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  • Filière de Strasbourg : peines maximales requises contre 4 des 7 jihadistes

    http://www.leparisien.fr/faits-divers/filiere-de-strasbourg-peines-maximales-requises-contre-4-des-7-jihadistes-06-06-2016-5861411.php

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    Un des terroristes du Bataclan

     

  • Pour célébrer notre « longue histoire de paix et d’amitié » avec l’islam, le pape reçoit la mère de l’émir du Qatar!

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    Ce samedi 4 juin 2016, le Pape François a reçu en audience la mère de l’émir du Qatar, Mozah bint Nasser Al Missned. Dans une interview parue dans la presse italienne, cette femme très influente salue le leadership du Saint-Père qui, par ses paroles et ses actions, inspire des gens du monde entier. Elle se dit convaincue que son message d’unité et d’amitié entre tous les peuples et tous les credos est plus important que jamais.

    Mozah bint Nasser s’inscrit en faux contre la thèse du choc des civilisations entre l’islam et l’Europe, une thèse fatiguée et discréditée. « Nos cultures, souligne-t-elle, ont une longue histoire de paix, d’amitié et de collaboration ». Considérée comme la meilleure représentante du richissime petit émirat, Mozah bint Nasser Al Missned sillonne le monde et défend le dialogue des cultures et l’alliance des civilisations.

    C’est ainsi en tout cas Radio Vatican relate l’information. Néanmoins, la réalité des chrétiens au Qatar est tout de même sensiblement différente.

    Lu sur Riposte catholique

    Dans ce pays dont la religion d’Etat est le wahhabisme, quitter l’islam est passible de la peine de mort.
    Le Qatar est une monarchie absolue où l’émir est à la fois chef de l’État et chef du gouvernement. Il n’y a pas de système électoral et les partis politiques sont interdits.
    Par définition, tous les sujets qataris sont considérés comme étant sunnites ou chiites, et l’islam est religion d’État.

    Au Qatar, le wahhabisme est religion officielle et le droit de la famille est fondé sur la charia. Quitter l’islam pour une autre religion est considéré comme un crime et est passible de la peine capitale. Si les musulmans ont le droit de se réunir en public, les chrétiens ne peuvent se retrouver pour des cultes ou des réunions que les uns chez les autres ou dans des espaces désignés par les autorités.

    Depuis un siècle, le Qatar est devenu une terre d’immigration suite à la découverte de gisements de pétrole dans le pays. Par sa politique d’ouverture, le Qatar rejoint d’autres pays du Golfe comme le Koweït, Bahreïn, les Émirats arabes unis et Oman qui ont également autorisé la construction d’églises. Cependant celles-ci, construites au sein d’un complexe (à Doha), sont excentrées et difficiles d’accès pour beaucoup de chrétiens.
    Au Qatar, la persécution est surtout liée à l’extrémisme islamique et au totalitarisme du pouvoir. Cette persécution touche deux types de chrétiens : les étrangers immigrés et les chrétiens d’origine musulmane qataris.

    Les travailleurs immigrés peu qualifiés sont déjà vulnérables mais leur foi chrétienne renforce encore cette vulnérabilité. La Constitution qatarie déclare que « chacun est libre de pratiquer ses rites religieux en conformité avec la loi et dans le respect de l’ordre public et de la moralité. » Dans les faits, les chrétiens se heurtent à des restrictions dans la pratique de leur foi. Leur liberté de culte et le droit d’expression de leur foi sont extrêmement restreints. Si un chrétien immigré est accusé d’avoir parlé de sa croyance à un Qatari, il sera expulsé et/ou son visa ne sera pas renouvelé.

    Les chrétiens d’origine musulmane sont persécutés et doivent vivre leur foi dans le secret sous peine de graves persécutions familiales pouvant aller jusqu’à la mort. Cependant, depuis l’indépendance du pays en 1971, aucun cas d’exécution ou autre peine pour apostasie n’a été rapporté. La quasi-totalité des chrétiens d’origine musulmane se sont convertis à l’étranger, souvent lorsqu’ils suivent des formations d’été dans des universités occidentales. La majorité d’entre eux ne rentrent alors pas au pays, de peur de ce qui les attend. Si l’on découvre qu’ils se sont convertis, ils ont toutes les chances de subir d’énormes pressions de la part de leurs familles et de leurs pairs, ainsi que de la part du gouvernement, qui ne reconnaît pas leur conversion et continue de les considérer comme musulmans. Voici la citation d’un sujet qatari au sujet de l’apostasie : « Si l’enfant a 10 ans, son père lui montrera des versets du Coran. S’il a 15 ans, son père l’emmènera à la mosquée pour qu’il y reçoive un enseignement qui le remettra dans le bon chemin. S’il a 20 ans, un cousin le tuera ou bien la famille paiera quelqu’un pour l’assassiner. »
    L’islam est arrivé au Qatar au 7e siècle, et en quelques centaines d’années, le christianisme a complètement disparu de la plupart des pays du Golfe. Cependant, durant les premiers siècles de notre ère, le Qatar était une province perse qui abritait plusieurs églises et monastères. Il y avait même un évêque du Qatar au premier concile de Nicée qui s’est tenu en 325.
    Le Qatar compte aujourd’hui environ 90 000 chrétiens dont la plupart sont des immigrés. Ce chiffre fluctue en fonction du flot d’expatriés entrant et sortant du pays. Il n’y a qu’une poignée de chrétiens qataris d’origine musulmane, à côté de quelques autres chrétiens d’origine musulmane d’autres nationalités.
    La majorité des chrétiens immigrés sont catholiques (principalement originaires des Philippines), suivis de loin par les protestants (14 %) et par plusieurs autres groupes plus petits (anglicans, orthodoxes, etc.).
    Les églises catholiques, anglicanes, orthodoxes, coptes et asiatiques sont légales, mais seuls les immigrés ont le droit de s’y rendre. En outre, pour qu’une église puisse essayer d’obtenir un statut officiel, elle doit au moins compter 1500 fidèles, ce qui limite les possibilités. Certaines petites églises contournent cet obstacle en s’enregistrant sous couvert d’une église plus importante. On dénombre plus d’une centaine d’églises de maison (qui se réunissent chez des particuliers ou ailleurs). Elles sont en général tolérées par les autorités.

