L'immigration est désormais la principale préoccupation des citoyens européens, devant les questions économiques et le chômage, selon un baromètre réalisé fin mai dans les Etats membres de l'Union européenne et les pays candidats, et rendu public fin juillet par la Commission européenne. Elle est également la principale préoccupation des Belges, selon ce sondage.
En novembre dernier, la situation économique, l'emploi et les déficits publics faisaient partie des inquiétudes numéro un des citoyens européens, selon une précédente enquête. L'immigration était alors en quatrième position (à 24%).
Depuis, avec 38% (+14 points), l'immigration devance de loin la situation économique (27%, -6 points), le chômage (24%, -5 points) et les finances publiques (23%, -2 points) comme sujets de préoccupation. Elle est l'inquiétude la plus fréquemment citée dans 20 États membres, avec des records à Malte (65%), confronté à l'arrivée massive de migrants, ainsi qu'en Allemagne (55%).
En Italie, où des dizaines de milliers de migrants affluent après de périlleuses traversées de la Méditerranée, l'immigration est la principale préoccupation des personnes interrogées (43%). En France, ce sujet est une préoccupation pour 34% de la population interrogée, avant l'économie (30%).
Autre préoccupation qui gagne du terrain: le terrorisme, dont les craintes ont également augmenté de manière significative depuis novembre 2014 dans l'ensemble de l'Union européenne (17%, +6 points).
En Belgique, l'immigration est également la principale préoccupation de la population (39%), devant le chômage (26%). Les Belges sont davantage préoccupés que leurs concitoyens européens par le terrorisme (20% - moyenne européenne de 17%), le coût de la vie (12% - moyenne européenne de 9%) et les pensions (9% - moyenne européenne à 4%). L
'enquête Eurobaromètre est le second sondage d'opinion réalisé à l'échelle de l'UE depuis l'entrée en service de la Commission Juncker en novembre 2014. Elle est fondée sur des entretiens individuels menés courant mai, au cours desquels plus de 31.000 personnes ont été interrogées.
Commentaires
Il est clair que ce problème est voulu et a été créé de force contre les Nations d'Europe pour tenter d'en détruire la Civilisation majeure dans l'Histoire du monde, et la remplacer par la Barbarie tueuse comme prévu sur les monuments infâmes d'Elberton .
Un petit grain de sable, un deuxième petit grain de sable, un troisième....etc
Ils se hâtent, ils ont la trouille de voir s'écrouler leur horrible et répugnant édifice de Mort.
Qui est derrière ce chaos effrayant en Europe , en France particulièrement ?
D'une part Hervé Ryssen apporte un plus avec son dernier livre qui lui vaut de grands ennuis, comme toujours ""Les Milliards d'Israël " .
D'autre part un texte , sur le Net, démontre la façon dont sont traités les droits de propriétés des petites gens de France, et ceux des gros requins :
La Révolution combat la saine propriété et encourage l’accaparement
Publié le 1 août 2015 par bibliothequedecombat
roue-de-la-fortune-max-decash-2Parallèlement à la destruction de la famille et la prise en charge de l’enfant par l’Etat, il a fallu s’attaquer au droit de propriété.
De prime abord, on pourrait s’étonner de ce que les chrétiens soutiennent l’idée de propriété. C’est que le chrétien a le sens du partage, et que dans un partage, chacun a quelque chose, c’est-à-dire que chacun possède, mais dans la limite que cette possession permette à l’autre de posséder lui aussi.
Au-delà de cette définition sémantique, il faut comprendre que si la condition de la liberté de l’ermite dans une grotte est de n’avoir rien, il n’a pas non plus de rôle social ou la responsabilité d’une famille ; en un mot, il n’a pas de charges.
Pour celui-là, qui a métier, femme et enfant, ce n’est pas le dénuement, ni non plus la prodigalité d’un Etat, qui le rendra libre : c’est d’être maître de son destin, propriétaire de son outil de travail et d’un foyer.
C’est qu’il y a d’un côté la propriété qui permet à l’homme d’être libre, c’est-à-dire que, délivré, partiellement du moins, du souci de satisfaire ses besoins primordiaux, il peut se consacrer à autre chose, s’élever au-dessus de cette matière qui lorsqu’elle lui fait défaut envahit tout son temps et son espace mental.
A l’opposé est la propriété comme désir d’accaparement, qui jamais satisfait, entrave celui qui y succombe en emplissant tout son temps et sa pensée vers ce but jamais assouvi : posséder plus et encore plus, petites ou grandes choses selon les moyens, possession-frustration qui au lieu de libérer l’homme de la matière le noie en elle, le retient sur terre.
De ces deux faces de la propriété, seule la première est attaquée par la franc-maçonnerie : la deuxième, au contraire, est par mille moyens favorisée.
Anne Lucken – Préface à la Conjuration antichrétienne
On comprend pourquoi les impôts fonciers sur le dos de certains, mais par sur le ventre repus des autres.