24/03/2016 – PARIS (NOVOpress) : « Les foules sentimentales ne veulent pas rentrer ans l’Histoire », analysait, ce matin, Eric Zemmour sur RTL : « On est rodé. On a nos repères, nos habitudes […] On a nos pancartes et nos fleurs, nos slogans débiles et nos larmes. On a nos images de chaînes info et nos experts en djihad. On est paré », ajoute Éric Zemmour, pour qui « on sait ce qu’il faut savoir, mais pas ce qu’il faut faire ».
Ces « foules sentimentales », dit encore l’éditorialiste, « ont une idéologie humaniste, un succédané abâtardi et laïcisé du vieil universalisme chrétien, un “tous les hommes sont frères“, dont le seul inconvénient est de ne pas être réciproque ». Ces foules sentimentales « ne veulent pas rentrer dans l’Histoire parce que c’est bien connu, l’Histoire est tragique », avant d’ajouter que ces foules sentimentales, « longtemps endormies, sous anesthésie, s’éveillent et redeviennent peu à peu des peuples ».
Une chronique importante au lendemain des attentats de Bruxelles, à regarder dans son intégralité.
Commentaires
Tres lucide Zemmour!
Toutes ces fleurs, tous ces "Nous sommes Charlie, nous sommes Bruxelles," pronent l'apaisement.. c'est continuer dans le "pas d'amalgame"..
C'est tout le contraire de ce qu'il faudrait faire!
Fermons nos frontieres!
Que ces "courageux" migrants retournent chez eux defendre leur pays, plutot que de chercher a vivre aux crochets des Europeens.
Aux armes citoyens!
N'en deplaise a tous nos dirigeants qui nous ont mis dans cette situation et sont reponsables de tous ces morts et de tous ces blesses. Helas!
Comme d’habitude, excellente chronique de Zemmour. Merci à lui. Mais ce qui est vraiment désespérant c’est que non seulement rien ne bouge, mais au contraire, plus il y a de crimes anti-français, plus le gouvernement encourage, félicite, couvre d’honneur les gens qui en sont à l’origine et, en outre, renforce la répression contre ceux qui en sont les victimes !
Zemmour a lu Nietzsche et ce qu'il dit sur le dernier homme, celui du troupeau. Le spectacle après chaque attentat de ces foules émotives qui pensent exorciser leur peur avec leurs marches blanches, leurs petites bougies, leurs messages larmoyants de fraternité ("pas d'amalgame !"…), leurs "je suis Charlie, Paris, Bruxelles" (à qui le prochain tour ?), etc., a quelque chose de pitoyable. Elles n'ont rien compris à la situation de guerre à laquelle nous sommes confrontés et préfèrent se réfugier dans cette promiscuité maladive de troupeau plutôt que de désigner l'ennemi.
"Veux-tu avoir la vie facile ?
Reste toujours près du troupeau, et oublie-toi en lui." NIETZSCHE
"Un animal grégaire, un être docile, maladif, médiocre, l’Européen d’aujourd’hui !" NIETZSCHE qui déjà avait tout compris !
Ces foules sentimentales sont en réalité des individus n ' ayant aucune autonomie mentale, des moutons.
Elles n ' ont aucun sentiment sincère d ' empathie avec les victimes, sinon elles se révolteraient et demanderaient des comptes à leurs dirigeants.
Elles expriment leur soumission à leurs maîtres en se comportant exactement comme ces derniers le veulent.
nos sommes Bruxelles . . nous sommes cons . . et nous le resteront , au nom du vivre ensemble , des drh , de la tolérance et tutti quanti , ces foules d,européens (es) avec leurs slogans de pleurnichards et leurs bougies ne sont que futurs dhimmis , ils et elles méritent ce sort . . .!!
Zemmour ne fait que constater une réalité quotidienne . .!!
salutations.
Erreur fondamentalement de Zemour lorsqu'il dit : "un succédané abâtardi et laïcisé du vieil universalisme chrétien, un 'tous les hommes sont frères'“
Cela n'a rien à voir avec la sainte intransigeance catholique.
Une fois on nous parle de l’église catholique trop dure avec ses valeurs morales, puis on bascule dans les fausses valeurs interprétées par le socialisme et l'humanisme.
Le libéralisme et le socialisme sont contraires à la religion catholique. Il reste maintenant à l'église à dénoncer l'erreur de la mondialocratie comme elle a pu le faire du communisme.
Justice Charité et Vérité, n'ont rien à voir avec Liberté Egalité Fraternité.