    Source

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  • Le Pape François et la soumission à l’islam, par Guillaume Faye

     

    6 juin 2016 par Guillaume Faye

    Le Pape François ne procède pas à un ”rapprochement ” avec l’islam ; il va bien plus loin et essaie de tisser une véritable complicité. Il médiatise ouvertement sa démarche, en forme de provocation. Sa feuille de route est transparente et cynique. Elle est aussi très dangereuse.

    Après avoir accueilli sur l’île de Lampedusa les ”migrants ” clandestins  en leur souhaitant avec chaleur la bienvenue en Europe (« mes chers musulmans »), après avoir lavé les pieds d’autres immigrés musulmans à Rome devant les caméras, après avoir ramené de l’île de Lesbos dans son avion personnel trois familles musulmanes réfugiées de Syrie en les préférant à des familles chrétiennes pourtant beaucoup plus en danger (voir autre article précédent de ce blog), voici que le Pape François a fait de nouveaux gestes emblématiques de soumission envers l’islam.

    L’islamophilie papale ignorante

    Il est passé à la vitesse supérieure, c’est à dire théologique, en recevant au Vatican le 23 mai le cheikh Ahmed al –Tayeb, grand imam de la mosquée al–Azhar du Caire, plus haute autorité de l’islam sunnite dans le monde. L’audience était censée produire un dégel entre l’institution sunnite et le Saint–Siège. En réalité, il s’agissait pour ce dernier de s’excuser des propos hostiles à l’islam, dénonçant sa violence et son intolérances intrinsèques, tenus (pourtant très doucement et allusivement) par Benoît XVI à Ratisbonne. (1) Le cheikh al–Tayeb, scandalisé, les avait fustigés. Cette audience au Vatican est une première et une victoire aux yeux des musulmans.

    Second fait récent assez grave : dans un entretien accordé à La Croix (17 mai), le Pape se livre à un éloge de l’islam – qui réfute implicitement Benoît XVI – et déblatère sur l’impérialisme occidental, ce qui est hors de propos ; mais il ne dit pas un mot sur les atrocités de Dae’ch et consorts ni sur le terrorisme islamique !

    Le Pape François explique : « L’idée de conquête est inhérente à l’âme de l’islam, il est vrai. Mais on pourrait interpréter avec la même idée de conquête la fin de l’Évangile de Matthieu où Jésus envoie ses disciples dans toutes les nations. » Ces propos sont à la fois faux et pervers car il n’y a rien de comparable entre la conversion forcée exigée par l’islam et la conversion persuasive (sauf rarissimes épisodes) du christianisme. Ces propos sont aussi inouïs : c’est la première fois qu’un Pape (par ignorance, par calcul, par intelligence défaillante ?) sort une ineptie historique et théologique pareille, culpabilisant le christianisme par rapport à l’islam. Dans quel but, un tel masochisme ? En tout cas, il a été respectueusement recadré par Rémi Brague, professeur de philosophie à la Sorbonne : « contrairement à ce qu’a affirmé le Pape François, les textes sacrés de l’islam et du christianisme ne justifient pas la violence de la même manière ». (Le Figaro, 24/05/ 2016)

    Les chrétiens  persécutés? Silence !

    Choquant : dans cet entretien, le Pape –comme d’ailleurs le Vatican d’une manière générale – est resté muet sur les persécutions et l’exil massif subis par tous les chrétiens dans les pays musulmans. Alors même qu’il encourage le déversement migratoire des musulmans en Europe ! C’est la première fois dans l’histoire qu’un Pape tente un ”rapprochement” avec l’islam au moment même où ce dernier repart à la conquête de l’Europe et se débarrasse de tous les chrétiens du Proche–Orient après meurtres et persécutions. Vladimir Poutine est nettement plus efficace que le Pape François – ou que les dirigeants européens– pour prendre la défense des chrétiens de Syrie persécutés.

    Dans l’entretien précité à La Croix, le Pape François affirme une autre énorme contre–vérité, que la coexistence entre chrétiens et musulmans est possible. Et il donne l’exemple de son pays, l’Argentine. Ridicule : on y compte à peine 1% de musulmans.

