Un homme pleure auprès du corps d'Ali, 18 mois, victime d'un incendie criminel, vendredi, dans sa maison de Douma. Crédits photo : AMMAR AWAD/REUTERS
Des colons extrémistes sont accusés d'avoir incendié une maison palestinienne près de Naplouse. Un enfant de 18 mois a été brûlé vif.
«Un acte terroriste dans tous les sens du terme» : Benyamin Nétanyahou a exceptionnellement utilisé cette expression, qu'il réserve en général à des Palestiniens auteurs d'attentats, pour qualifier les extrémistes israéliens qui ont commis l'irréparable. Vendredi à l'aube, quatre d'entre eux venus d'une colonie ont lancé des bouteilles incendiaires par les fenêtres, grandes ouvertes en raison de la chaleur estivale, d'une maison du village palestinien de Douma, dans le nord de la Cisjordanie. Toute la famille Dawabcheh qui dormait s'est retrouvée piégée par les flammes. Bilan: Ali, un bébé d'un an et demi, a été brûlé vif. Ses parents et un autre de leurs fils de 4 ans, très grièvement brûlés, sont entre la vie et la mort. Sur les murs, le crime a été signé par des inscriptions en hébreu: «vengeance» et «prix à payer».
Commentaires
Salopards !!!!!
Le mot Vengeance est utilisé depuis longtemps chez ces individus, mais contre qui et contre quoi, ils n'en savent rien eux-mêmes, sauf qu'ils ont toujours raison et cela leur suffit .
Tuer des Goyims n'est pas pire que tuer un animal.
On comprend qu'ils tiennent à leur shoah pour se présenter comme d' éternelles victimes.