Afin de mieux comprendre le fait racial, des chercheurs américains ont éliminé les facteurs sociaux en mesurant l’intelligence d’enfants adoptés par des familles blanches. Il n’est pas rare d’entendre expliquer le plus faible QI des Noirs américains par le fait qu’ils ont été élevés dans une famille défavorisée socialement, notamment en raison d’un « racisme » persistant de la part des populations blanches.
L’étude a été effectuée par Sandra Scarr diplomée de l’université de Harvard et Richard A. Weinberg. Elle portait sur 196 enfants. Des Blancs, des métis et des Noirs tous adoptés par des familles blanches.
Les résultats sont sans appel. Un enfant noir aura quasiment 20 points de QI de moins qu’un enfant blanc adopté. Tout les deux ont été élevés dans le même contexte, avec les mêmes parents, mais la différence à l’arrivée est énorme. Les enfants métis issus de parents noirs et blancs sont eux à mi chemins. Les métis ont un QI moins élevé que les enfants blancs, mais plus que les enfants noirs.
Même en enlevant le facteur environnemental, un blanc en moyenne a un QI plus élevé qu’un métis et qu’un noir selon l’étude.
Source :http://en.wikipedia.org/wiki/Minnesota_Transracial_Adoption_Study
Altermedia France-Belgique
Commentaires
Ces études sur les différences de niveau de QI en fonction de l’hérédité et non du milieu sont connues depuis longtemps…enfin, dans les milieux des psycho anglo-saxons, parce qu’en France (je suis diplômé d’études sup. en psycho), ce sujet est totalement tabou et rejeté par l’enseignement universitaire. L’enseignement de la psychologie étant depuis toujours entre les mains des marxistes, pour qui l’environnement est tout et l’hérédité rien, ou secondaire.
Hans Eysenck (entre autres de très nombreux chercheurs qu’il serait fastidieux de citer) a démontré magistralement dans ses travaux sur les jumeaux que « l’intelligence est très probablement le trait mental doté du plus fort coefficient d’héritabilité ». En France, il faudra attendre le très fort intérêt marqué par la Nouvelle Droite sur cette question, pour pouvoir accéder à ces connaissances. Un ouvrage essentiel d’Eysenck (L’inégalité de l’homme) sera édité par les Ed. Copernic en 1977.
Afin de désamorcer les critiques soupçonnant ces études de parti pris en faveur de la race blanche, d’autres races obtiennent des résultats équivalents, voire supérieurs aux blancs. Mais les Africains sont loin derrière. C’est un constat !
Ceci dit, l’intelligence « cette petite chose au fond de nous » (Nietzsche) n’est pas tout ! On a trop tendance à privilégier ce trait mental au détriment du caractère !!!
C'est bien là où les chimères de l'égalité et de l'homme nouveau de la raie publique judéo-maçonnique se prennent le mur ;o)
le CRAN va sûrement porter plainte contre une telle étude discriminante . .!!
salutations.
J'aimerais insister sur les conséquences à tirer des études scientifiques entreprises par des psychologues anglo-saxons
Un certain socialisme s'en trouve discrédité : affecter des deniers publics pour combattre en vain des inégalités sociales inscrites dans la nature c'est gaspiller des ressources précieuses . L'élitisme s'impose comme la seule solution juste et raisonnable aux problèmes sociaux .
Les politiques de démocratisation de l'enseignement poursuivies des décennies durant par nos gauchistes ont eu pour conséquence l'effondrement culturel inquiétant que l'on enregistre partout en Occident , réalisant ce que Friedrich Nietzsche baptisait " la maison de fous des idées modernes " .
Il constatait d'ailleurs " le pathos des distances est le propre de toutes les époques fortes ".
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Étude impensable en France.
L' immigration extraeuropeenne, en excluant certaines populations asiatiques, n ' est pas une chance pour l ' Europe.
La cohabitation ne peut être que conflictuelle et l ' agressivité vient, de manière naturelle et assez compréhensible, de ceux les moins gâtés. Les promoteurs, véritables criminels, de cette cohabitation font le malheur des deux populations.