31 oct. 2015, 17:01
Plusieurs milliers de personnes ont défilé aujourd’hui dans les rues de Paris à l’occasion d’une «Marche de la dignité», dix ans après les émeutes de 2005. Les manifestants ont dénoncé les violences policières, le racisme et les humiliations.
Partie du quartier parisien de Barbès, dans le nord de la capitale, une foule compacte, avec des femmes au premier rang, a défilé derrière une banderole «Marche de la dignité contre le racisme» en scandant «justice, réparations, unité».
Cette manifestation était une initiative de la Marche des femmes pour la dignité (Mafed), un collectif de femmes soutenues par la militante américaine des droits civiques, Angela Davis, et des dizaines de personnalités et d'associations luttant contre les discriminations. «Aujourd'hui en France, si vous n'avez pas la bonne couleur de peau [...] vous pouvez mourir aux mains de la police», a lancé au micro Amal Bentounsi, la porte-parole de cette association. Pour elle, dont le frère a été tué par un policier à Noisy-le-Sec en 2012 alors qu'il tentait d'échapper aux forces de l'ordre, «on stigmatise les gens issus des quartiers populaires, il y a un mépris».
Cette manifestation intervient dix ans après la mort, dans un transformateur électrique de Clichy-sous-Bois, de Zyed Benna et Bouna Traoré, un drame qui avait enflammé les banlieues pendant près de trois semaines.
Elle a également lieu 32 ans après une marche pour l'égalité contre le racisme qui s'était achevée par un rassemblement de 100 000 personnes à Paris et la réception d'une poignée de marcheurs à l'Elysée.
Les manifestants doivent rejoindre la place de la Bastille pour un concert avec en tête d'affiche les rappeurs Médine, Disiz, Tunisiano ou encore Kery James, auteur d'un morceau en hommage à Zyed et Bouna, déjà vu plus de 1,5 million de fois depuis qu'il a été posté mercredi sur internet.
RT
Si vous ne l'aimez pas, quittez-la! Ce serait la première des dignités
Commentaires
Ils ne la quitteront pas de leur plein gré,ils en seront chassés par la colère du peuple français.
Il n'est pas possible d'avoir une égalité et une réconciliation avec eux,ils nous sont profondément étrangers et provoquent la répulsion;des gens comme Soral et Asselineau se trompent profondément à leur sujet et de fait trahissent notre histoire,ce sera eux ou nous.
S'il y a "racisme", c'est qu'il y a des races ! Ces racailles pleurnicheuses en donnent une belle démonstration !
Défendons notre race, la race blanche, la seule dans le monde menacée de disparition dans le métissage généralisé qui est le plus efficace des génocides !
"Qui ne veut pas être négrifié est un fasciste à pendre !" CELINE
Alors même que les policiers ont l ' ordre de les ménager au risque de leur vie, ils clament que la police " assassine ".
Chassons la tête pourrie, le reste disparaitra faute d'assistance et ensuite par crainte de la colère inévitable des Français qui en ont marre.
Nous n'avons nul besoin de ce monde . L"avis de Soral m'indiffère . C'est un histrion rarement amusant .
Asselineau n'a de compétence que dans un domaine très restreint hors duquel il déraille .
Avec un QI de 60, c'est la seule façon de gagner sa vie ;o)