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Pourquoi je ne me convertirai jamais à l'islam

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Puisque nos élites les aiment tant et les accueillent afin que le bon peuple de France devienne le bon peuple musulman de France, et pour faciliter mon avenir, pourquoi ne me convertirais-je pas à l’islam ?

 
         
  

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Après un mois de ramadan, après une nuit de ramdam pour la fête de l’Aïd el-Fitr, j’ai réfléchi et je me suis dit : puisque nos élites les aiment tant et les accueillent afin que le bon peuple de France devienne le bon peuple musulman de France, et pour faciliter mon avenir, pourquoi ne me convertirais-je pas à l’islam ? Et puis, en réfléchissant encore un peu, je me suis dit…

Voilà pourquoi je ne me convertirai jamais à l’islam. Faut-il vraiment que je bâche ma femme, comme si sa beauté pouvait altérer le jugement des hommes et les empêcher de contempler l’ineffable sans pour autant se maîtriser ? Et pour retenir l’imbécillité, dois-je vraiment la bâcher pour la sauvegarder d’elle-même, de son intelligence ? Dois-je la bâcher pour excuser la bêtise et la concupiscence d’arriérés que ses formes, naturelles, excitent au point de leur procurer des envies de viol ? N’est-il pas donc possible que les musulmans puissent regarder une femme comme l’œuvre de leur Dieu, donc sacrée et, de fait, agréable à l’œil parce qu’il doit plaire à leur Dieu que la beauté existe et qu’elle s’expose ? Bon, comme je ne pourrai pas enclore ma femme, je ne me convertirai pas à l’islam.

Faut-il que je me prive de charcuterie ? Quand je vais en Allemagne, le premier repas de la journée est à base de salaisons, le dernier se déroule autour de produits de hautes cochonnailles : vais-je me priver de visiter mes cousins germains ? Quand je traîne dans l’arrière-pays de mon département, j’achète à profusion du saucisson bien sec pour des apéros entre amis, du boudin noir, que nous mangeons cru, du pâté de campagne, des rillettes, des pâtés en croûte, du pâté de tête – oh, Dieu des chrétiens, merci pour le pâté de tête, je me damnerais pour lui -, des saucisses et de la couenne pour que les haricots nagent en bonne compagnie et que la cuisse confite de canard sache qu’elle a de la concurrence, des fricandeaux, du lard et du petit salé afin que nos lentilles ne soient jamais seules. La gastronomie de France va de Strasbourg à Bayonne, de Lille à Marseille, de Paris à Brest et partout, partout, le cochon est chez lui. Mon régime alimentaire ne peut pas condamner cette brave bête, alors je continuerai à grogner dans l’auge de mes péchés porcins et je ne me convertirai pas à l’islam.

Il y a bien d’autres raisons qui m’empêcheront à jamais de me convertir à l’islam, mais je ne les citerai pas ici, sauf, peut-être, pour finir, la soie des poils de mon blaireau, en sanglier véritable…

 
BV

Commentaires

  • J'ai relevé ce commentaire sur Bd Voltaire : "Dans l'islam tout est à jeter, contrairement au cochon".
    Il met l'eau à la bouche Lautréamont. Vive le cochon !

  • Bon, Lautréamont dit et fait ce qu’il veut, il n’empêche que l’Islam est la religion des lumières ! D’ailleurs pour la comprendre il faut une intelligence supérieure. Pourtant le point de départ est simple : une femme vaut la moitié d’un homme ; mais comme un musulman a droit à 4 femmes, c‘est comme s’il était avec deux hommes (et je n’ai pas compté les concubines !) : vous voyez que le mariage LGBT est enfoncé !

  • Plus prosaiquement :
    https://www.youtube.com/watch?v=ur4GR0Fh3jQ

  • la religion des lumières , qui permet de vivre dans un monde éclairé . . . ne pas oublier non plus que les collabos et autres idiots utiles la nomme : religion de paix , au lieu de soumission , ce qui permet d,enfumer les nombreux naïfs d,europe et d,ailleurs . .!!

  • Comme le disait un certain Mamadou Niane dans les commentaires sur BV, si la finalité de l'existence, c'est de sauter sa femme et bouffer du cochon, alors en effet, on n'a pas besoin de l'islam !
    On peut reprocher beaucoup de choses aux musulmans, mais de grâce, n'ayons pas des préoccupations de cochons, et osons rentrer dans le débat théologique : oui, Dieu existe, mais pas celui de Mohammed, tautologique, inhumain, asphyxiant, mais un dieu incarné, un messie, qui anime les cœurs ; et entre Dieu et nous, des anges.
    Mais voilà, c'est tellement facile de jouer au laïcard ! Sauf qu'on ne s'en sortira pas avec le poison qu'on nous a inoculés il y a cent ans !

  • yoan : à propos de débat théologique , un livre de la maison DPF:le grand secret de l,islam de Olaf , lecture intéressante . .!!
    salutations.

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