Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

L'ECOLE DES FEMMES avec Michel GALABRU

Comédie de Molière, en 5 actes et en vers, créée au Palais Royal le 26 décembre 1662, et publiée chez De Luynes, le 17 mars 1663.

Arnolphe, qui bien que se vantant du contraire, a toujours craint d’être cocu. Il informe son ami Chrysalde de son intention de se marier. Il envisage d’épouser sa pupille, Agnès, qu’il a fait élever, dès l’âge de 4 ans, dans un couvent en prenant soin de la priver de toute instruction :

 » Dans un petit couvent, loin de toute pratique,
Je la fis élever selon ma politique ;
C’est-à-dire, ordonnant quels soins on emploierait
Pour la rendre idiote autant qu’il se pourrait.
Dieu merci, le succès a suivi mon attente ;
Et, grande, je l’ai vue à tel point innocente,
Que j’ai béni le ciel d’avoir trouvé mon fait,
Pour me faire une femme au gré de mon souhait ».

Agnès est maintenant enfermée dans une maison où elle est gardée par un valet et une servante, un peu simples, Alain et Georgette.

De retour , après dix jours de voyage, Arnolphe, qui se fait aussi appeler M. de la Souche, rencontre Horace, le fils de son ami Oronte. Arnolphe encourage Horace à se distraire, notamment en cherchant fortune aux dépens de maris imprudents. Il se propose même de lui donner de l’argent pour l’aider à conquérir ces femmes volages. Horace lui raconte assez naïvement qu’il n’a pas attendu ses conseils et qu’il est déjà parvenu à conquérir le cœur d’une jeune fille, Agnès, pupille d’un certain M. de la Souche, personnage tyrannique et ridicule. Il a profité de l’absence de ce dernier pour faire la cour à Agnès. Arnolphe, vexé, dissimule difficilement son agacement ...

DélitD'images

Les commentaires sont fermés.