divers critères qui ont fait l’objet d’une pondération : le nombre d’habitants, le produit intérieur, le taux de chômage, le nombre de demandes d’asile déjà reçues et le nombre de réfugiés déjà accueillis au titre de la protection internationale.

Après avoir donné des premières estimations le 13 mai, Bruxelles propose la répartition, étalée sur deux ans, de 40 000 Syriens et Erythréens, dont 24 000 sont actuellement en Italie et 16 000 en Grèce. La France serait censée en accueillir 4 051 venant d’Italie et 2 701 venant de Grèce, l’Allemagne 5 258 et 3 505. Vingt et un autres Etats sont concernés : les traités européens octroient un opt-in (droit d’option) au Royaume-Uni et l’Irlande, qui peuvent décider de participer ou non à un tel projet, et le Danemark possède un opt-out, qui exclut sa participation.

Le plan présenté mercredi comporte un autre volet « accueil » pour 20 000 réfugiés reconnus par les Nations unies, qui demandent pour eux une protection internationale. Ce projet de réinstallation (resettlement) concerne, cette fois, les Vingt-Huit. Même si, jusqu’ici, 15 Etats membres seulement ont accepté ce principe, dans des proportions très variables : la Suède a accueilli plus de 2 000 réfugiés en 2014, la Finlande, 1 100, et les Pays-Bas, 800 ; 450 ont été admis en France et 280 en Allemagne. On n’en compte, en revanche, aucun en Pologne, en Bulgarie ou en Slovénie.

Selon les calculs de la Commission, la France devrait accueillir 2 375 réfugiés reconnus par l’ONU en deux ans, l’Allemagne, 3 086, la Pologne, 962, le Royaume-Uni, 2 309, etc. Un budget de 50 millions d’euros est prévu pour ce projet. En tout, la France devrait donc s’engager à recevoir 9 127 migrants sur les 60 000 accueillis sur l’ensemble de l’Europe….

La Commission prévoit que, pour chaque demandeur d’asile accepté dans un pays, celui-ci recevra 6 000 euros provenant du Fonds européen pour l’asile (AMIF)….

Source

Merci à lotus

Commentaires

  • ce n,est pas assez diront en chœur les collabos , et d,autres suivront . . .!!
    salutations.

  • Il est plus facile pour le pingouin de commémorer la résistance que de résister concrètement à l'invasion du pays ! C'est la Commission européenne désormais qui dicte l'avenir racial de l'Europe, avec la collaboration active des dirigeants européens.

  • Cette dictature porte uns sorte de signature, à savoir :

    Pas de migrants pour un petit pays bien connu.

  • Ah, ils sont sympas dans cette commission de l’UE : ils vont nous donner 6000 euros par clandestins ! Comme c’est nous qui lui donnons à l’avance ces sous, ils peuvent jouer les généreux, avec notre argent ! Et puis, en réalité, ces clandestins nous coûteront plus de 50000 euros ! Alors…

    J’aime bien la précision : la France devra accueillir 9127 clandestins, pas un de moins, pas un de plus !

Les commentaires sont fermés.