Malgré tous les efforts des médias militants, les images des clandestins de Calais embarquant dans les bus ne mentent pas. Où sont les familles syriennes, où sont les femmes enceintes, où sont les réfugiés politiques ?
On ne voit en très grande majorité que des Africains, jeunes ou dans la force de l’âge. Des migrants économiques. Alors qu’ils devraient être expulsés, ceux qui ne relèvent pas du droit d’asile et ceux qui en ont été déboutés arrivent par bus entiers dans les villages français. Plus de 12 000 immigrés en situation illégale envoyés aux quatre coins du pays. 6 000 depuis le début octobre et 6 500 d’un coup cette fois-ci. Ou comment transformer 12 000 clandestins en 12 000 immigrés de plus, près de chez vous. La jungle de Calais est de toute façon condamnée à repousser de plus belle. Rien n’est résolu : plus de 2 000 clandestins par jour arrivent en ce moment sur les côtes italiennes.
Il y a une semaine, une interprète accompagnant des journalistes de France 5 a été violée sous la menace d’un couteau par trois clandestins à Calais. Comme le demande le Front national de Saône et Loire qui appelle à manifester samedi 29 octobre à 15 heures devant la mairie de Digoin contre l’arrivée des clandestins : « Ceux qui arrivent dans nos villes sont-ils du même tonneau ? » De ceux qui pillent, cassent et agressent et violent comme à Cologne ? Ou de ceux qui infiltrent pour le compte de Daesh ?
Manuel Valls le sait bien puisqu’il a clairement menacé, samedi, à Tours. Il a besoin de menacer : « Ceux qui se mettront en travers de l’accueil des réfugiés trouveront l’Etat devant eux. » Plus furibard et plus motivé que lorsqu’il s’agit d’aller déloger les assassins de flics dans les zones de non-droit. Le premier ministre vise-t-il directement ceux qui, comme Robert Ménard, refusent de livrer leurs administrés à la loi de la jungle de Calais, au danger terroriste mais aussi aux risques des affrontements entre migrants et Français ? Et tous ceux qui refusent le suicide collectif de cette invasion initiée, organisée, encouragée par ceux-là même qui la subissent ? C’est Manuel Valls qui risque de trouver le peuple français devant lui.
Caroline Parmentier
Article paru dans Présent daté du 26 octobre 2016
Commentaires
Cet individu ne peut pas être considéré comme premier ( ni même dernier) ministre.
Son vrai nom c'est "El SINISTRO " de la France.
A dégager d'urgence à la façon superbe de la mule du Pape.
de toute manière le sieur Valls ne fait que mettre en place la feuille de route dictée par le NOM .
lors d,un récent séjour au Maroc , une amie Marocaine qui n,a jamais mis les pieds en France, me disait en regardant une chaine de TV Française qui passait un reportage sur notre belle diversité:
"ce n,est pas la France que je vois , c,est l,Afrique" , j,ai eu du mal à lui faire comprendre les raisons de notre décadence . . .!!
salutations.