Les députés français ont adopté aujourd'hui, en première lecture, un projet de loi controversé sur l'immigration qui propose d'améliorer les conditions de vie des résidents légaux en France tout en renforçant la lutte contre l'immigration illégale. Les groupes PS, des radicaux de gauche ont voté ce projet de loi. Les groupes écologiste et Front de gauche se sont abstenus. Les groupes Les Républicains et UDI (centriste) ont voté contre.
Le ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve a précisé que la France comptait six millions d'étrangers et que les flux migratoires réguliers représentaient environ 200.000 personnes par an, dont 65.000 étudiants, moins de 20.000 travailleurs et de 15.000 à 20.000 personnes demandant asile ou refuge, le solde étant constitué essentiellement par l'immigration familiale.
Le député Les Républicains Guillaume Larrivé, un proche de Nicolas Sarkozy, a dénoncé avec force ce texte qu'il a qualifié de "contresens". "Ce texte ne constitue pas une rupture suffisante par rapport à la logique de l'ancienne majorité", a dit André Chassaigne (PC), président du groupe Front de gauche. Les associations de défense des immigrés critiquent également ce projet de loi, notamment la mesure qui donne des pouvoirs accrus aux préfets.
Le texte, examiné quelques jours après l'adoption définitive par le Parlement d'une réforme du droit d'asile, prévoit la création d'un titre de séjour de deux à quatre ans, après un premier d'un an, destiné à éviter aux étrangers d'avoir à se rendre chaque année en préfecture.
Le ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve a précisé que la France comptait six millions d'étrangers et que les flux migratoires réguliers représentaient environ 200.000 personnes par an, dont 65.000 étudiants, moins de 20.000 travailleurs et de 15.000 à 20.000 personnes demandant asile ou refuge, le solde étant constitué essentiellement par l'immigration familiale.
Le député Les Républicains Guillaume Larrivé, un proche de Nicolas Sarkozy, a dénoncé avec force ce texte qu'il a qualifié de "contresens". "Ce texte ne constitue pas une rupture suffisante par rapport à la logique de l'ancienne majorité", a dit André Chassaigne (PC), président du groupe Front de gauche. Les associations de défense des immigrés critiquent également ce projet de loi, notamment la mesure qui donne des pouvoirs accrus aux préfets.
Le texte, examiné quelques jours après l'adoption définitive par le Parlement d'une réforme du droit d'asile, prévoit la création d'un titre de séjour de deux à quatre ans, après un premier d'un an, destiné à éviter aux étrangers d'avoir à se rendre chaque année en préfecture.
Commentaires
Et en avant : encore des droits supplémentaires pour les immigrés et évidemment cela entraine ipso facto une nouvelle réduction des droits des Français de souche : nous devons financer tous ces immigrés qui vivent à nos crochets, sans compter leurs parents et amis restés au pays mais à qui ils envoient régulièrement de l’argent, de la nourriture, des médicaments que nous leur fournissons gratuitement!
PS : il est évident que les chiffres donnés par Cazeneuve sont faux : ils sont sous-estimés d’au moins un facteur 3 : récemment un ancien directeur de l’INSEE affirmait qu’il y a chaque année en France depuis 10 ans 600000 (six-cent-mille) immigrés supplémentaires !
l,enfumade du sieur Cazeneuve ne peut convaincre que les demeurés , il suffit de se promener dans nos villes et villages pour avoir la réalité en pleine face . .!!
droit des étrangers , et devoirs de toutes sortes pour les souchiens .
une époque formidable que l,on vit . .!!
salutations.