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Islamisation : Dewsbury, 4033 habitants, 38 Anglais de souche

 

 

18/06/2015 – FRANCE (NOVOpress)
Le Daily Mail nous présente la déchéance de Dewsbury, une ville de 4033 habitants où il ne reste plus que 38 Anglais de souche, devenue fameuse 
outre-Manche

Dewsbury, ou plus précisément le quartier de Savile town, est connu comme étant la ville d’où viennent trois des quatre kamikazes qui ont tué 52 personnes à Londres en juillet 2005, comme le quartier général de Tablighi Jamaat un mouvement missionnaire mondial salafiste dont la pratique religieuse austère, ultraconservatrice, entretient la croyance que les valeurs britanniques constituent une menace pour les musulmans et comme la ville de naissance de Talha Asma, plus jeune kamikaze a s’être fait explosé en Iraq à 17 ans.

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Talha Asma, le plus jeune auteur d’un attentat-suicide, originaire de Dewsbury

Cette ville du nord de l’Angleterre était autrefois dominée par les usines textiles qui avaient assuré la prospérité de la région.
À la fin des années 50, des immigrés, essentiellement musulmans, arrivèrent pour prendre part au développement industriel. Ils travaillaient dur et purent bientôt s’acheter quelques maisons et ouvrir leurs propres commerces.
Mais dans les décennies suivantes, la mondialisation ralentit l’activité locale et le travail devint plus rare. Et les nouvelles générations de musulmans établies dans la ville ne semblaient pas non plus désireuses de travailler à tout prix.
Ils furent aussi influencés par les mosquées et le dogme du multiculturalisme mis en avant par les politiciens libéraux blancs de la région.

Ils n’attendaient pas des nouveaux immigrants de respecter les manières britanniques ou les valeurs occidentales, mais les encourageaient à développer leur propre culture sans poser de questions,

explique Danny Lockwood, un ancien habitant. Il cite l’exemple des deux élus torys locaux qui, cherchant un soutien de la communauté musulmane, avaient annulé une kermesse d’été, car une tente à bière offensait les sensibilités musulmanes au sujet de l’alcool, et admettaient que les infirmières de l’hôpital local déplacent les lits des patients vers la Mecque pour qu’ils puissent prier correctement.


Jean Wood, une des rares habitantes historiques, est déterminée à passer le reste de ses jours dans Savile Town. C’est où elle a grandi, est allée à l’école primaire et s’est mariée à l’église il y a près d’un demi-siècle.

Mais je ne reconnais plus rien, nous raconte-t-elle, tout est arrivé si vite. Et comme je ne suis pas musulmane, je n’ose plus sortir la nuit. Mon fils s’est fait poursuivre par des jeunes en voiture une fois, et le bus de la paroisse s’est fait caillasser en passant ici.

Elle pense que c’était pour faire peur aux gens qui ne sont pas d’ici.

Il serait intéressant de comprendre plus en détail comment une ville ouvrière on ne peut plus traditionnelle d’Angleterre est devenue un ghetto musulman.

On pourra tout débuter au 24 juin 1989. C’était au moment des versets sataniques de Salman Rushdie et du déchaînement de colère des habitants musulmans. Des copies du livre ont été brûlées ce jour-là à Bradford et le British National Party avait organisé un rassemblement à Dewsbury. Il a été attaqué par des anarchistes qui ont rassemblé les jeunes musulmans de la ville et une émeute a éclaté. La police contenait les musulmans en colère et les ont repoussés de l’autre côté de la rivière Calder, à côté d’un symbole de la culture britannique traditionnelle, le pub de Scarborough.

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Haroon Aswat (à droite), aussi originaire de Dewsbury, voulait monter un camp d’entrainement avec l’extrémiste au corchet, Abu Hamza (à gauche).

Le propriétaire était là et décrit la scène. Tous les magasins musulmans se sont brusquement fermés. Les voitures avaient disparu sauf celle d’un client du pub. Une marée humaine avançait. Il a verrouillé les portes du pub, mais ils ont cassé les portes et, incapables de briser le verre incassable, ont poussé les cadres des fenêtres. Les clients se sont enfuis à l’étage tandis que le bas du pub a été complètement dévasté. Ils craignaient que le bâtiment soit incendié avec eux à l’intérieur. À l’extérieur la voiture était massacrée. Finalement la police est arrivée et les émeutiers sont partis.

