Les médias français en parlent peu et pourtant c’est un gigantesque scandale qui ronge la classe dirigeante britannique depuis des années. Le problème pour les médias, c’est que les pédocriminels impliqués sont très majoritairement des homosexuels ou bisexuels et, comme nous le savons tous, les LGBT sont une catégorie de gens qu’il est interdit de critiquer. Et il est surtout interdit de dévoiler toute affaire où pédophilie et homosexualité s’entremêlent, même si dénoncer ce genre d’affaires n’est pas accuser tous les homosexuels d’être pédophiles ni nier l’existence de pédophiles chez les hétérosexuels. Par ailleurs ce scandale concerne les élites, et d’ici que les Français viendraient à se demander si les mœurs de leurs propres élites ne pourraient pas être du même acabit… Quoi qu’il en soit, nos médias semblent vouloir en parler le moins possible alors que c’est une affaire tout simplement énorme. Sont impliqués notamment, outre des stars médiatiques (peut-être nos médias ont-ils peur des amalgames…), de nombreux députés et anciens ministres des trois grands partis traditionnels (Conservateurs, Travaillistes et Libéraux-démocrates).
Et, quoi qu’on en dise, la majorité des V.I.P. accusés aujourd’hui d’actes pédophiles et même de meurtres sadiques de jeunes garçons se rencontraient dans le cadre de partouzes entre hommes et étaient donc bien « gays » ou « bis ». Certains étaient même membres du groupe Paedophile Information Exchange (PIE), fondé en 1974 par un militant homosexuel écossais, qui militait pour la légalisation de la pédophilie (à ne pas confondre avec ce leader d’une association LGBT écossais, militant pour le droit à l’adoption par les couples homosexuels, qui a rencontré Tony Blair et la reine Elizabeth pour défendre la cause LGBT et qui a été condamné pour pédophilie aggravée en 2009). D’après les informations que l’on peut lire sur Wikipédia, le PIE était au départ un simple groupe d’intérêt au sein de l’association Scottish Minorities Group, une organisation militant pour les droits des homosexuels. Le successeur du fondateur du PIE à la présidence de cette organisation pédophile était lui-même lié à une autre organisation du lobby gay, le Gay Liberation Front. Et oui ! Jusque dans les années 80 (voire jusque dans les années 90 pour certains), il n’y avait pas que les Verts et certains représentants de la gauche et l’extrême-gauche européennes qui défendaient la pédophilie, c’était aussi le cas de certains milieux LGBT militants d’Europe et d’Amérique qui se sont ensuite tournés vers les revendications pour le « mariage » et l’adoption ! Et les anciens militants pédophiles semblent aussi avoir discrètement investi la branche européenne de l’OMS.
Un des hauts lieux de rencontre des membres du réseau pédophile de Westminster (en anglais : Westminster Paedophile Ring) était le petit hôtel Elm Guest House dont les mérites étaient vantés dans un bulletin publié en 1982 par le Conservative Group for Homosexual Equality (« groupe conservateur pour l’égalité des homosexuels »), une fraction du parti conservateur. Proche du parlement, cette belle maison de style édouardien servait en effet de refuge aux adeptes du sexe entre hommes. Ce que le bulletin ne précisait pas, mais ses auteurs le savaient certainement, c’est que des garçons de 8 ans et plus étaient régulièrement violés dans cette sinistre maison de rencontres gay. Et depuis novembre 2014 Scotland Yard enquête même, à la suite de témoignages récoltés dans le cadre de ses nombreuses enquêtes sur les réseaux pédophiles impliquant les élites du royaume (élites politiques et médiatiques, mais aussi des officiers de l’armée, du renseignement et de la police, des juges et d’autres personnalités), sur des accusations de meurtre sadiques de jeunes garçons en présence de députés, et même par un député dans un cas, et aussi en présence de Leon Brittan qui a été ministre de l’Intérieur du gouvernement de Margaret Thatcher et qui a été anobli par la reine en 2000 ! Un Brittan qui, d’après un ancien policier, avait été photographié en 1986 alors qu’il entrait dans une maison où avaient lieu des partouzes entre hommes adultes et avec des garçons « loués ». L’opération Orchird qui a permis de photographier Leon Brittan a été annulée à la veille d’une descente prévue de la police, sur ordre venu d’en haut.
