Les réfugiés qui possèdent une maison dans leur pays d'origine n'ont pas droit à un logement social en Flandre, a indiqué vendredi la ministre flamande de l'Intégration citoyenne, Liesbeth Homans, dans "De Morgen".
Les règles régionales réservent le bénéfice d'un logement à des personnes qui ne sont pas propriétaire d'un logement dans leur pays, a expliqué la ministre N-VA, en soulignant que la règle s'appliquait à tout le monde, réfugié ou non.
La présidente de la société flamande de logement social, Vera Van den Borght, a fait remarquer de son côté qu'elle devait s'en tenir à l'application de la loi. "Dès que l'on possède une habitation dans le pays ou à l'étranger, on n'entre pas en ligne de compte pour un logement social. La question se pose évidemment de savoir comment l'on définit ce concept. C'est une situation très compliquée", a-t-elle déclaré.
Dans les rangs de l'opposition, le sp.a a exprimé sa stupéfaction. "C'est hallucinant! Qu'est-ce que ça veut dire avoir son habitation dans une zone de guerre. Homans pense-t-elle que les gens la louent ou la gardent pour partir en vacances?" s'est exclamée la députée Monica De Coninck.
Commentaires
Le bon sens flamand n'est plus la chose la mieux partagée en Flandre !
la députée Monica est scandalisée , donc qu,elle accueille et loge des clandos dans sa demeure .
d,ailleurs c,est ce que va faire le ministre Finlandais , mettre sa baraque à disposition , entendu ce matin sur une chaine d,info!!
vu aussi le témoignage d,une infirmière Française qui héberge des clandos de passage , en espérant que nombre de citoyens (es) en fasse autant , bien qu,elle signalait au passage que certains hébergeurs ont subis des vols , qu,elle excusait en disant, à leur place j,aurais peut être pillé le logement , vu le dénuement dans lequel se trouve un clando . .!!
malgré tout , je crois que l,on a pas atteint encore le fond de la fosse .
salutations.