    En accord avec l’extrême gauche immigrationniste

    Et plus récemment, le Pape François en a encore rajouté. À la suite d’un naufrage récurrent de clandestins partis de Libye, il a déclaré devant 500 écoliers de Reggio di Calabria : « Les migrants ne sont pas un danger, ce sont eux qui sont en danger ». L’air bouleversé, avec son sens aigu de la communication et de la mise en scène, il a brandi un gilet de sauvetage recueilli sur une enfant syrienne noyée en lançant : « je le conserve comme l’un des biens les plus chers ». (2)

    Cet appel théâtral et basique à la pitié et à l’émotion, destiné à nous culpabiliser, d’un simplisme qui ravit tout ce que l’Europe compte de gauchistes immigrationnistes, dissimule un mépris envers les Européens. Ces derniers, en 2015, ont subi l’intrusion de 1,5 millions de ”migrants” envahisseurs (à 90% musulmans) et les flux s’accélèrent en 2016. Du jamais vu dans toute l’histoire de l’Europe. Cette indifférence envers les Européens qui voient leur continent pris d’assaut cache peut-être aussi une approbation de cette invasion. Affirmer que ” les migrants ne sont pas un danger”, mais, sous–entendu, une chance, c’est exactement le discours des groupes et lobbies d’extrême gauche immigrationnistes et défenseurs des ”sans papiers”, d’obédience trotskiste. Des parentés entre la doctrine du Pape et la position des ”islamo–gauchistes” apparaissent de plus en plus souvent.     

    Le Prix Charlemagne attribué au Pape François et le nihilisme

    Quatrième fait récent (très peu noté par les médias comme tous les faits importants) qui renseigne sur la stratégie du pape : en mai 2016, il a reçu le Prix Charlemagne pour la construction européenne et a fait un discours devant les présidents du Conseil de l’Europe, de la Commission européenne et du Parlement européen. Déjà, voilà qui en dit long sur l’idéologie des institutions européennes qui attribuent ce prix à un Pape ouvertement favorable à l’immigration incontrôlée et à l’islamisation de l’Europe ; cette inversion du réel est orwellienne. Le discours du Pape incite les Européens à la « capacité d’intégrer contre l’exclusion », mais aussi à « regarder l’étranger, le migrant, celui qui appartient à une autre culture, comme un sujet à écouter, considérer et apprécier ». Langue de bois droit–de–l’hommiste, catéchisme de l’extrême–gauche.

    Mais il y a beaucoup plus grave. Le Pape, chef de l’Église catholique a déclaré dans ce discours, ce qui n’a pas été relevé mais qui est explosif, que « la renaissance de l’Europe, l’âme de l’Europe […], ses racines chrétiennes, […] irriguées par l’eau pure de l’Évangile » reposaient sur l’accueil sans limites de tous les migrants. Autrement dit, le salut (moral) de l’Europe repose sur son invasion ethnique acceptée. Folie douce et absurdité ; cela s’appelle du nihilisme.

    Le Pape va encore plus loin : en rupture complète avec Jean Paul II et Benoît XVI, théologiquement accusés (implicitement, sans les nommer) de « triomphalisme chrétien » , il a affirmé dans son discours qu’il suffisait d’une « simple présence chrétienne en Europe, un témoignage qui ne cherche plus autre chose sur le sol européen ». Paroles terribles et subversives : l’Europe peut s’islamiser et remplacer sa population, ce n’est pas grave, pourvu qu’il y ait un ”témoignage” chrétien minoritaire. Le Pape François manifeste ici un nihilisme souriant.   

    Le Pape islamisateur contre les peuples européens

    Quel est l’objectif du Pape François, extrêmement politisé ? Mesurons d’abord le résultat de sa politique : elle va objectivement dans le sens d’une augmentation de l’invasion migratoire et de l’islamisation de l’Europe ; elle culpabilise l’enracinement européen, même chrétien et répand l’idée que l’Europe n’est pas fondamentalement de tradition chrétienne et gréco-romaine, celtique, slave, germanique, scandinave mais qu’elle doit s’islamiser, s’ouvrir aux immigrés musulmans et autres non– Européens. Sa politique va aussi dans le sens d’un pardon fait à l’islam et d’un appel au respect et, au fond, à la soumission des chrétiens européens à l’islam.

    Quant à l’objectif recherché : le Pape François est–il un naïf utopique halluciné ou un cynique destructeur de l’identité européenne ? Peut-être les deux à la fois, il est très difficile de répondre avec exactitude. En tout cas, le message adressé à la chrétienté et aux Européens est clair : ne résistez pas à l’islamisation, vous ne risquez rien. Le Pape croit-il lui-même à ce mensonge ?

    Une telle folie peut s’expliquer par un christianisme radical de retour aux sources (fantasmées) du christianisme primitif présent chez les jésuites ultra–politisés sud-américains proches de la ”théologie de la libération” (marxisée) des années 60 et 70, que le Pape François a certainement bien connue…

    Dans cette perspective, ce serait au nom d’une certaine morale chrétienne égalitariste originelle que le Pape s’en prendrait à la fois au catholicisme traditionnel et à l’identité européenne ethnique, qu’il semble ne pas apprécier ; alors qu’il n’a rien contre les identités ethniques des autres peuples, notamment musulmans. Cherchez l’erreur. Sa sympathie affichée et active pour l’islam pose néanmoins un problème très grave : c’est que l’islam ne lui voue et ne voue aux chrétiens, aux Européens, aux Occidentaux, etc. aucune sympathie. Pour ne pas dire plus.   

