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François Hollande a célébré ce dimanche matin le 71e anniversaire de la Victoire du 8 mai 1945. Le Premier ministre Manuel Valls et plusieurs ministres ont assisté à la cérémonie, ainsi que la maire de Paris Anne Hidalgo et l'ancien chef de l'Etat Nicolas Sarkozy.
Le président a déposé une gerbe au pied de la statue du Général de Gaulle en bas des Champs-Elysées, avant de remonter en voiture l'avenue, escorté par la Garde Républicaine à cheval.
Il a ensuite rejoint les membres du gouvernement, comme Jean-Yves Le Drian (Défense), Emmanuel Macron (Economie), Ségolène Royal (Ecologie) et des personnalités politiques, près de l'Arc de triomphe. Il a ravivé la flamme du Soldat inconnu.
«Je serai là l'année prochaine»
L'année prochaine, le 8 mai tombera au lendemain du second tour de la présidentielle. François Hollande présidera toujours les cérémonies en tant que président en exercice mais il sera alors en présence du nouveau président élu qui prendra ses fonctions quelques jours plus tard, si ce n'est pas lui.
«La seule information que je peux vous donner, c'est que je serai là le 8 mai prochain», a-t-il ironisé sur France 2 avant de défendre son bilan, comme il le fait depuis quelques semaines. «Nous avons bien redressé le pays depuis quatre ans, je fais en sorte qu'il y ait un certain nombre de redistributions, dans la maîtrise de nos finances publiques», a expliqué François Hollande, favorable à «un soutien à des catégories qui ont participé à l'effort».
«Je veux que les Français soient fiers de leur pays, se disent que nous avons une belle et grande histoire, que nous avons fait des efforts pour être encore plus respectés, que nous avons une parole qui porte», a détaillé le président de la République pour qui enfin cette cérémonie du 8 mai, «ce n'est pas le souvenir, c'est l'avenir que nous avons à faire ensemble».
Nicolas Sarkozy, qui devrait se présenter à la primaire de son camp après l'été, a lui confié sur France 2 assister à cette cérémonie du 8 mai car c'est «un symbole d'unité nationale».
Manuel Valls a lui confié que l'«esprit de Résistance» devait encore «nous inspirer» dans «des moments où l'histoire tragique s'invite, comme en 2015 avec la menace terroriste». «Nous sortons d'une certaine manière d'une période d'insouciance» avec la menace djihadiste, a-t-il ajouté avant de conclure sur l'importance «d'entretenir cette mémoire car cela reste plus que jamais d'actualité».
Emmanuel Macron, qui doit ensuite partir à Orléans pour un discours sur Jeanne d'Arc, a lui été interrogé par France 2 sur un éventuel malaise avec François Hollande. «Il n'y en a jamais eu, je vous rassure, il ne faut pas croire tout ce que vous pouvez lire», a répondu le ministre de l'Economie.
LE PARISIEN
Commentaires
J'ai de sérieuses montées d'adrénaline lorsque je vois ce nuisible cynique, grand maître du mensonge comme l'a dit un jour Martine Aubry (une connaisseur, ou -sseuse"?) !
Ce n’était vraiment pas la peine en 1940 de se battre pour s’opposer à l’invasion allemande, pour 70 ans plus tard organiser nous-mêmes l’invasion de notre pays !
abad : les Mondialistes n,ont guère de sympathie pour les grands blonds , à cette époque un métissage avec les envahisseurs n,entraient pas dans leurs plans . .!!
salutations.
Ne méprisons pas la méthode Coué, elle marche ! C'est tout ce qui reste à ce charlatan !
d,autre part , j,ai trouvé parfait le sieur Hollande dans son numéro de grand comique , il faut bien lui trouver une qualité quand même. .!!
salutations.
Ce type est un grand complexé, en plus d ' être un arriviste et un rapace.