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À Étampes, une messe intercultuelle après les attentats… l’imam absent!

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16/11/2015 – FRANCE (NOVOpress)
Étampes, église Saint-Basile, dimanche matin. Environ 200 personnes ont assisté à la messe intercultuelle organisée par le père John, prêtre catholique, qui avait invité les autres communautés religieuses de la ville et les élus à prier pour les victimes des attentats. Les responsables de la mosquée d’Etampes-Centre se sont fait excuser par communiqué. vous avez dit Vivre-Ensemble ?

NdB: Bien fait pour ces prêtres ignares, qui n'ont jamais lu le Coran!

Commentaires

  • est donc resté à la messe les futurs dhimmis . .!!
    salutations.

  • Désolée, c'est un peu long, mais c'est une bonne synthèse.
    En fait, pour comprendre la violence de certains musulmans, il y a plusieurs choses à prendre en considération. Si vous avez le courage de les lire, les voici :

    1) D'abord et avant tout, l'importance de l'exemple de Mahomet dont le comportement a toujours été vu, en toutes circonstances, comme étant exemplaire. Il y a toute une puissante psychologie musulmane tournée avec admiration et vénération vers le prophète, « excellent modèle » (XXXI, 21) dont les actes, les paroles et la vie même sont vus et considérés comme un archétype idéal et constant de piété. Or, que pouvons-nous observer de sa vie, sinon le simple fait que la violence y était commune ? Nous savons que le prophète connut nombre d'affrontements au cours de sa carrière : la très célèbre bataille de Badr (624) qui se soldera par une victoire des musulmans, celle d'Uhud (625) qui finira par la défaite de l'umma ou encore la fameuse bataille du Fossé (626), où les croyants durent subir le siège de la part de nombreux ennemis coalisés, sont autant de campagnes que l'on peut aisément utiliser et citer à titre d'exemple. Si l'on s'en tient à la sirah même, « toutes les batailles où l'Envoyé d'Allâh participa par lui-même furent au nombre de vingt-sept » et « le nombre de ses expéditions et de raids fut trente-huit », ce qui n'est tout de même pas rien. C'est bien lui qui lia irrémédiablement les actes purement guerriers et militaires à la révélation divine, c'est lui qui confondit profondément la religion et la violence et joua constamment sur les deux tableaux, à tel point que leur union finira par profondément structurer, définir et façonner l'essence et le visage de l'Islam. On rapporte souvent la tradition selon laquelle, en pleine bataille de Badr, un croyant aurait demandé à Mahomet : « ô Envoyé d'Allâh ! Qu'est-ce qui fait rire le seigneur de la part de son serviteur [= qu'est-ce qui rend le serviteur de Dieu très agréable auprès de lui] ? » Et le prophète de répondre : « C'est le fait qu'il se plonge au milieu de l'ennemi sans être cuirassé. » Alors, nous raconte la sirah, notre homme « enleva la cuirasse qu'il portait, la jeta loin, prit son épée et combattit l'ennemi jusqu'à ce qu'il fût tué ». C'est bien lui qui exhorta également à l'abnégation totale, et au fanatisme, à des passions aveugles et irraisonnées, au point d'arriver à des résultats complètement ahurissants :