Un des témoins, cité par la police et les médias sous le pseudonyme de Nick, un homme qui approche aujourd’hui la cinquantaine, affirme avoir assisté en personne à trois meurtres de ce type entre 1975 et 1984. « Nick » a lui-même été victime de ces réseaux quand il était enfant et il affirme avoir été violé par des hommes politiques et des officiers de l’armée, y compris par un homme qui s’est présenté à lui comme s’appelant « Leon » et que Nick reconnaît comme étant Leon Brittan, décédé d’un cancer au début de l’année. Une des trois victimes de meurtre était un garçon d’environ 12 ans étranglé par un député du parti conservateur pendant une partouze homosexuelle dans une maison londonienne. Une deuxième victime aurait été battue à mort, toujours selon Nick, en présence de Leon Brittan, après avoir été violée. Quant à la troisième victime, il s’agirait d’un garçon d’environ 10 ans qu’un des violeurs aurait volontairement renversé avec sa voiture pour terroriser les autres enfants et les dissuader ainsi de parler de ce qui leur était arrivé.
Une autre affaire permet de supposer que la débauche des élites homosexuelles britanniques allait parfois jusqu’au meurtre sadique. C’est celle d’un jeune garçon de 8 ans, Vishal Mehrotra. Vishal a disparu en juillet 1981 à proximité de l’Elm Guest House. Sept mois plus tard, on a retrouvé la moitié supérieure de son corps enterrée dans un bois. Le père de Vishal affirme avoir été à l’époque contacté par un prostitué. Cet homme lui aurait dit que Vishal avait été enlevé par un réseau pédophile influent dont les membres se rencontraient à l’Elm Guest House. Cette information a été transmise à la police mais celle-ci n’a fait, d’après des informations publiées récemment par le journal Sunday People, qu’interroger 4 ou 5 personnes sans contrôler pleinement leurs alibis. Ce n’est que quatre mois après qu’une partie du corps de Vishal a été retrouvée que la police a fouillé ce lieu de rencontres gays. Si les journaux de l’époque ont fait le lien entre cette opération policière et le meurtre du petit Vishal, il n’y pas eu de suite et on ne sait toujours pas qui était derrière ce crime.
La langue de la propriétaire de ce sinistre hôtel a bien commencé à se délier il y a 25 ans, mais fort heureusement pour les élites du Royaume-Uni elle a eu la bonne idée de se suicider rapidement, en 1990, par overdose d’insuline. Le hasard fait bien les choses, n’est-ce pas ?
L’Elm Guest House n’était toutefois pas le seul lieu de débauche homosexuelle et pédophile des députés et ministres de sa majesté. Parmi les autres lieux privilégiés, il y avait des foyers de garçons comme le Kincora’s Boys Home de Belfast, en Irlande du Nord. Les garçons de ce foyer étaient forcés de se prostituer et on comptait parmi la clientèle des députés du parlement britannique. Les responsables de ce foyer ont été condamnés à quelques années de prison en 1981, mais les clients n’ont, eux, jamais été inquiétés. D’autres orphelinats d’Angleterre et du pays de Galles ont eux aussi été à l’origine de graves scandales pédophiles du même genre sans que la clientèle de ces maisons closes d’un type très spécifique n’ait jamais été inquiétée.
Un autre haut lieu de rencontre des membres du parlement de sa majesté, c’étaient les appartements de la résidence Dolphin Square dans le quartier de Westminster City à Londres (qui fait aujourd’hui l’objet d’une enquête de Scotland Yard dans le cadre de l’opération Fairbank). En novembre 2014, le député travailliste John Mann a affirmé qu’il avait remis en personne à la police en 1998 les preuves de crimes pédophiles à Dolphin Square mais que l’enquête avait été suspendue au bout de 3 mois sur ordre de « ceux d’en haut ».
Car l’autre scandale, c’est la protection dont ont bénéficié – et bénéficient encore – les homosexuels et bisexuels pédophiles membres du parlement. Ainsi, en avril dernier, le parquet britannique a informé qu’il avait réuni suffisamment de preuves pour inculper l’ancien député travailliste Lord Janner. Dans le cadre de l’opération Enamel, la police a recueilli les témoignages à charge de 25 victimes de Lord Janner et la procureure Alison Saunders a affirmé détenir des preuves suffisantes d’abus sexuels sur neuf garçons. Néanmoins, elle a aussi prétendu que Lord Janner ne pouvait pas être traduit en justice en raison de son état de démence sénile. Pourtant, le site de journalisme d’investigation Exaro News a compté qu’après 2009 où Lord Janner avait été diagnostiqué comme atteint de la maladie d’Alzheimer, il avait encore voté 203 fois au parlement et perçu 104 365 livres sterling au titre de ses indemnités de député.
