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La haine ant-française - Pau (64) : la statue de Jeanne d’Arc taguée (« Franchouillards de merde »)

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20h51

Il est vrai que l’affaire est passée plutôt inaperçue tant les tags ont été rapidement effacés par les services municipaux. Mais la statue de Jeanne d’Arc a bien été dégradée à Pau dans la nuit du 7 au 8 mai.

 

Côté face de la statue on pouvait lire l’inscription « Franchoullards de merde » (sic : le « i » a été oublié…). Et côté pile, une faucille et un marteau.

Voilà qui a irrité au plus haut point le secrétaire du Front national des Pyrénées-Atlantiques, Jean-Michel Iratchet. « Indigné », il dénonce des actes « de voyous », et parle de « profanation » du « symbole de nos racines chrétiennes et de la lutte pour notre souveraineté ».

larepubliquedespyrenees.fr

Merci à Marduc

 

 

Commentaires

  • je dirais plutôt: "les franchouillards sont dans la merde " , vu que la France est devenue une fosse sceptique . .!!
    salutations.

  • Qu a fait le coup,des musulmans, des indépendantistes?

  • Je suis un franchouillard de merde, certes, mais cultivé et pas circoncis par un prêtre de la haine ;o)

  • Si les français d'occasion haissent la france d'aujourd"hui ,d'anciens africains ou malgaches entretiennent un immense respect pour la France qu'ils ont connu et parfois défendu les armes à la main ; Les colons ont su faire aimer la France .Pas les zozos socialistes d'aujourd'hui .Voici un témoignage . Il est donné par un chroniqueur malgache :



    14.05.2016 | 8:30 Chronique de Vanf, Opinions

    Entendu sur Europe 1, le petit drame que vit cette boulangerie traditionnelle, près d’Aubagne, dans cette Provence que nous ont fait aimer les Pagnol, Daudet, Giono.
    Certainement que la boulangère, qui criait son indignation contre l’ouverture sur son territoire d’un «Lidl», n’a rien à voir avec «La femme du boulanger», adapté par Marcel Pagnol d’une oeuvre de Jean Giono. Mais, je lui retrouvais cet accent qu’ont rendu célèbre Fernandel dans «Regain» ou Raimu et Orane Demazis dans «Marius» et «Fanny», sauf que là, il s’agit plutôt de Ginette Leclerc dans «La femme du boulanger». Et, les lecteurs de Marcel Pagnol ne peuvent pas avoir oublié l’invective indirecte du boulanger cocu, s’en prenant à «La Pomponnette», s’assumant par procuration en «Pompon», le vieux matou délaissé.
    Ni boulanger cocu, ni femme du boulanger aux moeurs légères, dans ce village d’Auriol (code postal 13390), et c’est donc par coquetterie d’écriture que je veux reconnaître «la Pomponnette» crier son indignation contre les «superettes», qui sont en fait de monstrueuses grandes surfaces, assiégeant un village de 11.621 habitants (recensement de 2012). Le désarroi n’est pas celui de villageois privés du pain d’Aimable, mais bien de la mort lente d’une éloge de la proximité : «La Pharmacie du village», quai de l’Huveaune ; «La Fournée des Traditions», rue Grande ; «Le Bistro de la mer», ZAC du Pujol, avenue du 19 mars 1962, date de la fin de «l’Algérie française», tout le programme d’un général de Gaulle déclarant en avril 1961 que «l’Algérie nous coûte plus qu’elle nous rapporte, c’est pourquoi la France considérerait avec le plus grand sang-froid que l’Algérie cessât d’appartenir à son domaine» ; l’église Saint-Pierre, dans la rue éponyme ; le «collège Ubelka», au quartier des Artauds ; l’école primaire publique Jean Rostand, rue de la République et de ses instituteurs hussards de la laïcité…
    On retrouve là nos personnages bien connus : Monsieur l’Instituteur, Monsieur le Curé, le boulanger, le boucher, le tenancier de café… Pour le facteur et son képi, il faudra se rendre rue du Cimetière… La Cour des Comptes exige, semble-t-il, que «La Poste» ferme des bureaux supplémentaires : sur les 17.000 points de contact imposés par la loi, on en comptait 17.075 à fin 2014, dans toute la France, dont 9.574 de plein exercice. Désormais, l’agence postale squatte les locaux de la Mairie et les relais-postes se retrouvent hebergés chez des commerçants. Dans les zones rurales, le facteur se fait guichetier, distribuant le courrier le matin, et tenant l’agence l’après-midi.
    Pour les hôpitaux et les cliniques, il faudra se rendre à Aubagne ; la brigade de gendarmerie est celle de Roquevaire ; mais, une maison de retraite communale existe dans ce village dont la tranche d’âge de 60 à plus de 90 ans représente 20% de la population ; et la modernité lui a adjoint un centre de secours des pompiers.
    «Boucherie du Garlaban», «Boucherie de la Sainte-Beaume» : des noms qui me parlent d’images que j’idéalise beaucoup, figées qu’elles sont dans la résine de mes lectures d’enfance. Depuis, le monde a bien changé… «La Pomponnette» qui demande à ce que Lidl s’engage à ne pas faire de pain… Et le boucher artisanal exigera que l’enseigne ne fasse pas non plus de charcuterie… Ni qu’aucune pharmarcie ouvre dans les allées de la galerie commerciale… Lidl, Intermarché, Auchan, joueront la carte de l’usure…
    Le politiquement correct traite désormais en gros mot les racines chrétiennes de l’Europe, de la France ou de la Provence : ce dérapage non contrôlé à gauche ferait subir à la «Bonne Mère» le sort de la «Sainte-Sophie» de Constantinople, une église chrétienne, convertie en mosquée stambouliote, déclassée en musée par Kemal Atatürk, mais que le pouvoir islamiste d’Erdogan prétend re-transformer en lieu de culte.
    La rampe des grandes surfaces est trop souvent squattée par des «jeunes» connectés à une mondialisation dont ils miment les travers ; la faune des «grandes surfaces» est à l’image de leur flore : des produits importés des quatre coins du monde, et le Migrant se retrouvera bien plus vite que les villageois s’y attendent sur les quais de l’Huveaune ; le clocher unique de l’église pourrait rencontrer la concurrence d’un minaret improvisé tandis qu’une boucherie-charcuterie de type «Boucherie Hugues, spécialisée dans les produits du terroir, fondée en 1951, depuis trois générations», pourrait se voir imposer des restrictions halal… Au-delà de ma petite partition provençale, s’écrit une nouvelle page beaucoup moins et définitivement plus du terroir.
    Et notre terroir malgache Sur quel village, proche ou lointain, prestigieux ou anonyme, aristocratique ou morganatique, disposons-nous de statistiques démographiques actualisées Quel aménagement du territoire sans connaissance de la population ou comment faire de la géographie au mépris de la démographie En appui des études d’impact environnemental, quels autres outils anthropologiques, sociaux, culturels, associons-nous aux permis de construire ou d’aménagement Quel contrôle avons-nous sur le flux migratoire qu’un antique village de mon Avaradrano se retrouve tout d’un coup avec une population en hijab A

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