C'est peu après 5 heures du matin (heure française) que Nigel Farage a prononcé son bref discours de victoire. L'air exténué, mais soulagé, délivré par le résultat, il a repris la posture de tribun qu'il avait abandonné en début de soirée, en croyant voir venir la défaite.
"C'est une victoire des vrais gens, des gens modestes, des honnêtes gens", a-t-il débuté. "Nous nous sommes battus contre les multinationales, contre les grands partis", a-t-il rappelé.
"Nous l'avons fait, nous l'avons fait sans combat, sans avoir eu à tirer une seule balle, nous l'avons fait par un travail de terrain acharné", a-t-il poursuivi. Une saillie douteuse, une semaine après le meurtre de Jo Cox.
"J'espère que cette victoire achève ce projet (européen, ndlr) en faillite, nous conduise vers une Europe faite d'Etats-nations souverains, faisant du commerce ensemble, ayant des relations amicales ensemble, coopérant ensemble, et rejette le drapeau, l'hymne, Bruxelles, et tout ce qui est devenu mauvais", a-t-il martelé.
Sous les applaudissements, Nigel Farage a conclut en s'exclamant: "faisons que ce 23 juin reste dans notre histoire comme notre jour d'indépendance !"
En prenant la parole le premier, le député européen a devancé les leaders conservateurs Boris Johnson et Michael Gove, qui revendiquaient de représenter eux aussi le camp pro-Brexit. Désormais, c'est Nigel Farage qui incarne la victoire.
"C'est une victoire des vrais gens, des gens modestes, des honnêtes gens", a-t-il débuté. "Nous nous sommes battus contre les multinationales, contre les grands partis", a-t-il rappelé.
"Nous l'avons fait, nous l'avons fait sans combat, sans avoir eu à tirer une seule balle, nous l'avons fait par un travail de terrain acharné", a-t-il poursuivi. Une saillie douteuse, une semaine après le meurtre de Jo Cox.
"J'espère que cette victoire achève ce projet (européen, ndlr) en faillite, nous conduise vers une Europe faite d'Etats-nations souverains, faisant du commerce ensemble, ayant des relations amicales ensemble, coopérant ensemble, et rejette le drapeau, l'hymne, Bruxelles, et tout ce qui est devenu mauvais", a-t-il martelé.
Sous les applaudissements, Nigel Farage a conclut en s'exclamant: "faisons que ce 23 juin reste dans notre histoire comme notre jour d'indépendance !"
En prenant la parole le premier, le député européen a devancé les leaders conservateurs Boris Johnson et Michael Gove, qui revendiquaient de représenter eux aussi le camp pro-Brexit. Désormais, c'est Nigel Farage qui incarne la victoire.
LE FIGARO
Commentaires
Crève l ' UERSS, parasitaire et mortifere !
Il faut réaliser le niveau de propagande des médias français.
Ils accusent Cameron " d ' avoir joué à l ' apprenti sorcier " et mettent en garde contre " un risque de contagion " qu ' il faut absolument éviter en refusant la tenue de référendums au nom de " nos valeurs ", martèlent-ils.
Les électeurs pro Brexit ne sont que de pauvres " ploucs " stupides, racistes et xénophobes, disent-ils.
Les débats se tiennent entre personnes proférant les mêmes idées. L 'UE a été créée pour éviter les guerres et la shoah affirment-ils. Et dans quelques années nous allons assister à des guerres entre pays européens.
Et voilà ce qui arrive, la livre et la City plongent claironnent -ils.
Ils savent bien qu' il s ' agit d ' un phénomène transitoire, mais les citoyens sont priés de ne s ' intéresser qu ' à leur porte- monnaie. Pas à leur identité, ça doit être fasciste.
Le travailliste Corbyn dit " aux classes ouvrières blanches " qu ' il les a comprises. Il leur faut de l ' emploi. Pas un mot sur l ' immigration.
Et Boris Johnson se fait huer, en sortant de chez lui, par une centaine de gauchiasses qui bloquent sa voiture et le traitent carrément de " salaud ". Ah qu ' elle est belle l ' engeance internationaliste bolchevique.
Deux journalistes britanniques installés en France depuis de nombreuses années chialent sur tous les plateaux télé.
L ' un deux la grande folle Alex Taylor, hurle " j'ai honte d ' être anglais, j'ai honte " en se tenant le ventre et en faisant mine de vomir.
Une journaliste sur bfm tv s ' énerve, demande à un invité ce que les médias n ' ont pas su faire pour faire aimer l ' UE et bat sa coulpe, avouant sans détours que bfm tv est le relais du pouvoir.