    De deux choses l’une : ou bien le Pape François est un utopiste délirant, un de ces jésuites intello–gauchistes dont les rêveries sommaires et sincères explosent toujours en plein vol ; ou bien il appartient au clan des démolisseurs.

    (1) La démission, fait inouï dans l’histoire de l’Église, de Benoît XVI reste un mystère.

    (2) Cet épisode du gilet de sauvetage est une opération de communication sophistiquée. Rien n’est improvisé ou spontané. 

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  • Le ramadan, c’est maintenant, par Caroline Parmentier

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    Le ramadan commence le 6 juin. Il est devenu le rite religieux le plus visible et sans doute le plus suivi en France. Verra-t-on cette année des dérogations spéciales ou indulgences particulières des examinateurs parce qu’il se déroule en même temps que le bac ?

    Lorsque j’ai rempli la fiche de renseignement de mon fils en début d’année dans son collège laïc des Yvelines, il m’a été demandé s’il mangeait du porc et s’il serait présent ou absent pendant le ramadan. Cette absence est « actée », entrée dans les mœurs. On paraît moins exotique si l’on s’absente pour le ramadan que pour l’enterrement de son grand-père dans le Sud-Ouest.

    L’année dernière un élève de 5e de sa classe a été pris d’un malaise en cours de sport parce qu’il n’avait rien bu de la journée. De quelle famille supporterait-on cette forme de maltraitance a fortiori pour des raisons religieuses ? Le jeûne est prescrit à tout musulman pubère. Des dispenses avec compensations – jeûne différé – sont prévues pour les voyageurs, les malades, les personnes âgées, les femmes enceintes ou venant d’accoucher, pas pour les bacheliers. Ce sera à nous de nous adapter.

    Le Monde nous annonce admirativement 80 % de jeûneurs chez les musulmans français. C’est une écrasante majorité et l’on sait que ce nombre est en augmentation chaque année comme le port du voile ce que chacun peut aisément mesurer à la sortie de l’école, chez Auchan ou au Parc Astérix. Cela signifie que dès lundi des conducteurs de bus chez lesquels on trouve une forte population de musulmans (grâce à la discrimination positive pratiquée par la RATP comme l’a décrit Ghislaine Dumesnil dans son livre Allah au volantla mort au tournant) vont se trouver dans le cas de conduire en état d’hypoglycémie et de déshydratation avancée avec les risques que cela comporte pour ceux qu’ils transportent comme pour ceux qui viennent en face.

    Même chose pour les conducteurs de transport scolaire, les chauffeurs de taxi (lors de la grève des taxis à Paris il y a un an, BFM nous apprenait qu’une majorité d’entre eux rompait le jeûne ensemble juste avant la dislocation de la manif). De quelle religion supporterait-on qu’elle mette ainsi la vie des populations en danger, sans crier à l’obscurantisme, au scandale et aux risques pour la sécurité publique ?

    Aux policiers exténués par l’état d’urgence, le laxisme du pouvoir, les saccages, le harcèlement ultra-violent des casseurs (samedi encore lors de la manif autorisée des antifas en mémoire de Clément Méric !) on inflige un Euro de foot (51 matchs, des milliers de fans zones à sécuriser) combiné avec le ramadan et ses nombreux débordements communautaires. Heureusement nos policiers vont recevoir l’appui sûr d’employés de sociétés de sécurité privées parmi lesquels la DGSI a repéré 82 fichés, susceptibles de porter atteinte à la sûreté de l’Etat… Font-ils le ramadan ?

    Caroline Parmentier

    Article paru dans Présent n° 8623 daté du 7 juin 2016

    NOVOPRESS

  • TVL - Journal du lundi 6 juin 2016

  • Diana Johnstone: “Clinton est vraiment dangereuse”

       

    Vu sur : INVESTIG’ACTION L’info n’est pas un luxe, c’est un droit , écrit par : Grégoire Lalieu
     
    Hilary Clinton, la candidate du complexe militaro industriel des Etats Unis, soutenue entre autre par Goldman Sachs, est le fer de lance du neo-conservatisme ( les néocons) américains et pourrait bien déclencher la troisième guerre mondiale. Finalement , l’extravagant Donald Trump, avec sa volonté autarcique serait préférable pour la paix dans le monde. Portrait de Diana Johnstone auteur de : »Hillary Clinton , la reine du chaos ».
    OD

     

