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Attaque du Thalys : circulez, il n'y a rien à voir !

 

Comme nous pouvions nous y attendre, voici quelques titres concernant Ayoub El-Khazzani, l'auteur de l'attaque :

Attaque du Thalys : Ayoub El Khazzani, "un bon garçon travailleur", selon son père (FranceTV Info)

Thalys: Ayoub El Khazzani "ne parlait que de football et de pêche" (L'Express)

Ayoub El Khazzani décrit par son avocate: un "SDF" "squelettique", "peu instruit" et "paumé" (RTL)

Ayoub El Khazzani décrit comme un "SDF paumé" par son avocate (Le Point)

Ayoub El-Khazzani : "je n’ai aucune idée de ce qui lui est passé par la tête" explique son père (L'Info.re)

Ayoub El Khazzani : du "bon garçon" au "SDF paumé" (Yahoo)

N'oubliez pas : 1 comprimé matin et soir

Padamalgame

Philippe Carhon

LE SALON BEIGE

Commentaires

  • Il a été prouvé qu il comprend et parle le Français, contrairement à ses affirmations.
    Le bon garçon travailleur était un trafiquant de drogue notoire en Espagne.
    La capacité des dirigeants français à se moquer de leur peuple est digne des régimes les plus obscurantistes et tyranniques

  • VANF -Chroniqueur Malgache _

    "Voilà un islamiste, qu’on dit souché sur un fichier spécial, mais qui arrive à se retrouver à bord d’un train français, et à deux doigts de commettre un carnage. Dans un autre pays, par exemple ces pays arabes et musulmans dont serait originaire cet individu, il serait déjà mort et occis. Mais, l’Europe, dans une générosité unilatérale dont elle s’enorgueillit, a aboli la peine de mort. Et voilà donc ce fanatique islamiste, pris en flagrant délit de tentative de meurtre, qui se retrouve en garde-à-vue, fort de toutes les présomptions d’innocence que lui reconnaissent ces démocraties occidentales et chétiennes qu’il veut meurtrir.
    Et si le problème n’était pas les evéntuelles défaillances dans la traçabilité des islamistes, mais bien la faiblesse morale de l’Europe bien-pensante dans l’approche de ce fléau qui pourrait contaminer le reste du monde Des maladresses, des fautes, des injustices, ont été commises depuis les Croisades, avec la colonisation franco-britannique, la politique américaine au Proche et Moyen-Orient, mais l’urgence actuelle ne sera pas résolue par l’addition de nouvelles incohérences au nom des droits de l’homme.
    Dans un autre registre, on assiste régulièrement à la récidive d’individus précédemment condamnés, mais que le jeu des différentes remises de peine remet en liberté, endurcis par la prison et prêts à de nouveaux forfaits : enlèvement, viol, assassinat. Dans un autre système, on aurait traité différemment le faux-problème de surpopulation carcérale. Par exemple, en passant par les armes les criminels coupables d’atrocités abominables qui ne méritent aucune compassion ni circonstances atténuantes.
    Dans un numéro de Paris-Match, on voit la mise en scène démente de l’État islamique pour l’exécution des soldats réguliers de l’État syrien : en uniforme, à genoux, les mains liées derrière le dos, et derrière chaque soldat, un enfant affublé d’une tenue de combat, prêt à leur tirer une balle dans la tête. Ce spectacle à la hauteur de la détermination inhumaine de ces islamistes se déroule dans quelque amphitheâtre des ruines antiques de Palmyre. Voilà par quoi va se perpétuer cet islamisme morbide et mortifère : l’endoctrinement des enfants à prendre le Coran au pied de chaque lettre dictée voilà 14 siècles, et savoir lire et écrire au moins deux mots : Allah et Jihad.
    Au nom de la liberté et des droits de l’homme, l’Occident en particulier, et le monde chrétien en général, autorisent que des femmes musulmanes se promènent dans l’espace public entièrement cachées derrière le voile intégral ; acceptent que des écoles coraniques ouvrent sans contrôle laïc et républicain sur le contenu aliénant de l’éducation ; tolèrent que des mosquées s’improvisent confiées à des mollahs qui rêvent de Charia. Pendant ce temps, dans les territoires d’Irak et de Syrie contrôlés par les islamistes, les Chrétiens d’Orient sont pourchassés, condamnés à abjurer leur foi ou à rejoindre l’Europe à la nage. Au Nigéria, en Libye, en Égypte, nouveaux foyers d’islamisme fanatique, les Chrétiens sont convertis de force sinon réduits en esclavage, ou crucifiés sur la Place publique.
    Dans ce Madagascar, dont l’actuelle législature vient de voter, sans débats et à l’unanimité, l’abolition de la peine de mort, la surpopulation carcérale se règle par la permission de minuit des plus violents et récidivistes chroniques ; des lieux de prière musulmans apparaissent dans des quartiers comme Ankadivato ou Soavinandriana ; des femmes musulmanes entièrement voilées font leur apparition sans que la société et les autorités s’en émeuvent (cf. Chronique VANF, À l’heure du choix, 27.01.2015).
    Quelles que soient notre tolérance et notre envie de «convivialité dans la différence», je ne conçois pas comme particulièrement libérale une secte religieuse qui enferme le visage de la femme derrière un grillage, fût-il de textile. C’est toujours réduire la femme à son rôle dans les harems, cloîtrée derrière le moucharabieh. Quel vouloir vivre ensemble prétendrait afficher une personne qui dissimule son visage et son corps : qui est-ce, homme ou femme, esclave ou terroriste
    Les mots sont durs. Pour réveiller nos consciences endormies, que de précédents mots n’ont pas sortis de l’anesthésie collective : «L’Islam est une religion à laquelle les agissements des plus fanatiques de ses pratiquants ont donné une image moyenâgeuse. Décapitation d’otages occidentaux, attaques au couteau à Jérusalem ou à la hache à Londres, attentats suicides dans un bus ou sur une place de marché. Quel type d’Islam s’active sur Madagascar : celui qui refuse l’éducation aux petites filles comme le Prix Nobel Malala Celui qui impose le voile intégral aux femmes Celui qui a déjà bombardé les Bouddhas géants en Afghanistan et qui pousse le délire fanatique à vouloir s’en prendre aux pyramides des Pharaons en Égypte Il n’y a pas que les fous d’Allah obscurantistes dans l’Islam. Il existe bel et bien une majorité, sans doute trop silencieuse, qui aspire à vivre en paix avec le reste du monde, qui pratique sa religion sans histoires et qui n’a pas de prosélytisme à revendre. Un Islam compatible avec le 21ème siècle» (Chronique VANF, Peuple en état second, 09.12.2014). Où sont-ils, où êtes-vous, les Musulmans sans fanatisme, sans obscurantisme, ouverts à notre siècle commun dans la convivialité de la différence

  • Une chronique remarquable en tous points. MERCI

  • ... et le Fopastigmatiser 666 en suppositoire ;o)

  • les mêmes rengaines , des vieilles ficelles plutôt usées , même si le Gvt socialo prend les Français et Françaises pour des demeurés , la sauce ne prend plus ou de moins en moins. .!!
    salutations.

Les commentaires sont fermés.