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France - La pratique religieuse s’invite plus fréquemment au travail

 65 % des salariés interrogés ont observé, à plusieurs reprises, "des faits religieux" sur leur lieu de travail.

 

Parmi les faits perturbateurs, on trouve du prosélytisme, les prières pendant le temps de travail, le refus de travailler avec une femme...

Publié dans le Monde  le 21 septembre 2016
 
Le fait religieux est de plus en plus présent dans la vie des entreprises, mais celles-ci commencent à mieux savoir y faire face. Pour leur quatrième étude annuelle sur ce sujet, l’Institut Randstad et l’Observatoire du fait religieux en entreprise ont enregistré ce double mouvement en interrogeant en ligne 1 405 cadres et manageurs entre avril et juin 2016, sur leur expérience personnelle.
 
Pour la première fois, une nette majorité (65 %) de ces salariés interrogés disent avoir observé à plusieurs reprises « des faits religieux » sur leur lieu de travail. C’est 15 points de plus qu’en 2015. Les faits observés peuvent être regroupés en deux grandes catégories, selon les auteurs de l’étude.
 
La première, qui est aussi la plus nombreuse, correspond à « des demandes ou des pratiques personnelles ». Ils sont « par eux-mêmes, peu perturbateurs », note l’étude, même si « combinés à d’autres faits, d’autres situations ou d’autres comportements, ils peuvent être problématiques ». Parmi eux, le port visible de signes religieux, comme le voile, est devenu le plus fréquent (21 %). Il a dépassé cette année les demandes d’absence pour une fête religieuse (18 %), qui sont suivies par les demandes d’aménagement des horaires (14 %) et les prières pendant les pauses (8 %).
 
La seconde catégorie regroupe des « faits qui perturbent et/ou remettent en cause l’organisation du travail et/ou transgressent des règles légales ». Ils sont « stables ou en baisse de quelques points par rapport à 2015 », note l’étude, mais ils représentent quand même plus d’un tiers des faits constatés. Il peut s’agir de la stigmatisation d’une personne pour motif religieux (7 %), de prosélytisme (6 %), de refus de réaliser certaines tâches (6 %), de travailler sous les ordres d’une femme (5 %), de prières pendant le temps de travail (5 %), du refus de travailler avec une femme (4 %) ou avec un collègue (3 %)... Lire l'intégralité.

 

 

Commentaires

  • Lorsque l'article parle de "pratiques religieuses", il fait un amalgame avec toutes les religions ! Chacun sait pertinemment qu'il s'agit à 100% de pratiques musulmanes ! La lâcheté est générale pour désigner clairement la "religion" musulmane ! Ce déni de réalité porte un nom : dhimmitude.
    C'est de très mauvais augure !

  • Pour avoir une idée de ce qui se passe dans les entreprises, lisons le remarquable ouvrage de Ghislaine Dumesnil: Mahomet au volant, la charia au tournant!

  • Les mahométans amènent avec eux aujourd'hui, ce qu'ils ont toujours trainé derrière eux : bêtise, prétentions, arrogance, ruines , etc...à n'en plus finir.
    Seule une poigne de fer pourra éradiquer ce genre de peste mortelle.

  • turigol :la poigne de fer n,est pas pour demain, d,autre part si j,étais musulman je serais dans le même schéma que ceux et celles qui s,imposent , pour la bonne raison , se trouvent devant eux et elles des postures de futurs dhimmis , sans compter l,appui des politiques trés compatissants , donc aucune raison de se gêner ,les citoyens des autres confessions n,ont qu,a avoir les mêmes revendications dans ces entreprises concernées , comme cela la fête battera son plein . . .!!
    salutations.

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