    Clinton-Hillary

    Jusqu’où ira Hillary Clinton pour accéder à la Maison-Blanche et que pourrait-on attendre de son éventuelle présidence? Nous avons posé la question à Diana Johnstone. Dans son récent ouvrage Hillary Clinton, la reine du chaos, elle analyse le lien entre les ambitions de la candidate sans scrupule et la machine qui sous-tend l’empire américain. Du coup d’Etat au Honduras à la guerre en Libye en passant par l’instrumentalisation de la cause féministe, Diana Johnstone nous dévoile la face cachée de la candidate démocrate et nous met en garde sur le “Smart Power” cher à Clinton. Enfin, elle analyse pour nous le succès de Donald Trump et ce que son alternative représente vraiment.
    La course à la Maison-Blanche se fait au coude-à-coude. Hillary Clinton a-t-elle une chance de l’emporter ? Comment analysez-vous sa campagne jusqu’ici ?
    Elle a commencé sa campagne en grande favorite, mais ne cesse de baisser dans les sondages. Avec toute la machine du Parti démocrate à son service, un énorme trésor de guerre, et la certitude de gagner les premières primaires dans les Etats du Sud, Hillary Clinton avait une longueur d’avance qui rendait le rattrapage de son challenger imprévu Bernie Sanders quasi impossible. Pourtant, ce vieux sénateur peu connu, se qualifiant de « socialiste démocratique » dans un pays où le socialisme est largement considéré comme l’œuvre du diable, a suscité un enthousiasme extraordinaire, notamment parmi les jeunes. Quoi qu’il arrive, la campagne inattendue de Bernie a réussi à attirer l’attention sur les liens quasi organiques entre les Clinton et Wall Street, liens occultés par les grands médias. Pour la première fois, ceux-ci ont été efficacement contrecarrés par Internet qui fourmille de vidéos dénonçant la cupidité, les mensonges, la bellicosité de Mme Clinton.
    Par ailleurs, Hillary Clinton court le risque d’ennuis graves à cause de son utilisation illicite de son propre serveur email en tant que secrétaire d’Etat.
    Au cours des primaires, sa popularité a baissé tellement que le Parti démocrate doit commencer à être effrayé de nommer une candidate trainant tant de casseroles. Les derniers sondages montrent que l’impopularité de Hillary Clinton commence à dépasser l’impopularité de Trump. Pour beaucoup d’électeurs, il sera difficile de choisir « le moindre mal ».
    La campagne de Hillary Clinton aurait déjà coûté 89,6 millions de dollars. De quels personnages influents a-t-elle le soutien ? Peut-on deviner, à partir de là, quels intérêts Clinton pourrait défendre si elle devient présidente ?
    Celui qui se met le plus en avant est un milliardaire israélo-américain, Haim Saban, qui s’est vanté de donner « autant d’argent qu’il faut » pour assurer l’élection de Hillary. En retour, elle promet de renforcer le soutien à Israël dans tous les domaines, de combattre le mouvement BDS et de poursuivre une politique vigoureuse contre les ennemis d’Israël au Moyen-Orient, notamment le régime d’Assad et l’Iran. Le soutien financier considérable qu’elle reçoit de l’Arabie saoudite va dans le même sens. D’autre part, les honoraires faramineux reçus de la part de Goldman Sachs et d’autres géants de la finance laissent peu de doute sur l’orientation de sa politique intérieure.
    En devenant la première femme présidente des Etats-Unis, pensez-vous que Hillary Clinton ferait avancer la cause féministe ?
    Le fait d’être femme est le seul élément concret qui permet à Hillary de prétendre que sa candidature soit progressiste. L’idée est que si elle « brise le plafond de verre » en accédant à ce poste suprême, son exemple aidera d’autres femmes dans leur ambition d’avancer dans leurs carrières. Mais pour la masse des femmes qui travaillent pour de bas salaires, cela ne promet rien.
    Il faut placer cette prétention dans le contexte de la tactique de la gauche néolibéralisée de faire oublier son abandon des travailleurs, c’est-à-dire de la majorité, en faveur de l’avancement personnel des membres des minorités ou des femmes. Il s’agit de la « politique identitaire » qui fait oublier la lutte des classes en se focalisant sur d’autres divisions sociétales. En d’autres termes, la politique identitaire signifie le déplacement du concept de l’égalité du domaine économique à celui de la subjectivité et des attitudes psychologiques.
    Dans votre livre, Hillary Clinton, la reine du Chaos, vous revenez sur la guerre du Kosovo. Hillary Clinton était la première Dame des Etats-Unis à l’époque. En quoi le bombardement de la Yougoslavie en 1999 a-t-il été un épisode marquant de son parcours politique ?
    Avec son amie Madeleine Albright, l’agressive ministre des Affaires étrangères de l’époque, Hillary poussait son mari Bill Clinton à bombarder la Yougoslavie en 1999. Cette guerre pour arracher le Kosovo à la Serbie fut le début des guerres supposées « humanitaires » visant à changer des régimes qui ne plaisent pas à Washington. Depuis, Hillary s’est fait la championne des « changements de régime », notamment en Libye et en Syrie.
    Dans mon livre, La Reine du Chaos, je souligne l’alliance perverse entre le complexe militaro-industriel américain et certaines femmes ambitieuses qui veulent montrer qu’elles peuvent faire tout ce que font les hommes, notamment la guerre. Un intérêt mutuel a réuni les militaristes qui veulent la guerre et des femmes qui veulent briser les plafonds de verre. Si les militaristes ont besoin de femmes pour rendre la guerre attrayante, certaines femmes très ambitieuses ont besoin de la guerre pour faire avancer leur carrière. Les personnalités les plus visiblement agressives et va-t’en guerre de l’administration Obama sont d’ailleurs des femmes : Hillary, Susan Rice, Samantha Power, Victoria Nuland… C’est un signal au monde : pas de tendresse de ce côté-ci !
    On peut ajouter le Honduras au tableau de chasse de Hillary Clinton. Elle était fraîchement élue secrétaire d’Etat lorsqu’en 2009, l’armée a renversé le président Manuel Zelaya. Un avant-goût de la méthode Clinton ?
    Son rôle en facilitant le renversement par des militaires d’un président démocratiquement élu illustre à la fois ses méthodes et ses convictions. Ses méthodes sont hypocrites et rusées : elle feint une désapprobation du procédé tout en trouvant les moyens de l’imposer, contre l’ensemble de l’opinion internationale. Ses convictions, c’est clair, l’amènent à soutenir les éléments les plus réactionnaires dans un pays qui est le prototype de la république bananière : c’est le pays le plus dominé par le capital et par la présence militaire des Etats-Unis de toute l’Amérique latine, le plus pauvre après Haïti. Zelaya aspirait à améliorer le sort des pauvres et des indigènes. Il osait même proposer de convertir une base militaire américaine en aéroport civil. A la trappe ! Et depuis, les opposants – par exemple la courageuse Bertha Caceres – sont régulièrement assassinés.
    Cette méthode porte un nom, le Smart Power. Pouvez-vous nous expliquer ce que c’est ?
    Dans le discours washingtonien, on distingue depuis longtemps le « hard power » (militaire) du « soft power » (économique, politique, idéologique, etc.). Hillary Clinton, qui se vante d’être très intelligente, a pris comme slogan le « Smart Power », le pouvoir malin, habile, qui ne signifie qu’une combinaison des deux. Bref, elle compte utiliser tous les moyens pour préserver et faire avancer l’hégémonie mondiale des Etats-Unis.
