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« Mais où est le pognon pour briser la popularité de Trump ? »

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C'est ce qui est sorti de la bouche d'une commentatrice de CNN, sur le plateau des commentateurs suite à l'élection en Caroline du Sud.

« Mais où est le pognon pour briser la popularité de Trump ? » C’est ce qui est sorti de la bouche d’une commentatrice de CNN, sur le plateau des commentateurs suite à l’élection en Caroline du Sud. Les « pressetituées » à la solde des néo-cons et du nouvel ordre mondial se lâchent ouvertement. Leur candidat, Jeb Bush, s’est fait laminer et, larmoyante, la commentatrice continue: « Une dynastie vient de s’éteindre. » Quelle dynastie ! Celle de va-t-en-guerre ! Restent, désormais, dans la course Cruz, Rubio, Trump.

Contre l’avis des « spécialistes », lesquels, comme chez nous, depuis le premier débat des GOP (Grand Old Party), enterraient six pieds sous terre Trump, je croyais en sa candidature. Il tuait à lui seul le politiquement correct. Il exprimait les exaspérations des Américains, face aux politicards corrompus de l’establishment. Il cassait tous les codes établis. Il déclarait même avoir fait partie de ce système, qu’il estime aujourd’hui contre-productif et qui doit disparaître. Il se finance seul, ce qui lui permet des libertés d’expression qu’aucun autre candidat ne peut se permettre, fût-ce du côté démocrate. Je l’ai intitulé « Tsunami Trump » puis je l’ai comparé à Gargantua. Gargantua, une nouvelle fois, vient de s’asseoir sur l’establishment avec une belle avance sur ses concurrents. Ils vont désormais se déchaîner pour briser sa popularité. Ils le disent sans fard. « Désormais, nous allons l’observer à la loupe, ce que nous avons négligé de faire jusqu’à présent. »

Tout est une question de pognon pour eux, les commentateurs de l’establishment. Jamais un mot sur le peuple qui vote. Le peuple reste encore, dans leur tête, une masse informe, puante, suintante, dont on ne sait que faire. La majorité silencieuse que l’on méprise et à laquelle Trump ne cesse de s’adresser. Qu’ils ne s’inquiètent pas, le peuple saura quoi faire des représentants du « nouvel ordre mondial » dont ils ne veulent plus. Ce qu’ils veulent, c’est un chef qui leur rende la fierté d’être américains. Qui restaure les infrastructures, limite l’immigration, combat l’islam radical, ramène du boulot au pays, arrête ces guerres meurtrières, écrase l’organisation État islamique, rétablisse des règles, révise le TAFTA et, enfin, parle avec le président Poutine, conscient que le monde n’est pas unipolaire mais multipolaire.

Je crois qu’il faut se rendre compte de la montagne face à laquelle se trouve Donald Trump : face à 6 groupes mondiaux qui possèdent 90 % de la presse américaine : General Electric, News Corp, Disney, Viacom, Time Warner et CBS ! Tous membres du Bilderberg, présidé par le Français Henri de Castries, PDG d’Axa ! Ils vont mettre le rouleau compresseur en marche pour lui barrer la route, à ce Gargantua. S’il sort vainqueur, ce sera grâce aux oubliés, au peuple américain, qui aura pour une fois montré qu’il est plus fort que les quelques tenants du « nouvel ordre mondial » qui fait et défait les présidents, lors des réunions secrètes du groupe Bilderberg.

Pour nous, Européens, l’espoir, c’est Donald Trump, car aucun des autres candidats n’est prêt à parler avec la Russie, qui ne demande qu’une chose : un bon partenariat avec l’Amérique. Et nous, Européens, nous suivrons, pour le bon sens et l’intérêt général.

 
B.V.

Commentaires

  • C'est sur que tous les moyens sont bons pour le faire echouer, mais les Americains n'ont guere d'autre choix, s'ils veulent du changement..
    La tele n'a plus le pouvoir d'autrefois, il y a l'internet pour satisfaire la curiosite et la nouvelle generation lui fait plus confiance.
    Alors bonne chance a Trump et surtout bon courage, il va en avoir besoin!

  • Cette réflexion est révélatrice des valeurs qui président à la démocratie américaine ! Tout milliardaire qu'il est, Trump bouscule cette culture politique basée sur le "pognon" ! Il a du souci à se faire s'il s'attaque à l'état profond et ses puissants lobbies militaro-industriels et financiers, véritables maîtres de ce pays. Il ne manque que l'AIPAC pour l'hallali général contre sa candidature. Trump est au Système US ce que Marine est au Système français. Rien ne lui sera épargné.
    Je partage l'avis d'Hildegarde von Hessen : pour nous Européens, Trump est l'espoir et la meilleure garantie de paix pour l' Europe.

  • « Mais où est le pognon pour briser la popularité de Trump ?" la vérité finit toujours par se savoir : c’est bien la finance internationale, cosmopolite et apatride qui achète les élus des pays européens pour qu’ils organisent l’invasion de leur propre pays (mais n’ayez pas peur pour eux : ils ont pris les devants et grâce à leur multiples nationalités, ils peuvent aller vivre dans les paradis faits pour eux, les paradis fiscaux !).

  • en France , le FN ne possède pas les moyens du sieur Trump , donc la classe politico-médiatique bien pensante ne se fait guère de soucis , surtout qu,une partie du bon peuple votera toujours pour les mêmes. .!!
    salutations.

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