    « L'Envoyé d'Allâh avait dit : « Tuez tout homme juif dont vous vous emparez. » Alors, Muhayyisah b. Mas'ûd sauta sur Ibn Sunaynah, un commerçant juif qui le fréquentait et faisait du commerce avec lui et le tua. Huwaysah b. Mas'ûd [frère de Muhayyisah] n'était pas encore musulman, et il était plus âgé que Muhayyisah. Quand Muhayyisah tua Ibn Sunaynah, Huwaysah se mit à battre Muhayyisah en disant : « ô ennemi de Dieu ! L'as-tu tué ? Peut-être y a-t-il de la graisse dans ton ventre qui vienne de son argent ! » Alors Muhayyisah répondit : « Je jure par Dieu que celui qui m'a ordonné de le tuer est quelqu'un qui, s'il m'ordonne de te tuer, je te couperai le cou » - Cette parole fut la cause de la conversion de Huwaysah à l'Islam. En effet, Huwaysah lui dit : « Ah ! Si donc Muhammad t'ordonne de me tuer, tu me tueras ? ! » Muhayyisah répondit : « Oui, certes. Je jure par Dieu que si Muhammad m'ordonne de couper ton cou, je le ferai. » Alors Huwaysah dit : « Une religion qui te rend ainsi est quelque chose d'extraordinaire ! » Et Huwaysah a (aussitôt) embrassé l'Islam ».
    C'est encore lui qui ordonna à de nombreuses reprises de faire assassiner certains « poètes » et autres personnes qui n'eurent d'autre tort que de réciter des vers moqueurs ou critiques à son égard, allant même jusqu'à invoquer la bénédiction divine sur les croyants qui se chargeraient de la besogne : la sirah nous cite par exemple le dialogue à travers lequel Mahomet demande incidemment à assassiner Ka'b b. al-'Ashraf : « l'Envoyé d'Allâh dit : « Qui me débarrasserait d'Ibn al-'Ashraf ? » Muhammad b. Maslamah, frère des Banû 'Abd al-'Ashhal, alors répondit : « Moi, ô Envoyé d'Allâh, je m'en chargerai, je le tuerai. » L'Envoyé d'Allâh lui dit : « Fais-le si tu peux ». C'est toujours lui qui, sinon ordonna, au moins laissa opérer de terribles massacres, parmi lesquels celui de la tribu juive des Banû Qurayzah. Nous ne savons pas précisément le tort que cette tribu a pu faire au prophète : ne firent-ils rien pour aider l'umma durant le siège de la bataille des Fossé, ou bien négocièrent-ils avec les ennemis de Mahomet ? Les informations sont contradictoires à leur sujet, mais le fait demeure bel et bien qu'ils ont été entièrement massacrés. La biographie de Mahomet raconte ainsi l'épisode : « Puis l'Envoyé d'Allâh alla au marché d'al-Madînah qui est encore aujourd'hui son marché, et a fait creuser des fossés. Il les fit venir, et les fit décapiter dans ces fossés, on les fit venir à lui par groupes. Parmi eux se trouvèrent l'ennemi de Dieu Huyayy Ibn 'Akhtab, et Ka'b b. 'Asad leur chef. Ils étaient au nombre de six cents, ou de sept cents ; celui qui multiplie leur nombre dit qu'ils étaient entre huit cents et neuf cents ». On le voit donc, la violence et le fanatisme qui demeurent aujourd'hui encore, on le sait, pleinement d'actualité, étaient déjà bien vivaces à l'époque même du prophète de l'Islam, et s'enracinent directement dans l'ombre de sa guidance et de son exemple.

