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Attentat déjoué à Toulon : on l’a empêché de partir en Syrie, il a décidé d’agir ici !

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Demain ou un autre jour il y aura un attentat en France, des morts, des blessés, une émotion nationale et de vaines paroles de condoléances pour ceux qui les pleurent, etc.

Un acte terroriste grave a pu être évité de justesse à Toulon. Ce n’est pas le premier et ce ne sera pas le dernier. Mais demain ou un autre jour il y aura un attentat en France, des morts, des blessés, une émotion nationale et de vaines paroles de condoléances pour ceux qui les pleurent, etc.

Qui sera responsable ? Bien entendu le terroriste, auteur de cet acte sauvage, mais avec la complicité de ceux qui l’ont contraint, malgré sa volonté, à rester dans le pays.

Bien sûr il était sous contrôle, comme l’étaient Mérah, Coulibaly, les frères Kouachi et bien d’autres qui ont pu être interpellés, fort heureusement, avant de passer à l’acte.
Mais soyons pragmatiques (Ne sommes-nous pas le pays de Descartes !) :

Il y a des Français qui aiment la France et la quittent chaque jour pour aller travailler dans des pays étrangers. On a raison de les y encourager car ils reviendront un jour nous faire bénéficier de l’expérience acquise et de leur savoir-faire.
Mais il y a, hélas, des « Français », pour beaucoup d’origine maghrébine, qui n’aiment pas la France. Ils sont français contre leur volonté et ils veulent se venger en la faisant souffrir, en la meurtrissant dans sa chair et dans ses valeurs, et on les empêche de partir.
C’est là l‘erreur.

Ce qu’il faut c’est les empêcher de revenir.

Il faut qu’ils sachent, avant leur départ, qu’ils ne pourront plus jamais revenir, retrouver leur famille et les bienfaits de notre civilisation.
Il faut qu’ils sachent qu’ils seront bannis à tout jamais et cette certitude, j’en suis persuadé, ôtera à beaucoup l’envie de franchir le pas et d’aller se battre contre nous.

Un vieux dicton, bien de chez nous, conseille de ne pas « laisser le loup dans la bergerie ».

Laissons la porte ouverte à ces mauvais Français, comme nous la laissons aux bons. Ces derniers reviendront les autres, non.

Nous en serons débarrassés une bonne fois pour toutes et nous aurons sauvé des vies en France.

Le rôle premier d’un État, et de ceux qui le gouverne, n’est-il pas de sauvegarder coûte que coûte la vie des siens, de les protéger de tous dangers extérieurs et intérieurs et, surtout, de ne pas être complice, d’une certaine manière, d’actes terroristes qui auraient pu être évités ?
Ils sont majeurs, responsables de leurs destinés et ils souhaitent offrir leur vie à une cause ennemis de notre civilisation, de notre pays, de notre peuple ! Soit, bon voyage, adieu, et que l’on ne les revoit plus jamais !

 
BdV

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