Un autre exemple de député protégé, c’est le libéral-démocrate Cyril Smith mort en 2010. Lui aussi anobli, en 1988, cet homme obèse et « bon-vivant » était très apprécié dans les milieux politiques d’outre-manche et grand ami du pédophile de la BBC Jimmy Savile (en fait Savile n’était apparemment pas que pédophile, mais aussi gérontophile, nécrophile, etc.). Cyril Smith a été député de Rochdale pendant 30 ans, de 1972 à 1992. Ses penchants étaient tellement connus que les parents faisaient peur à leurs enfants en leur disant que s’ils n’étaient pas sages « oncle Cyril » viendrait les chercher. Le parquet britannique a reconnu en 2012 que Smith avait de son vivant fait l’objet de 144 plaintes d’agressions sexuelles sur des garçons de 8 ans et plus mais que toutes les tentatives d’inculpation avaient été bloquées d’en haut. Le 17 mars dernier, la BBC a diffusé dans son émission Newsnight un reportage sur l’arrestation de Smith dans les années 80, quand des policiers placés en embuscade l’avaient filmé avec d’autres hommes en train d’avoir des relations sexuelles dans un appartement à proximité de Westminster avec des garçons mineurs. Les policiers enquêteurs avaient été contraints de relâcher le député au bout de quelques heures et de remettre toutes les preuves et notes de l’enquête, et aussi de se taire sous peine d’être poursuivis pour divulgation du secret de l’enquête.
En 1984, le rédacteur en chef d’un journal local, le Bury Messenger, a reçu la visite de Cyril Smith. Un Cyril Smith fou furieux et menaçant. Don Hale avait reçu de la députée travailliste Anne Castle un dossier du ministère de l’Intérieur concernant le réseau pédophile de Westminster, avec des accusations de viols et de meurtres d’enfants. Il a refusé de céder aux menaces de Cyril Smith, mais le lendemain ce sont les services spéciaux de la police qui l’ont forcé à obtempérer et c’est ainsi qu’Anne Castle, qui avait tenté en vain d’intéresser les journaux nationaux avec ses documents confidentiels du Home Office, a perdu sa bataille contre le député de Rochedale et les sympathisants du Paedophile Information Exchange. Les documents étant classés confidentiels et la loi britannique sur la diffamation étant dissuasive, Don Hale ne pouvait ensuite que se taire.
Cyril Smith avait aussi, comme Leon Brittan, été photographié dans le cadre de l’opération Orchird que j’ai mentionnée plus haut.
En décembre 2014, le site d’investigation Exaro News a publié des extraits de conversations sur un forum fermé réservé aux policiers actifs et retraités auxquels les journalistes d’Exaro avaient eu accès grâce à l’aide d’un des policiers membres du groupe de discussion. Les journalistes ont ainsi pu suivre les conversations pendant 4 mois. Dans les extraits publiés par Exaro News des policiers expriment leurs frustrations à cause des enquêtes sur les affaires pédophiles qu’ils avaient menées dans le passé et qui avaient été étouffées.
Toujours en 1984, un député du Parti Conservateur, Barry Dickens, a remis en personne au ministre de l’Intérieur Leon Brittan un dossier dont il avait dit à sa famille que c’était une bombe qui allait faire sauter le couvercle et qu’il concernait des gens influents amateurs du sexe avec les enfants. Ce dossier contenant les noms de 8 personnalités et d’un ancien membre du parti conservateur membre du Paedophile Information Exchange pris par des douaniers en possession de pornographie infantile. Mais le dossier remis à Brittan a bien entendu disparu sans suite : il fait partie des 114 dossiers concernant des affaires de pédophilie compromettantes pour les élites du royaume dont la disparition a été constatée lors d’un contrôle interne du ministère de l’Intérieur en 2013. La maison de Dickens et l’appartement de son père ont été cambriolés dans la semaine qui a suivi la remise du dossier à Leon Brittan en 1984.
Le successeur à la députation de Rochedale est depuis 2010 le député Simon Danczuk. Simon Danczuk a écrit un livre sur la double vie de Cyril Smith. Il est aussi persuadé que Margaret Thatcher, quand elle était premier ministre, était au courant des agissements des élites politiques, y compris au sein de son gouvernement et à la tête du parti conservateur. Pour ceux qui ont une image immaculée de la « Dame de Fer », il convient de rappeler ici qu’elle avait voté en faveur de la loi de 1967 qui autorise les femmes en Grande-Bretagne à tuer leur enfant jusqu’à la 24e semaine de grossesse. Il n’y avait donc pas de raison qu’une fois premier ministre elle se soucie plus du bien des enfants que de celui de son gouvernement.