    2) Ensuite, intimement lié avec la vie et l'exemple du prophète, c'est évidemment le fait coranique. Nous avons là un livre que les croyants musulmans confessent comme n'étant rien d'autre que de la parole d'Allah « descendu » sur son prophète, Mahomet, tout le long de sa vie terrestre. Ce livre n'est pas donc n'importe quel livre : il contient les paroles mêmes de Dieu, révélées et non inspirées. Nous savons ce que les musulmans en ont tiré comme conséquences : le Coran, texte incréé et éternel, a toujours existé, auprès de la Table bien gardée, sous la forme d'un archétype céleste : et la révélation de la parole d'Allah, si elle s'est bel et bien opérée lors de certaines circonstances, ne saurait être contextualisée ni relativisée par de quelconques circonstances historiques. Les injonctions divines qui y sont apposées demeurent valables pour aujourd'hui et demain. Il convient donc éminemment de s'intéresser à ce que ce livre peut contenir. Que pouvons-nous y observer de prime abord, sinon que « le Coran a des versets extrêmement durs pour les ennemis d'Allah » ? Ils sont nombreux les versets où l'on déprécie les mécréants : tour à tour, ils « ne sont qu'impureté » (IX, 28), les « pires de la création » (XCVIII, 7), assimilés à de stupides « bestiaux [...] qui ne raisonnent point » (VIII, 22). Infidèles au pacte de la création (VII, 172) et surtout à leur nature profonde (fitra), les mécréants n'ont presque aucune valeur aux yeux d'Allah, et ne sont considérés que comme des pervers et des ingrats. « Le Kufr [l'infidélité] », n'hésite pas à commenter Abul Ala Maudoudi, « n’est pas simplement une tyrannie, il est, à tout le moins, pure rébellion, ingratitude, infidélité [...] Le serviteur qui trahit son maître, l’officier qui se tourne contre son pays, celui qui dupe son bienfaiteur, sont tous des traîtres. Mais que dire de la traîtrise, de l’ingratitude de l’incroyant, du Kâfir ? [...] Ces hommes refusent de reconnaître la souveraineté de Dieu et sont des rebelles. Même si leur conduite n’est pas mauvaise et s’ils ne répandent pas la corruption et la violence, ils restent des rebelles et leurs actions bonnes en apparence sont de peu de valeurs ». Méritent-ils seulement de vivre, cela est douteux. Car le Coran contient également de nombreux passages exhortant à la lutte armée contre les mécréants : il s'agit bien ici du fameux jihad à mener contre les infidèles.

    IX, 29. Combattez ceux qui ne croient ni en Allah ni au Jour dernier, qui n'interdisent pas ce qu'Allah et Son messager ont interdit et qui ne professent pas la religion de la vérité, parmi ceux qui ont reçu le Livre, jusqu'à ce qu'ils versent la capitation par leurs propres mains, après s'être humiliés.
    IX, 123. Ô vous qui croyez! Combattez ceux des mécréants qui sont près de vous ; et qu'ils trouvent de la dureté en vous. Et sachez qu'Allah est avec les pieux. 
    II, 244. Et combattez dans le sentier d'Allah. Et sachez qu'Allah est Audient et Omniscient.
    Nous nous contentons ici de prélever un simple échantillon démonstratif, car là aussi, les versets ne manquent pas. Bien plus ! Le Coran développe une véritable théorie de la guerre sainte. Le jihad devient alors un phénomène pour lequel il est légitime d'avoir « de l'aversion » mais qui demeure cependant pour les croyants « un bien » : « C'est Allah qui sait, alors que vous ne savez pas » (II, 216).« Légers ou lourds » continue le Coran (IX, 41), « lancez-vous au combat, et luttez avec vos biens et vos personnes dans le sentier d'Allah. Cela est meilleur pour vous, si vous saviez ». Les combattants dans la voie d’Allah entrent dans le parti d’Allah, et représentent ceux qui luttent pour restaurer ses droits. Il est une obligation, car « Si vous ne vous lancez pas au combat, Il vous châtiera d'un châtiment douloureux et vous remplacera par un autre peuple » (IX, 39). « Comptez-vous entrer au Paradis sans qu'Allah ne distingue parmi vous ceux qui luttent et qui sont endurants ? » (III, 142). C’est une mission sacrée qui échoit à l'umma, la communauté choisie et chérie d'Allah, supérieur aux infidèles. Elle n’a d’autre but que d’imposer la piété aux impies, la lumière aux ténèbres, la notion de gratitude aux ingrats. La mort n'est pas un problème, car se faire tuer pour la cause d'Allah mène à la vie éternelle : Allah leur donnera bientôt, « tués ou vainqueurs » « une énorme récompense » (IV, 74). « Ne pense pas que ceux qui ont été tués dans le sentier d'Allah, soient morts », affirme le Coran, « Au contraire, ils sont vivants, auprès de leur Seigneur, bien pourvus » (III, 169). Le livre saint va même jusqu'à souligner que les combattants sont supérieurs aux croyants qui restent chez eux : ils « ne sont pas égaux », car « Allah a mis les combattants au-dessus des non combattants en leur accordant une rétribution immense » (IV, 95). Là aussi, on le voit bien, la violence et le fanatisme qui demeurent aujourd'hui encore, on le sait, pleinement d'actualité, peuvent profondément prendre leurs racines dans le Coran, livre saint des musulmans, qui incite assez largement à lutter par ses biens et sa propre personne « dans le chemin d'Allah », et ce faisant, à combattre durement les infidèles.

