25/10/2015 – EUROPE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation)
Au début du mois de septembre, Angela Merkel déclarait que l’Allemagne était prête à accueillir sur son sol près d’un million de migrants, réfugiés et autres clandestins de tout poil. Mais face aux différents problèmes posés par ces nouveaux envahisseurs — plus de 400 000 sont arrivés en Allemagne en moins de deux mois — le scepticisme va croissant dans la population allemande, y compris dans les rangs de ceux qui étaient favorables au Grand Remplacement.
Quels sont ces milieux de plus en plus sceptiques ?
Outre les bénévoles et différents associatifs qui n’en peuvent plus, le patronat semble enfin ouvrir les yeux. Ainsi, le président de la fédération du BTP dénonce, je cite : « L’euphorie peu nuancée d’une grosse partie de l’industrie » et la « naïveté » de ceux qui « sous-estiment les risques liés à une immigration forte et incontrôlée ». Par ailleurs, on apprend que 22 % des clandestins seraient sans diplômes, ce qui fait naître des doutes sur leur intégration.
Y a-t-il une traduction politique de ce mécontentement ?
Parlons de la faible popularité de la chancelière allemande, avec seulement 37 % d’opinions favorables. Mais évoquons également le développement de PEGIDA qui est le grand bénéficiaire de la grogne populaire et qui, en dépit de l’hostilité de la classe politico-médiatique, voit augmenter de semaine en semaine les intentions de vote en sa faveur.
Un média allemand admet sa partialité
Le responsable de l’information sur ARD, une chaîne publique allemande admet que celle-ci donne une vision tronquée des réfugiés. Il a notamment déclaré : « Quand des cameramen filment des réfugiés, ils choisissent des familles avec des petits enfants aux yeux écarquillés. Mais en réalité, 80 % des réfugiés sont de jeunes hommes, solidement bâtis et célibataires ».
Commentaires
Il est certain que l’Allemagne, en dépit du dynamisme de ses autochtones, est le pays qui risque de disparaître avant tous les autres pays européens sous le poids de l’immigration; en effet, sous la férule de ses dirigeants successifs et surtout de la maquerelle, c’est celui qui a accueilli le plus d’immigrés et continue d’en accueillir beaucoup ! Alors, les Allemands n’ont plus le choix : soit ils continuent à se laisser mourir lentement, soit ils se révoltent pour mettre le holà !
clandos sans diplômes , pas un souci , car ces derniers ne viennent pas y travailler , de toute manière vu le chômage , restera les différends trafics , une industrie qui tourne à plein-temps . . .!!
salutations