Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • Marion Maréchal-Le Pen: "Tous les migrants ne fuient pas la guerre"


    Marion Maréchal – Le Pen : "Tous les migrants... par franceinfo

    Belle, fraîche, intelligente face à la meute médiatique de l'anti-France! Merci Marion!

  • Guide du fait religieux en entreprise : le gouvernement a-t-il peur de la laïcité ?

     

    Communiqués / 13 septembre 2016 / Étiquettes : /
     

    Communiqué de presse de Florian Philippot, Vice-Président du Front National

    Faiblesse et compromission sont les maîtres-mots du gouvernement en matière de laïcité.

    Alors que nous ne cessons depuis des années de tirer la sonnette d’alarme sur les revendications religieuses qui se multiplient dans les entreprises, le gouvernement refuse de venir en aide aux responsables RH et aux responsables de direction confrontés à ce phénomène de plus en plus oppressant.

    Comme si le gouvernement avait peur de nos valeurs et de la laïcité, celui-ci n’a trouvé pour seule réponse à ce problème devenu majeur que la parution prochaine d’un « guide » du fait-religieux dans l’entreprise.

    Un « guide », pour faire face aux revendications de fanatiques et de provocateurs ; un « guide », pour pallier l’inaction du gouvernement. À l’évidence, cette réponse n’est pas à la hauteur.

    Ce n’est pas d’un guide dont les entreprises ont besoin mais du secours de la loi. Il faut instaurer dans les entreprises privées les mêmes règles de neutralité religieuse et de laïcité qui prévalent dans les administrations.

    La religion n’a pas sa place dans l’entreprise. Les menus spéciaux, les jours de congés spécifiques, les revendications pour obtenir des salles de prières, etc, ne sont pas de la responsabilité du chef d’entreprise qui n’a ni à se soucier ni à se mêler de la religion de ses salariés.

    Seule une laïcité réaffirmée, en l’occurrence par la loi, pourra permettre d’apaiser les tensions d’origine religieuse dans les entreprises comme dans l’ensemble de la société.

  • "Opération Dernière chance" : le Centre Simon-Wiesenthal traque des nonagénaires "anciens nazis"

     

    Ajourné à deux reprises en raison de la santé chancelante de l’accusé, le procès d’Hubert Zafke, un ancien infirmier d’Auschwitz de 95 ans, doit reprendre lundi en Allemagne.

     

    Le procès a déjà été ajourné à deux reprises depuis février. La comparution d’Hubert Zafke, un ancien infirmier d’Auschwitz, doit reprendre ce lundi au tribunal de Neubrandenbourg, en Allemagne. La reprise de l’audience reste toutefois suspendue à l’avis préalable d’un médecin urgentiste. Car l’accusé, aujourd’hui âgé de 95 ans, souffre d’une santé chancelante. Cette dernière est l’objet d’une querelle d’expert qui retarde depuis un an la tenue d’un procès. « Hypertension », « pensées suicidaires », « réaction de stress » : le dernier diagnostic qui date du mois de mars avait entraîné le renvoi de l’audience jusqu’au mois de septembre. « Mon client est mourant et se trouvera bientôt devant le juge suprême », s’était offusqué son avocat, Peter-Michael Diestel, interrogé par l’AFP à l’ouverture du procès.

    Pendant de longues années, Hubert Zafke est parvenu à échapper à la justice. Il vivait depuis 1951 à proximité de Neubrandenbourg, où il a eu quatre fils. Il a travaillé jusqu’à sa retraite dans les moulins locaux, chargé de la lutte contre les animaux nuisibles. Derrière cette vie d’apparence banale se cache un passé inavouable. Hubert Zafke est en effet suspecté de complicité dans l’extermination d’au moins 3681 hommes, femmes et enfants juifs gazés dès leur arrivée dans le camp entre le 15 août et le 14 septembre 1944. L’acte d’accusation couvre l’arrivée de 14 convois de déportés en provenance de Lyon, Rhodes, Trieste, Mauthausen, Vienne et Westerbork. À bord de ce dernier train figuraient notamment la jeune Anne Frank et sa famille.