    3) Enfin, le troisième élément à relever réside dans la manière dont toutes les informations étayées ci-dessus ont été comprises et développées dans le droit juridique islamique (fiqh). Il s'agit donc d'analyser la façon dont les juristes musulmans ont considérés le jihad, exhorté par le Coran et expérimenté par le prophète, c'est-à-dire de découvrir sa doctrine.Ainsi, nous savons que le fiqh al-jihad a commencé à développer sa théorie en reprenant notamment une bonne partie du Coran : pour citer l'Encyclopédie de l'Islam, « Le djihâd tend à étendre le règne de la religion ; il est prescrit par Dieu et son Prophète ; le musulman se consacre au djihâd comme, en Chrétienté, le moine se consacre au service de Dieu , aussi, dans divers hadiths, on dit que « le djihâd est le monachisme de l’Islam » ; le djihâd est un « acte de dévotion pure » ; il est « une des portes du Paradis » ; de grandes récompenses célestes sont assurées à ceux qui s’y adonnent ; ceux qui y périssent sont des martyrs de la foi etc ». La vision musulmane que donnera le droit de ce combat est celle d'une lutte à mener pour propager la vérité en terre de mensonges, la piété en terres impies, la lumière aux ténèbres : en un mot, faire triompher la parole et la religion d’Allah. « En conséquence » note l'Encyclopédie de l'Islam, « la règle, en la matière, est formulée en ces termes absolus : « la lutte (djihâd) est obligatoire même s’ils (les infidèles) n’ont pas eux-mêmes commencé ». Le jihad considéré par le fiqh est donc éminemment offensif (et éventuellement, défensif). La théorie du jihad divise le monde (et l’humanité...) entre dar al-harb (littéralement, la maison de la guerre) entre les mains des impies, et dar al-islam où la religion règne, et la piété, la paix, la vérité. Tout ce qui n’est pas dar al-Islam est condamné à subir la menace du jihad : le but n’est pas forcément de convertir de force les mécréants (du moins les gens du Livre, car les polythéistes n'ont pas droit de cité en dar al-islam : il y a consensus sur le droit de mettre à mort les associateurs qui refusent de faire islam) mais seulement faire régner la loi d’Allah et sa religion sur le monde entier. Le jihad est un devoir de la communauté et ne constitue pas à proprement parler un devoir personnel. S'il est accompli par un nombre suffisant de croyants, cela dispense les autres de ce même devoir. Si aucun musulman ne l’accomplit ni ne se charge de faire ce devoir, c’est la communauté entière qui pèche : le musulman qui refuse de faire jihad est un mauvais croyant.