Puis les trafics divers se sont développés. D’où la prolifération des boutiques qui manipulent du cash, il y a plus de vendeurs de kebabs ici que partout ailleurs. Mais il y des recettes régulières et qui peut prouver que ces sommes relativement petites, qui grossissent vite, ne sont pas le produit d’une douzaine de pizzas et de « Grecs » vendus chaque jour ?
Et le blanchiment de cet argent est assez simple : un « homme d’affaires » va à sa banque et retire 100 000 £ en liquide. Les banquiers ne disent rien, ils ont été habitués aux transactions « charia compatible », c’est-à-dire sans aucun intérêt ni aucun crédit, donc sans aucune usure occidentale. Et ils ne veulent surtout pas être traités de racistes par des commerçants forcement honnêtes qui fournissent un business régulier. La somme part à l’étranger où sert à une nouvelle opération. Puis le même « homme d’affaires » retourne à sa banque avec un autre paquet de 100 000 £. Malheureusement son deal ne s’est pas fait et il remet l’argent. Et le banquier ne va certainement pas se demander s’il s’agit des mêmes billets.
Voilà pourquoi tant de ventes de maisons, souvent à des personnes âgées qui cherchent désespérément à quitter ce quartier agressif, se font en espèces. Et cela évite aussi de payer trop de taxes.

Danny Lockwood se souvient aussi du club de Cricket Dewsbury qui accueillait les matchs du comté. C’était le centre du monde pour un Yorkshireman. Il y avait aussi des terrains pour le hockey sur gazon, le football, le rugby et de boules. Le club house du cricket a été incendié durant les années 1980. L’équipe féminine de hockey a subi injures et des agressions même pendant les matchs. La police leur a fait comprendre que leur présence était provocatrice et ils ont trouvé d’autres locaux.
L’équipe de rugby a été plus tenace. Le vandalisme est devenu une norme. Le terrain se retrouvait parsemé de bouts de verre qui devaient être nettoyés avant chaque match. Des morceaux de métal étaient volontairement enfoncés dans le gazon, en particulier autour des lignes d’essai où les joueurs glissaient sur l’herbe. Là aussi la police les a encouragées à trouver d’autres terrains et finalement ils l’ont fait.
Ces terrains de sport maintenant abandonnés étaient détenus en fiducie par le conseil municipal. Qui a vu là un moyen de jouer sur deux tableaux : se décharger de la responsabilité des terrains inutilisés et se faire des soutiens dans la communauté musulmane. Ils ont décidé de donner les terrains à la « communauté musulmane » pour la somme symbolique de 1 £. Et dans leur même logique électoraliste ils ont décidé que les responsables de la plus grande et la plus importante mosquée serait les bonnes personnes. Tablighi Jamaat devint ainsi l’heureux propriétaire de ce qui avait été à son apogée le meilleur terrain de cricket dans le West Yorkshire.

Dewsbury, petite cité textile, est devenue un fief musulman.

Dewsbury, petite cité textile, est devenue un fief musulman.

Puis en juin 1994, lors d’une célébration de l’Aïd, 55 000 personnes apparurent presque du jour au lendemain sur ces terrains. Comme par magie. Et nul à l’extérieur de la communauté musulmane, pas même un journaliste ne savait d’où ils venaient.
Tout l’espace a été occupé, des toiles protégeaient les arrivants, les jardins des maisons occupés, toutes critiques contre l’appel à la prière de 4 heures du matin était qualifié de raciste. La route principale été bloquée et avec la rivière d’un côté et le chemin de fer, le quartier de Savile town se retrouvait scellé. Les Infirmières voulant voir leurs patients ne pouvaient pas entrer, mais des docteurs musulmans avaient leurs propres consultations et la fin de la semaine des heures supplémentaires et les ordonnances furent facturées 10 000 £ aux services sociaux.

Crédit photo : Jamie wiseman pour le Daily Mail = marchande de glaces,vue de Dewsbury
Sunday Mail = haroon Aswat et Abu Hamza_

Commentaires

  • C'est l'image de nos villes dans quelques décennies ! A Roubaix, c'est déjà bien engagé, mais aussi à Tourcoing, Lille, etc., et dans bien d'autres villes en France.
    Les parents Corses viennent de nous donner un bon exemple de résistance, mais ce ne sera pas suffisant !

  • Ce qui arrive à cette petite ville ressemble à un scénario de science-fiction.
    Complots, intimidations par des moyens criminels comme les pièces de métal fichées dans les pelouses de terrain de sport.
    Le plus étonnant, effrayant, est la complicité des autorités autochtones dont on ne connait pas les réelles motivations ( peur irraisonnée, corruption ou obéissance à des mots d' ordres d' officines mondialistes occultes ).
    Le résultat est dans tous les cas la communautarisation de populations arriérées et violentes.
    Un cocktail explosif dont la seule issue est la guerre.

  • les autorités locales Anglaises, (comme on le voit si souvent en France), doivent sûrement obéir à des instructions Occultes , car pour en arriver à cette situation,il faut bien le vouloir, les musulmans doivent les considérer comme des C. . . molles , ce quoi ils n,ont guère tort, un peuple qui ne résiste plus , ne se défend plus , au nom du vivre ensemble et autres conneries du même type, n,a plus qu,une solution , disparaitre en silence . . .!!
    salutations.

  • Et c'est à ça qu'a servi la bataille d'Angleterre - le poivrot Churchill peut être fier ;o)

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