Le moins qu’on puisse écrire, c’est que pour manifester tranquillement au sujet de l’immigration, il vaut mieux être du côté des immigrés. A Calais, on ne compte plus les manifestations et rassemblements sauvages organisés par des immigrés clandestins ou des organisations de soutien « aux réfugiés ».
Par contre, plusieurs déclarations de manifestation contre l’immigration massive déposées dans l’une ou l’autre préfecture du pays ont été suivies de mesures d’interdiction.
C’était encore le cas pour la manifestation organisée ce dimanche par le collectif Calaisiens en colère. Un arrêté municipal d’interdiction cherchait à dissuader toute opposition à la déferlante migratoire.
Mais le collectif Calaisiens en colère n’a pas capitulé pour autant. Malgré les annonces d’interdiction, près de 500 personnes ont bien défilé aujourd’hui pour protester contre l’immigration-invasion et ses nuisances dans Calais et ses environs.
Rassemblés d’abord sur une plage de Calais, les manifestants se sont ensuite mis en marche, drapeau français en tête.
Des banderoles annonçaient « SOS, Calais en détresse » ou « Stop à l’immigration clandestine ».
La scandaleuse interdiction de manifestation prononcée par la sénatrice-maire (Les Républicains) de Calais, Natacha Bouchart, n’aura donc réussi qu’à limiter le nombre de participants mais pas à empêcher cette manifestation populaire.
Le maire de droite avait pris un arrêté d’interdiction « afin d’éviter des problèmes qui pourraient s’avérer graves ». Il s’agissait de la sorte d’interdire aux Français un droit élémentaire accordé pourtant dans la même ville à des immigrés dont le comportement est de plus en plus violent sans que les autorités prennent les moyens nécessaires pour rétablir l’ordre et la tranquillité des Calaisiens.
Commentaires
rien d,étonnant de la prise de position de la citoyenne Bouchart , vu son appartenance au groupe LR . .!!
salutations.
Les interdictions de manifestations légitimes contre l'invasion, est la preuve des complicités de traitres à la Patrie, ils oublient stupidement que l'avenir de leurs enfants sera un boomerang en pleine poire, un sujet de graves disputes et violences en perspective au jour des explications dans les familles.