    Mais dans l’ensemble, les docteurs de l’époque classique firent prévaloir la nécessité de mener gihâd contre les Infidèles, non à cause de la menace qu’ils feraient peser sur l’ordre musulman, mais à cause même de leur infidélité. La thèse du gihâd offensif fut finalement adoptée par toutes les écoles juridiques. La règle définitive est qu’il faut mener un combat offensif et permanent contre les impies, même s’ils n’ont pas pris l’initiative des combats. Leur impiété est une atteinte à l’Islam et aux droits d’Allâh.(Morabia Alfred, « Le Gihad dans l’Islam médiéval », Albin Michel, 1993, Paris, p. 199.)
    Concernant les règles de guerre proprement dites, qu'on nomme siyar, le droit musulman n'est pas en reste sur le sujet : car si le Coran contient assurément l'appel au jihad, il n'est pas un code militaire et n'a pas de droit de la guerre. Les juristes ont donc du se pencher sur la question, et ont tiré une réglementation de la guerre à partir de la conduite du prophète. Naturellement, le prophète a pu accomplir au cours de sa mission prophétique différents actes : et les écoles juridiques pourront diverger sur certains points. Ainsi, nous explique Roger Arnaldez, « Comme il [le prophète] mit le feu aux palmeraies de la tribu juive des Banû’l-Nadîr, certains considèrent qu’il est permis de brûler les récoltes, les arbres et les cultures, voire d’incendier les maisons ou de les démolir. Néanmoins le premier calife Abû Bakr a recommandé de ne couper aucun arbre fruitier et de ne pas dévaster les terres cultivées. On a donc le choix entre ces deux façons d’agir. En revanche, il n’est permis ni de blesser, ni de tuer les animaux qu’élèvent les infidèles, sauf s’ils servnt à l’alimentation de l’armée musulmane. Néanmoins certaines écoles juridiques (les hanéfites et les mâlékites) autorisent la mise à mort de tous ces animaux. Il faut laisser la vie aux femmes et aux enfants, à moins qu’ils ne soient utilisés à quelque service par les infidèles combattants. Certains pensent qu’il est permis de tuer tous les infidèles, qu’ils combattent ou non : commerçants, serviteurs à gages ou homme de peine, vieillard, aveugles, infirmes, paysans, évêques, prêtres, moines. D’autres admettent des exceptions en faveur des vieillards et des moines à condition qu’ils soient à l’intérieur de la clôture de leur monastère. » Autant dire que les siyar peuvent profondément varier d'une école juridique à l'autre (il y a 4 écoles juridiques sunnites). Mais un consensus semble exister sur un certains nombre de points, par exemple sur le fait d'appeler les adversaires à la conversion avant le combat (encore que « l’opinion générale s’est faite, à la longue, qu’on ne devait adresser de sommation qu’à ceux – de plus en plus rares – qui n’avaient pas eu connaissance du Message de l’Envoyé d’Allâh »), sur la possibilité de faire une trêve dont la durée ne saurait excéder une décennie (à l'exemple du prophète et du traité d'Houdaybiya), sur le droit de mettre à mort les polythéistes qui refusent d'embrasser l'Islam, etc. Concernant les femmes et les enfants, la majorité admet le droit de ne pas les tuer : cependant, « on doit les réduire en esclavage, et les répartir entre les combattants, en qualité de butin ». De manière général, on fait peu de cas de la vie de l'infidèle qui, résidant en dar al-Harb, n'est lié à l'Islam par aucune convention. Le droit juridique musulman le désigne sous le terme de harbi : « il se trouve, aux yeux de la Loi, dépourvu de tout droit et de toute protection. En principe, on peut impunément verser son sang, et s’emparer de ses biens sans être inquiété ». « Tout incroyant qui ne paye pas la djizya et n’appartient pas à un peuple dont les relations avec l’État islamique sont réglées par traité, ou qui est musta’rim », note l'Encyclopédie de l'Islam, « est halāl al-dam (à tuer sans craindre de punition) et peut à n’importe quel moment être tué par un Musulman sans qu’il y ait lieu à kisās ou obligation de payer la diya ou de donner la kaffāra. Cette prescription n’est que la conséquence de la loi du djihād, et Muhammad lui-même en a souvent fait usage. »