Une assistante sociale exerçant ans les années 1980-90 dans un quartier nord de Londres à proximité du siège international du Paedophile Information Exchange, Liz Davies, s’est inquiétée à l’époque du nombre de garçons adolescents affichant des signes d’abus sexuels. Elle a parlé du problème au conseil municipal de son quartier d’Islington en 1990, en présence de Margaret Hodge qui allait devenir en 2003 ministre pour les Enfants dans le gouvernement de Tony Blair. Mme Hodge a choisi d’ignorer l’avertissement de Liz Davies. Celle-ci a donc mené sa propre enquête avec un ami policier, avant d’être convoquée par ses supérieurs qui l’ont menacée. Continuant malgré tout à parler aux victimes, elle a abandonné quand elle s’est aperçue que les garçons étaient ensuite renvoyés dans des foyers d’accueil qui alimentaient les réseaux pédocriminels et étaient à nouveau victimes de sévices sexuels.
La police des polices (IPCC) a officiellement ouvert une enquête le 16 mars 2015 pour faire le clair sur 14 chefs d’accusation concernant la destruction de preuves sur les crimes pédophiles des élites entre 1970 et 2005. Simon Danczuk et les médias britanniques reprochent néanmoins au premier ministre Cameron de continuer à cacher les documents à charge qui n’ont pas été détruits. Le journal Mail on Sunday s’est battu pendant 11 longs mois et a dû menacer le gouvernement d’un procès pour que lui soit divulguée une partie des documents, mais des dossiers entiers lui ont été refusés, malgré la loi britannique sur la transparence des informations publiques, au prétexte du risque que la divulgation de ces documents peut représenter pour la sécurité nationale.
Les cas que je décris ici et qui proviennent de très nombreux articles parus dans les médias britanniques (chercher « Westminster Paedophile Ring » ou « Westminster Paedophile Network » sur Internet) ne représentent qu’un échantillon des affaires divulguées en Grande-Bretagne, un pays qui, malgré ses multiples défauts, possède encore une presse capable de dévoiler les informations les plus compromettantes pour les élites. Ce qui n’est pas le cas de la France. Je ne peux m’empêcher de me demander si la déchéance morale des élites outre-Manche fait figure d’exception, ou si c’est la capacité de la presse britannique à dévoiler le scandale qui est unique en son genre. Sachant qu’il y a eu des liens étroits dans les années 70-80, et pas qu’en Grande-Bretagne, entre les associations pédophiles et le lobby LGBT, je ne peux m’empêcher de m’interroger aussi sur les photographies compromettantes qui pourraient être en possession d’un lobby dont le pouvoir de pression est sans commune mesure avec le pourcentage des personnes qu’il représente, d’autant plus que sur les 2-3 % d’homosexuels que compte la société, tous n’apprécient pas ce lobby gay. Que de telles photographies existent en Grande-Bretagne, cela semble faire peu de doutes, mais en France ?
En France, on vient d’accorder la nationalité française à Daniel Cohn Bendit, un homme qui revendiquait au début des années 80 ses actes pédophiles dans une école maternelle en Allemagne.
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NDF
Commentaires
Ils sont bien protégés comme en France, et comme en France :
TOUS POURRIS !
Ils sont bien protégés comme en France, et comme en France :
TOUS POURRIS !
Hallucinant ! Mais ce n'est pas le seul lobby homo qui est capable de maintenir une telle omerta sur autant de dossiers pendant aussi longtemps ! Il faut rechercher le rôle de la maçonnerie, très puissante en GB, jusqu'à la Cour royale, dont les liens avec les réseaux pédophiles ont souvent été évoqués. Le nombre de personnages de haut niveau impliqués est symptomatique !
Et en France ? Quid du silence autour des plaisirs marocains de Jack Lang ? En Belgique, quid de la dénonciation de l'ancien 1er ministre Di Ruppo par Laurent Louis ? Et les réseaux de l'affaire Dutroux? …et nombre d'autres affaires étouffées. L'affaire Outreau a-t-elle délivré tous ses secrets ?
Et l'ancien gendarme Stan Maillaud qui avait mis le nez dans ces réseaux de l'horreur est-il le parano qu'on s'empresse de décrire ?
Cet article est accablant sur les protections "au plus haut niveau" (SIC) dont bénéficient ces monstres !
Ces êtres sataniques se protègent entre eux. Il ne faut rien attendre de la Justice. Un de ces monstres est anobli par la reine!
C'est bien pire qu'au temps de Gilles de Rais, qui était cependant un puissant seigneur sur ses terres! Jugé et mis à mort.
@Dirk
Stan Maillaud et Janett Seermann - Entrevue choc et ...(vidéo S )
les puissants et autres initiés se protègent entre eux , le bas- peuple n,est que bétail humain pour cette "élite" admirée souvent par des naïfs et autres gogols . .!!
plus de nouvelles de S.M depuis un bon bout de temps . . .!!
salutations.