Manuel Valls a récusé mercredi à l’Assemblée la proposition de la députée Nathalie Kosciusko-Morizet (LR) de mettre « hors la loi » le salafisme en tant que « dérive sectaire« , estimant qu’il appartient aux musulmans français de mener le combat « partout, dans les mosquées, dans les quartiers, dans les familles« .
« Oui le salafisme qui a détruit et perverti une partie du monde musulman est un danger pour les musulmans eux-mêmes, et donc un danger aussi pour la France. Pour le combattre vous avez évoqué la question des sectes (…) Je ne suis pas sûr que ce soit le bon outil: d’une part (…) il n’y a pas de définition des sectes en droit. D’autre part, ces organisations savent parfaitement échapper à la justice en dissimulant leur véritable nature, car vous n’ignorez pas que la liberté de conscience en France est une liberté fondamentale, consacrée par tous nos principes et nos textes « , a déclaré le Premier ministre, lors de la séance des questions au gouvernement.
Pour le Premier ministre, « l’islam de France a aussi tout son rôle à jouer » dans la lutte contre le salafisme.
« Les musulmans français ont leur part et nous devons les aider, les encourager, dans la défense de la République. A eux aussi, bien sûr avec notre soutien, de mener le combat pour clairement séparer ce qui est la réalité de l’islam de France et ces idéologies perverses. Ce combat doit être mené partout dans les mosquées, dans les quartiers, dans les familles, sans aucune complaisance, de la manière la plus claire et la plus nette »
Quelle imbécillité!
Commentaires
le sieur Manu devrait savoir que l,islam est l,islam et que le coran n,est pas le Larousse ,où l,où rajoute des définitions.
salutations.
Une telle imbécillité laisse pantois ! Quelle crasse inculture de l'islam ! Il n'y a même pas à tenter de contre argumenter !
Autant payer les pyromanes pour qu'ils participent à la lutte contre le feu ;o)