    Si le Smart Power aspire à combiner la méthode douce et la manière forte, cette dernière semble avoir la préférence de Clinton malgré tout !
    Oui, en tant que chef de la diplomatie américaine, Hillary Clinton a souvent montré une préférence pour la force contre l’utilisation de la diplomatie. On voit les mêmes tendances chez ses consœurs Madeleine Albright, Susan Rice ou Samantha Power. Surtout dans le cas de la Libye, Clinton a saboté les efforts de médiation des pays africains et même d’officiers supérieurs américains et du membre du Congrès Kucinich qui avaient pris contact avec les représentants de Kaddafi en quête d’un compromis pacifique. Elle s’opposait aussi aux négociations avec l’Iran. Et elle est prête à risquer la guerre avec la Russie pour chasser Assad, ce qui s’accorde avec son hostilité affichée envers Poutine.
    Les années Bush et la brutalité des néoconservateurs ont frappé les esprits, mais le Smart Power de Clinton semble tout aussi dangereux, non ?
    Tout à fait, cette femme est très dangereuse. Alors que les Etats-Unis s’apprêtent à renouveler leur arsenal nucléaire, alors qu’ils mènent une campagne de propagande haineuse antirusse qui dépasse celle de la guerre froide, alors qu’ils obligent leurs alliés européens à acheter une quantité énorme d’avions de guerre made in USA tout en poussant l’Otan à concentrer les forces militaires le long des frontières russes, la présidence de Mme Hillary Clinton représenterait un péril sans précédent pour le monde entier.
    Vous pointez dans votre ouvrage tout le poids du complexe militaro-industriel dans la politique étrangère des Etats-Unis. Finalement, la personne qui occupe le bureau ovale a-t-elle une marge de manœuvre ?
    La base matérielle de la politique guerrière des Etats-Unis, c’est ce complexe militaro-industriel (MIC), né au début de la guerre froide, contre la dangerosité duquel le président Eisenhower lui-même a averti le public en 1961. Il a fini par dominer la vie économique et politique du pays. Les intellectuels organiques de ce complexe, logés dans les think tanks et les rédactions des grands journaux, ne cessent de découvrir, ou plutôt d’inventer, les « menaces » et les « missions humanitaires » pour justifier l’existence de ce monstre qui consomme les richesses du pays et menace le monde entier. Les présidents passent, le MIC reste. Depuis l’effondrement de l’Union soviétique, le « Parti de la Guerre » se sent tout-puissant et devient plus agressif que jamais. Hillary Clinton a tout fait pour devenir leur candidate préférée.
    Comment construire dès lors une alternative à ce Parti de la Guerre ?
    C’est la grande question à laquelle je ne saurais répondre. Par ailleurs, il n’existe pas de formule pour de tels bouleversements, qui dépendent d’une diversité de facteurs, souvent imprévisibles. La candidature tellement décriée de Trump pourrait en être un, car le vieil isolationnisme de droite est certainement un des éléments qui pourrait contribuer à détourner Washington de son cours vers le désastre. Qu’on le veuille ou non, il faut reconnaître que « la gauche » est trop impliquée dans la farce des « guerres humanitaires » pour être la source du revirement. Il faut une prise de conscience qui dépasse les divisions de classes et d’étiquettes politiques. La situation est grave, et tout le monde est concerné.
    Trump se demande en effet pourquoi les Etats-Unis devraient jouer au gendarme dans le monde entier, plaide pour des relations plus constructives avec la Russie et interroge l’utilité de l’Otan. Il est même opposé au TTIP ! Mais son protectionnisme conservateur ne pourrait-il pas conduire à d’autres guerres de grande ampleur ? N’y a-t-il pas d’autre espoir ?
    Il est difficile de qualifier un personnage tel que Trump comme « espoir », mais il faut le situer dans le contexte politique américain. En Europe, et notamment en France, on persiste à prendre le spectacle des élections présidentielles américaines comme une évidence de la nature « démocratique » du pays. Mais tous ces spectacles, avec leurs conflits et leurs drames, tendent à obscurcir le fait central : la dictature de deux partis, tous les deux dominés par le complexe militaro-industriel et son idéologie d’hégémonie mondiale. Ces deux partis sont protégés de concurrence sérieuse par les règles particulières à chacun des cinquante Etats qui rendent quasiment impossible la présence d’un candidat tiers. L’exploit de Trump est d’avoir réussi à envahir et d’accaparer l’un de ces deux partis, le Parti républicain, qui se trouvait dans un état de dégradation intellectuelle, politique et morale extrême. Il l’a accompli par une sorte de démagogie très américaine, perfectionnée pendant sa prestation en tant que vedette d’un programme de « télé-réalité ». C’est une démagogie empruntée au show-business plutôt qu’au fascisme. On ravit l’auditoire en étant choquant.
    L’invasion du jeu électoral par cet amuseur de foules est très significative de la dépolitisation du pays – tout comme la réussite plus modeste de Bernie Sanders montre le désir d’une minorité éclairée progressiste de réintroduire le politique dans le spectacle.
    Le Parti démocrate, tout corrompu qu’il soit, garde vraisemblablement assez de vigueur pour marginaliser l’intrus. Il a une ligne politique claire, représentée par Hillary Clinton : néolibéralisme et hégémonie mondiale sous couvert des droits de l’homme. Il fera tout pour bloquer Sanders. Mais on peut toujours espérer que le mouvement inspiré par sa candidature contribuera à un renouveau durable de la gauche.
    A court terme, il reste Trump, ancien démocrate plus ou moins, malhonnête comme l’est forcément un homme d’affaires qui a réussi dans l’industrie de la construction, égoïste, comédien, dont on ne sait pas trop à quoi s’attendre. Seulement, il peut difficilement être pire que Hillary, ne serait-ce que parce qu’il casse le jeu actuel qui mène directement à la confrontation avec la Russie. En tant que présidente, Hillary se trouverait bien chez elle à Washington entourée de néocons et d’interventionnistes de tout poil prêts à s’embarquer ensemble dans des guerres sans fin. Lui par contre se trouverait dans un Washington hostile et consterné. Ce serait une version originale du « chaos créateur » cher aux interventionnistes.
    L’idée que « le protectionnisme mène à la guerre » fait partie de la doctrine du libéralisme. En réalité, nous sommes déjà en pleine guerre, et un peu de retrait chez soi de la part des Américains pourrait calmer les choses. Que ce soit Trump ou Sanders, un certain « protectionnisme » à l’égard des produits chinois serait nécessaire pour faire redémarrer l’industrie américaine et créer des postes de travail. Mais il est impossible aujourd’hui de pratiquer le « protectionnisme » des années 1930. La peur du « protectionnisme » mène à la politique néolibérale actuelle de l’Union européenne qui détruit toutes les protections des travailleurs.
    Au lieu de craindre Trump, l’Europe ferait mieux de le regarder comme un révélateur. Face à cette Amérique, les Européens doivent retrouver la vieille habitude de formuler leurs propres objectifs, au lieu de suivre aveuglément une direction politique américaine profondément hypocrite, belliqueuse et en pleine confusion. Le bon protectionnisme serait que les Européens apprennent à se protéger de leur grand frère transatlantique.
    Source: Investig’Action
    Voir Diana Johnstone, Hillary Clinton. La reine du chaos, Editions Delga, 2015