    4) Conclusion. 
    Partant de là, il est difficile de ne pas conclure que l'origine de la violence de certains musulmans est purement islamique. D'abord, via l'exemple du prophète qui a souvent eu la main lourde, « car la Tradition islamique », souligne Alfred-Louis de Prémare, « insiste sur le caractère normatif et exemplaire des dits, faits et gestes attribués au prophète ; celui-ci est source d’autorité, de loi et d’exemplarité morale pour l’ensemble de la communauté ; il est « le beau modèle », comme on le qualifiera plus d’une fois dans les hadîth, et ses expéditions militaires sont autant d’exempla, constituant une geste à glorifier et à imiter ». On ne s'étonnera pas de voir nombre de hadith vanter le fanatisme et l'abnégation dont il faille savoir faire preuve pour satisfaire aux injonctions divines. Le jihad a un rang incontestablement haut dans la sunnah, et beaucoup de traditions vantent ses mérites et son importance. Le Coran lui-même place cette lutte très haut dans les devoirs du musulman : il s'agit avant tout de plaire à Allah, et de défendre ses droits sur terre. Le livre saint ne répugne pas à exhorter au combat armé contre les infidèles jugés ingrats et pervers. Le jihad est éminemment important pour la foi musulmane, ainsi que le note Abul Ala Maudoudi : « Le plus grand sacrifice pour la cause de Dieu est le Jihâd, car là l’homme sacrifie non seulement sa vie et ses biens pour la cause de Dieu, mais il détruit aussi ceux des autres. Mais comme il l’a déjà été dit, l’un des principes de l’Islam est que nous subissions un moindre mal pour nous sauver d’un plus grand malheur. Peut-on comparer la perte de de quelques vies humaines - de plusieurs milliers ou même davantage à la limite - avec la calamité que serait pour l’humanité la victoire du mal sur le bien, et de l’athéisme agresseur sur la religion de Dieu ». Le droit musulman s'est ajouté au phénomène : il ne l'a pas créé, mais l'a façonné et l'a continuellement affublé de ses préceptes au travers des lois de guerres. Tout cela est bel et bien purement islamique, des débuts à la fin. Il faudrait que les musulmans arrêtent de jouer les complotistes et qu'ils commencent à avoir des couilles et à assumer la violence de leur religion plutôt que de jouer aux hypocrites et d'enfumer les non-musulmans.

  • Ils ont un comportement de femelle vis à vis de l'islam ! Il n'y a aucune solution de survie de notre race du côté de cette engeance !

  • Il avait indiqué que cet appel à une messe interconfessionnelle se voulait " le refus de tout amalgame qui stigmatise, de la haine et de la violence ".
    Admirons la tournure de la phrase de cet hypocrite qui met la haine et la violence du côté de ceux qui stigmatiseraient.
    Ces curés rouges sont des agents mondialistes, pas autre chose.
    Et des assassins, car leur faiblesse affichée encourage les terroristes musulmans à redoubler d ' ardeur.
    Des parents proches de victimes n ' ont rien trouver de mieux à faire que de se précipiter auprès de représentants de la communauté musulmane pour leur exprimer leur sympathie....
    Des fleurs, des bougies, des " peace and love ", et même des baisements de main de musulmans présents sur la place de la République. Manquait plus que l ' effigie du " Che".
    Des parents de victimes ont aussi tenu à faire savoir qu ' ils n ' avaient aucune haine, jouant les grands seigneurs.
    Un symbole de la décrépitude mentale et morale du peuple français est la statue de la place de la République qui est taguee. Statue qui est offerte à la vue de centaines de millions de téléspectateurs de par le monde.
    Faire son intéressant, se présenter comme supérieur moralement, pour pallier son incapacité à se comporter comme un peuple adulte, voilà à quoi en est réduit le peuple français.

  • Il y en a assez ce cette novlangue et de ses changements du sens des mots : une réunion intercultuelle ne peut pas être une messe ! Pire, le mot « intercultuelle » n’existe pas en français, c’est un barbarisme (il est rejeté même par Windows !!!).

  • Il ne peut y avoir de "messe intercultuelle" !!! Les musulmans ne reconnaisent pas la Crucifixion, ils la nient. Pour eux, c'est assez répété, nous sommes des idolâtres, des païens! L'islam est pratiquement une copie du judaïsme. Cela ne signifie pas qu'ils s'aiment entre eux!

    Il y a de plus en plus de barbarismes qui fleurissent dans les merdias!

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