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Reims : les fillettes d'un centre de loisirs priées de mettre un short sous leur jupe

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Des parents outrés. A Reims, Alice Nayrac et son mari emmènent régulièrement Prunille, leur petite fille de quatre ans, au centre d'animation des Trois Piliers. Lundi 18 juillet, lorsqu'ils sont allés la récupérer, ils ont, comme le rapporte L'Obs , trouvé, glissé dans son sac, un message très spécial appelant les fillettes à mettre un short sous leur jupe.

 

 «Nous vous demandons de mettre soit des shorts, pantalons ou de mettre un short sous la jupe de votre fille car dans le groupe des plus de 6 ans notamment cela permettra à votre enfant déjà d’avoir une meilleure mobilité pour les activités et sachez que nous avons des enfants de 10 à 12 ans qui peuvent avoir un comportement déplacé avec une petite fille dont la jupe se soulèverait. Nous voulons juste éviter des situations complexes à gérer.»

 

 

La réaction d'Alice, furieuse, sur Facebook n'en finit pas non plus d'être retweetée. «Ma fille ne doit pas avoir à choisir entre une coquetterie - toute relative- et normale et la tranquillité de faire du toboggan sans avoir à subir les «comportements déplacés» de mômes à qui on apprend pas le respect de l'autre. Elle a quatre ans putain.»

  

  

Jointe par L'Obs, la maman explique : «En voyant ce mot, j’étais très en colère. La responsabilité était déplacée du côté des petites filles qui portent des jupes. Je comprends que le rôle de l’animateur n’est pas d’éduquer les enfants mais il peut dire 'non' à un garçon s’il embête une fille parce qu’elle a une jupe. Lui expliquer qu’il ne faut pas soulever la jupe d’une fillette ou l’embêter à cause de cela.»

 

Les parents ont fini par contacter le centre de loisirs pour expliquer qu'en aucun cas la tenue de leur fille ne pouvait être liée au fait que d'autres enfants puissent avoir des «comportements déplacés». Sans incriminer les éducateurs.

 

Jointe par «l’Obs», la directrice générale des maisons de quartier de Reims, Noëlle Harmand s’étonne de l’ampleur qu’a pris l'affaire.

«Nos centres de loisirs accueillent des filles et des garçons, certains entre 11 et 12 ans. Les animateurs ont repéré que les enfants pouvaient avoir des réflexions envers les fillettes. Un travail éducatif a d'abord été fait avec les enfants pour rappeler les notions de respect mutuel. La directrice du centre a ensuite pris l'initiative de ce mot.»

 

La directrice générale de se défendre : «Je comprends que le mot ait pu être mal interprété. Il n'y a eu aucun geste déplacé entre les enfants, nous avons voulu anticiper. Le but n'était pas du tout de demander aux fillettes de se cacher, il s'agissait avant tout d'éviter tout malaise et d'assurer le confort lors des activités extérieures. Il est hors de questions qu'on remette des pantalons à toutes les filles, nous sommes sensibles à la question d'égalité.»  

LA PARISIENNE

NdB: On a tout compris... A quand la burka taille 4 ans ?

 

Commentaires

  • Ca commence ! Et ce n’est qu’un début ! Il faut dire que Mohamed a « épousé » une petite fille de six ans ; alors il faut penser à tout !

  • " il est hors de questions qu ' on remette des pantalons à toutes les filles, nous sommes sensibles à la question d' égalité ".
    Déjà cette directrice s ' exprime comme une quasi illettrée ( à moins qu'il ne s ' agisse de la transcription de la journaliste).
    Mais sur le fond: pourquoi parle - t- elle de " remettre des pantalons à toutes les filles ? C' était autrefois le cas ?
    Le pire est cependant la justification du fait qu'il est " hors de questions qu ' on remette des pantalons à toutes les filles ": ce serait une question d ' égalité. Donc si cette directrice n ' était pas sensible " à la question d ' égalité " ma foi, cela pourrait se discuter.
    La réalité est celle là: " nous avons affaire à de petits monstres, caïds musulmans, qui n ' hésitent pas à procéder à des attouchements sur les petites filles. Et comme nous avons la trouille de notre hiérarchie et des géniteurs des petits monstres, et comme nous sommes d ' indécrottables gauchistes, nous n ' osons pas solliciter leur renvoi.

  • La directrice a la trouille des parents de ces garçons musulmans, mais elle n'ose pas le dire, bien sûr.

    Les petites filles portent une culotte sous leur jupe!
    Un short sous une jupe, c'est ridicule, ! Et un pantalon avec la chaleur...

    On en a ASSEZ.

  • La dhimmitude se généralise par petites touches, jour après jour, dans tous les compartiments de la vie sociale. Dans 10 ans, nous ne reconnaîtrons plus notre pays !
    Dans le cas présent, heureusement que des parents lucides ont réagi. Les autres sont des collabos inconscients de la dérive islamiste à laquelle ils se prêtent stupidement ! Ils sont comme une majorité des Français finalement !

  • les collabos sont bien conscients de la dhimmitude à venir , mais au non de leur idéologie , ils et elles approuvent fortement , et nombre de citoyens n,osent rien dire de peur d,être traiter de racistes , islamophobes , etc . .Bienvenue dans le monde de la charia pour tous et toutes . .!!
    salutations.

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