Jean Ansar ♦
A-t-on le droit de préférer le « Revenant » à « Fatima » ?
Notre presse idéologique est contente. Elle a pu nous donner de césars en oscars des leçons d’antiracisme pendant trois jours entre deux informations sur les pauvres migrants bloqués en Grèce.
Tout d’abord un immense sujet de satisfaction
Le cinéma français l’est de moins en moins. C’est un cinéma qui s’inscrit fièrement dans la préférence étrangère. Que d’Algériens, de Turcs et autres talents de la diversité pour bien démontrer combien notre courageux monde du cinéma résiste avec courage à la lepénisation des esprits. Rien à voir avec ces balourds d’américains qui en sont encore à récompenser du cinéma spectacle, incapables même d’établir des quotas en attendant la parité pour les talents noirs.
Et notre belle presse de dénoncer le Hollywood des blancs. Tout cela sans dire vraiment qui a fait Hollywood, qui le domine, qui le finance et s en sert depuis toujours comme d’une formidable fabrique des esprits.
La ségrégation serait elle de retour ?
Difficile à croire dans un cinéma où les noirs sont toujours innocents et persécutés, les femmes admirables, les gros des génies de l’informatique et les homosexuels attendrissants. Le problème ce n’est pas le contenu, c’est la récompense. S’il y a un problème de suprématisme blanc ce n’est certes pas le cas chez nous. C’est pourquoi on ose à peine écrire qu’on ira voir Le Revenant et pas Fatima.
Nos critiques n’ont que mépris pour cette aventure dans le grand nord glacé d’un Edmond Dantès des grands espaces entre ours et indiens survivant dans les tempêtes pour revenir se venger. Ils n’ont qu’admiration pour la femme de ménage voilée d’origine algérienne dont la banalité de vie est forcément une épopée sociale qui a du sens. C’est facile d’écrire comme eux.
Peu importe si seules Fatima, sa famille, sans doute nombreuse cependant, et quelques amis iront voir ce film qui parait-il est bon. Il ne manquerait plus que le cinéma français attire le grand public, ce ramassis de populistes. On est pas mieux entre nous ?
Des césars de la diversité et féministes comme le note Le Figaro. Il faudra bien sûr un quota mais pour les hommes et les indigènes.
On laissera donc le césar de l’antiracisme ridicule de cette chronique à Adèle Haenel, qui a estimé, le cinéma français, «blanc et masculin» lors d’une interview pour Télérama, dont elle fait la Une. Franchement c’est difficile à défendre. Elle aurait sans doute donné les oscars à Star Wars qui n’a rien obtenu, à son acteur noir insipide et à la nouvelle héroïne peu convaincante.
Hollywood a toujours fait de l’idéologie. Le classique Spotlight mettant en valeur un journalisme d’investigation dénonçant la connivence de l’église catholique pour ses pédophiles en soutane en est une preuve. L’anti-catholicisme est assez bien vu à Hollywood, mais il faut dire que le sujet s’y prête vraiment.
Le meilleur film étranger aussi qui a tant déçu nos critiques. Ils auraient bien vu un film très turc sur les femmes récompenser la France. Méconnaissance complète d’Hollywood, car là aussi on a eu du classique avec Le fils de Saul. Le film montre, début octobre 1944, deux journées de la vie de Saul Ausländer, prisonnier juif hongrois à Auschwitz. Il fait partie du Sonderkommando de l’un des fours crématoires, groupe d’ouvriers strictement séparé du reste du camp et qui, tout en attendant leur propre exécution à tout moment, est forcé de participer à la crémation et à la dispersion des cendres des victimes de l’extermination massive. Saul croit reconnaître son fils dans un enfant mort, et décide de tenter de le sauver de l’incinération et d’entrer en contact avec un rabbin, avec qui il l’enterrera selon le rite approprié.
Á Hollywood le palmarès très politiquement correct aime les films qui ont du souffle. En France le palmarès encore plus politiquement correct préfère les films à prétentions intellectuelles.
On se mord la queue en se scrutant le nombril et c’est au niveau des scénarios, à l’exception notable de Jean-Jacques Annaud, que la diversité nous manque.
METAMAG
(merci à Dirk)
Commentaires
Un cinéma de propagande au service du grand remplacement et du métissage de masse des Français avec la chienlit maghrébine…et bien sûr, le culte obligatoire à la religion shoatique !
La dictature idéologique mondialiste n'a rien à envier à la dictature idéologique bolchevique subie en Europe de l'est! La différence est que les peuples ayant subi cette dernière ont réussi à s'en débarrasser!
Vous mangez quoi à midi? Des pâtes? http://fr.sputniknews.com/insolite/20160301/1023023490/monstre-spaghettis-mariage-zelande.html#ixzz41eJXrrD6
J'ai lu l'article dans DélitD'images. Ca ne me fait pas rire. C'est hideux, plutôt répugnant. Je préfère lire Lovecraft.
Moi non plus, ça ne m'amuse pas, je me demande jusqu'où ira la bêtise humaine.
je préfère évidemment visionner "le revenant" , que Fatima ou le fils de saul , ou de l,acteur bafouillant et à tics .
et encore plus les vieux films de cinéma de minuit , etc . .!!
le cinéma dit Français actuel n,a plus que le nom de Français . .!!
salutations.
Leur antiracisme n’est que du racisme anti-blancs, anti-chrétiens, anti-catholique ! Quant à la question de l’incinération, je comprends que ce prisonnier juif veuille l’éviter à son fils. Mais, il faut savoir que de nos jours les prêtres catholiques et les responsables paroissiens font pression sur les parents des défunts pour leur imposer l’incinération ! Je ne sais pas d’où vient cette nouvelle mode, mais pourquoi donc l’église s’y met aussi, alors que c’est plutôt contraire à l’esprit catholique !
Les catholiques se font incinérer. C'est une question de place dans les tombeaux. Une concession coûte très cher dans les cimetières urbains. De toute manière ça revient au même.
"Le fils de Saul Pleureur" - encore un four ;o)
"saule pleureur", j'y ai pensé tout de suite, comme vous!
La sole a beaucoup d'enfants qui finissent au four avec des larmes de beurre.
LOVECRAFT m a paru quelque peu "dérangeant" , "mis mal à l aise"......MAIS MOINS que toutes les turpitudes de la gauche et des gauchos.....Voir sur certains blogs les articles de "anarchistes" sur LA PLAINE à Marseille.......GAUTHIER
@ Carla: on dit que la bêtise humaine est sans limites... Je le crois!
Gaelle :feu Lovecraft n,étaient pas contre les mariages mixtes (goys et juifs) , mais pas avec les Afro-Américains , mais cela vous devez déjà le savoir . .!!
salutations.
Le métissage, la shoah et le réchauffement climatique.
C'est la trinité obligatoire.