Après des semaines et des semaines de violences perpétrées par la CGT et ses camarades d’ultra-gauche, des dizaines de policiers blessés, dont certains grièvement, des centres-villes entièrement saccagés et les provocations insupportables de Martinez, c’est maintenant, et seulement maintenant, alors que nous vivons depuis des mois sous l’état d’urgence, que le gouvernement se pose la question d’interdire ces manifestations.
Invité mercredi matin sur France Inter, le Premier ministre, après avoir souligné « l’attitude ambiguë du service d’ordre de la CGT », a en effet déclaré que « ces manifestations ne peuvent plus durer ainsi » et brandi la menace d’une interdiction.
A l’origine de cette déclaration, les nouvelles dégradations et agressions commises la veille à Paris lors des manifestations contre la loi travail, qui ont fait au moins 40 blessés. Et notamment l’attaque intolérable de l’hôpital Necker par les militants de la CGT et leurs camarades.
Des images ahurissantes, sur lesquelles on aperçoit ces « braves gens » caillasser allègrement les vitres de ce célèbre hôpital où sont soignés des enfants malades. Et notamment, ce jour-là, le petit garçon du couple de policiers massacré lundi par un djihadiste à Magnanville. Certains, selon les témoins, s’en sont même pris à la façade de l’hôpital à « coups de masse », brisant une quinzaine de baies vitrées. Et ce, comme l’expliquait un professeur exerçant à Necker, juste au niveau du bloc opératoire où des enfants subissaient au même moment une intervention chirurgicale.
Des images, tout de même, qui auront scandalisé un foule d’internautes, nombre de politiques, et même quelques-uns de ces médias qui versent pourtant des larmes de crocodiles lorsque un casseur d’ultra-gauche a le malheur de prendre une gifle d’un CRS. Mais apparemment pas Philippe Martinez, qui a expliqué mercredi que « menacer d’interdire les manifestations est le signe d’un gouvernement aux abois » et que « la CGT ira jusqu’au bout ».
Article paru dans Présent daté du 17 juin 2016
Commentaires
Il suffit de couper les subventions qui sont très grassement attribuées à la CGT : par exemple celle de EDF dont le montant annuel est de l’ordre du milliard !
abad : pas demain la veille , même avec un Gvt dit de droite . .!!
salutations.