    Le nom d’Hubert Zafke apparaît ainsi dans une liste d’une dizaine d’anciens criminels nazis encore libres, identifiés en 2016 par le Centre Simon-Wiesenthal. Cette organisation qui s’est spécialisée dans la traque des derniers criminels nazis s’est lancée depuis 2002 dans une « Opération Dernière chance » en vue de les faire condamner par la justice. Si les procédures se sont multipliées en Allemagne ces dernières années, aucun d’entre eux n’a pour le moment terminé derrière les barreaux. Certains échappent toujours à leur condamnation dans un pays étranger, tandis que d’autres n’ont même jamais été jugés.

     

    Voici, outre le cas d’Hubert Zafke, « les dix criminels nazis les plus recherchés » par le Centre Simon-Wiesenthal :

    Helma MASS – Elle est la seule femme présente dans la liste établie par le centre Simon Wiesenthal. Helma Mass vit à présent dans une maison de retraite à Neumünster, à environ 100 kilomètres au nord de Hambourg, où le quotidien Die Welt a retrouvé sa trace.

    Selon l’acte d’accusation, consulté par le quotidien allemand, durant la guerre, la jeune femme aspirait par-dessus tout à devenir SS. D’avril et juin 1944, ses désirs sont exaucés. Après un passage à la SS-Nachrichtenschule (école des transmissions pour sous-officiers SS), cette Allemande sert brièvement comme opératrice radio à Auschwitz. La période correspond à l’« Opération Hongrie » : l’extermination massive des Juifs hongrois, à un rythme que jamais les chambres à gaz d’Auschwitz-Birkenau n’avaient atteint auparavant. Sa fonction, aussi anodine qu’elle peut paraître, comprenait par exemple la commande par radio du Zyklon B, un gaz mortel.

    À présent âgée de 92 ans, Helma Mass doit être jugée cette année par un tribunal de Kiel sous le chef de « complicité de meurtres aggravés ». Aucune date n’a été fixée à son procès. Là encore, la tenue de l’audience est suspendue à un avis médical.

    Lire la suite de l’article sur lefigaro.fr

  • Rhône : un lycéen poignarde très grièvement une camarade

     

    >France>Rhône>Lyon|12 septembre 2016, 20h43 | MAJ : 12 septembre 2016, 22h28|5
       
     
    LyonVillefrancheRhôneLycée Louis Armand
     

    Un lycéen de 15 ans, élève de première dans un établissement de Gleize, près de Villefranche-sur-Saône (Rhône), a poignardé lundi une de ses camarades. Le pronostic vital de la malheureuse, qui a été héliporté vers un hôpital de Lyon est «fortement engagé». 

     

    Les faits se sont déroulés à 16H45à la sortie des cours «dans l'enceinte» du lycée Louis Armand. «30 mètres avant un portail» surveillé par un assistant d'éducation, a expliqué à l'AFP le procureur de Villefranche-sur-Saône, Grégoire Dulin.

     

    La victime, également élève de première et mineure tout comme son agresseur, a reçu plusieurs coups de couteau. L'agresseur a été interpellé. Le procureur à Villefranche-sur-Saône a ouvert une enquête qui devra notamment déterminer le motif de l'agression. Le motif est inconnu pour l'heure. De sources concordantes, on indique que tout motif terroriste est a priori écarté. 

     

    Le motif terroriste a priori écarté

    «Pour l'heure nous n'avons aucune idée du motif mais, selon les premiers éléments de l'enquête, il n'y a rien qui m'amène à penser qu'il y a un mobile terroriste», a  expliqué le procureur. Le jeune devrait rester en garde à vue 48 heures avant d'être présenté par le parquet de Lyon au pôle criminel de Lyon.

     

     

     

    Une cellule psychologique a été ouverte dans cet établissement général et technologique qui accueille 1.500 élèves, selon son site internet. Dans la soirée la ministre d' Education nationale Najat Vallaud-Belkacem a fait part de son «effroi» et adressé «son soutien dans ce terrible moment à la famille de la victime, ses proches, ses amis» ainsi qu'à «l’équipe du lycée Louis Armand».

     

    Déjà dans le Rhône en juin, un écolier de 10 ans avait blessé gravement un camarade de 12 ans devant une école de Vaux-en-Velin.

     

    En 2013, un lycéen de 17 ans avait poignardé mortellement un autre de 15 ans au cours d'un atelier de plomberie dans un lycée professionnel de Gironde. Il avait été condamné deux ans plus tard à sept ans de prison et sept ans de suivi socio-judicaire, sans avoir donné d'explication cohérente à son geste.

      leparisien.fr