     
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    Le réveil français

  • Un printemps pourri...

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  • VIDEO - Italie : 2 femmes « populistes » à la conquête de Rome (Màj)

    http://www.francetvinfo.fr/monde/italie/rome-un-duel-de-femmes-populistes-pour-le-gain-des-municipales_1483977.html

     

    4h48

    05/06/2016

    En Italie, les Romains vont se rendre aux urnes demain, dimanche 5 juin, afin d’élire leur nouveau maire. La ville pourrait connaître une vraie révolution : deux femmes populistes sont en tête des sondages.

     


    04/06/2016

    Une avocate du mouvement populiste de Beppe Grillo et une militante d’extrême droite sont les favorites du premier tour des municipales dans la capitale dimanche. Avec un déficit de 14 milliards d’euros, Rome est aujourd’hui quasi ingouvernable, très étendue avec ses 15 municipalités

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     Giorgia Meloni, Virginia Raggi

     

    Virginia Raggi, 37 ans, avocate venue de la périphérie ouest de Rome, inconnue jusqu’à il y a quelques mois, sans aucune précédente expérience politique, pourrait bien être la nouvelle maire de Rome au soir du second tour, le 19 juin. Créditée de plus de 30% d’intentions de vote au premier tour, qui aura lieu dimanche 5 juin, selon le dernier sondage Demos-La Repubblica, elle bénéficie du mécontentement général des Romains, lassés de cette capitale européenne en délabrement. « Pour le Mouvement 5 étoiles, qui n’administre que des villes moyennes comme Parme ou encore Livourne, remporter Rome constituerait un tournant politique majeur« , commente Jacopo Iacoboni­, journaliste au quotidien La Stampa.

    Celle qui la talonne est Giorgia Meloni, 39 ans, politicienne aguerrie, militante d’extrême droite depuis ses 16 ans, fondatrice du parti Frères d’Italie-­Alliance nationale et candidate de la Ligue du Nord, de Matteo Salvini. Du point de vue des idées, difficile de déceler une vraie vision de la Ville éternelle chez ces deux candidates antisystème. Leur point commun : vouloir renouveler la vie politique romaine.

    Virginia Raggi met en avant l’objectif d’une saine administration de la ville, « jouant sur l’échec de tous les mandats précédents, du gâchis d’argent dans un registre antipolitique« , commente le politologue Giovanni Orsina. De son côté, Giorgia Meloni, qui réussit assez finement à faire oublier que sa famille politique a dirigé la ville, défend l’idée d’une ville propre, sûre, anti-immigrés. « Elle a des accents idéologiques plus forts que Raggi, et plus proches d’une Le Pen », ajoute le politologue. [...]

    Le JDD

  • Laurent Ruquier reçoit Florian Philippot : vrai et faux fascisme sur ONPC, émission de service public

    http://www.egaliteetreconciliation.fr/Laurent-Ruquier-recoit-Florian-Philippot-vrai-et-faux-fascisme-sur-ONPC-emission-de-service-public-39747.html

  • VIDEO - Estrosi sur Marion Maréchal: " Des trois Le Pen, c'est la plus dangereuse"

    http://www.bfmtv.com/mediaplayer/video/estrosi-sur-marion-marechal-des-trois-le-pen-c-est-la-plus-dangereuse-828217.html

  • Saint-Malo. Des « mineurs isolés étrangers » agressent des collégiens de Surcouf [MAJ : ils ressortent libres]

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    MAJ : 28 mai 2016 : Verdict. 

    Les trois jeunes présentés à un juge pour enfants vendredi 27 mai sont ressortis libres. Ils ont interdiction de rentrer en contact entre eux ou avec les victimes. Obligation de pointage au commissariat de Saint-Malo (de Dinard pour deux d’entre eux) une fois par semaine .

    27/05/2016 – 12H00 Saint-Malo  (Breizh-info.com) –Le 25 mai 2016, deux jeunes collégiens scolarisés au collège Robert Surcouf ont porté plainte suite à une violente agression dont ils ont été victimes. Une plainte visant 6 individus (dont au moins trois nominativement), des jeunes Albanais et Afghans, collégiens et lycéens à Saint-Malo, qui auraient agressés plusieurs élèves depuis des semaines. Ces Albanais mineurs isolés étrangers sont accueillis au collège Surcouf dans le cadre du programme UPE2A de l’Education nationale (unité pédagogique pour des allophones arrivants).

    Dernière agression en date, le 24 mai, à la sortie du collège. Plus précisément devant le Netto (Bellevue), situé dans le quartier « sensible » de La Découverte. Les deux jeunes, qui se dirigeaient vers les arrêts de bus afin de rentrer chez eux, ont été agressés par ce groupe qui les avait suivis depuis la sortie du collège. S’en sont suivis un coup de tête suivi d’un lynchage au sol, à plusieurs, qui occasionnera à l’une des victimes – qui a tenté de se défendre durant l’agression –  une ITT de six jours. La deuxième victime subira le même sort, lynché par terre, et devait aller faire constater les dégâts après son dépôt de plainte.

    Le principal adjoint du collège Surcouf, Jean-Patrick Thierry a tenu à souligner (sur une « fiche incident grave » adressée à l’inspection académique ainsi qu’au parquet de Saint-Malo) « la très grande violence des agresseurs ».  Des mineurs étrangers qui séjournent tous, au frais du contribuable, en famille d’accueil ou en foyer.

    M. Thierry  – qui évoque des faits « qui se sont passés hors de l’enceinte du collège » – rapporte sur cette fiche que deux assistants d’éducation se sont rendus sur place lorsque des élèves les ont informés de l’agression, et qu’ils ont pu prendre en charge les victimes et recueillir des témoignages. Une vidéo a été tournée et a permis de voir ce qu’il s’est exactement passé.  La vidéo a été transmise à la police qui a procédé à l’interpellation de plusieurs individus (3 pour le moment), formellement reconnus par les deux victimes. Placés en garde à vue, ils seront déférés ce vendredi après-midi devant un juge pour enfant.

    Les mineurs isolés étrangers coûtent chacun à la collectivité 60 000 € par an . Fin 2014, ils étaient 272 à être pris en charge en Ille et Vilaine, et leur nombre n’a cessé de croitre dès lors. « Il n’est pas normal que nos enfants aient à subir le comportement violent de ces jeunes marginaux, que nous accueillons et qui ne respectent pas nos règles de vivre ensemble » nous écrit la mère d’un élève, agressé lui aussi par un mineur isolé étranger, récemment à Rennes. « Le pire, c’est qu’ils sont protégés judiciairement et qu’ils ne sont même pas expulsables . Ce sont nos jeunes enfants qui en payent directement les conséquences». A Rennes en effet, ces jeunes, principalement issus d’Europe de l’Est, d’Afrique subsaharienne et d’Afrique du Nord, font fréquemment parler d’eux dans le cadre de trafics, d’agressions et de règlements de compte en tout genre.

     

    Crédit photo : DR
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