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Contre les histrions de la haine : des Européens solidaires

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Bernard Plouvier, auteur, essayiste ♦

Les hommes et les femmes des médias, du journaliste qualifié à l’amuseur public, sont devenus presque tous des agents de propagande, passant alternativement de l’état d’enthousiaste partisan à celui de zélote de la vindicte et de la pure haine.

Manifestement, les professionnels  de « l’information » se comportent en fanatiques, épouvantés par l’idée de se situer en état d’équilibre, ce qui revient à exposer honnêtement les points forts autant que les faiblesses de l’adversaire politique ou de la cible désignée par le propriétaire de la chaîne de médias où ils officient.

On ne se situe jamais au juste milieu entre la louange hyperbolique et la dénonciation haineuse. On ne procède plus par réflexions, même dubitatives, mais par affirmations péremptoires sur les individus et les programmes.
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On conçoit que, de nos jours, un Européen s’attaque très vigoureusement à l’islam conquérant et terroriste – l’islam djihadiste – et dénonce avec force l’immigration-invasion. Sur ces points, le fanatisme est de règle, car c’est l’avenir du continent  qui est en jeu. Seuls les sourds et les aveugles volontaires peuvent nier cette réalité… et ce « négationnisme » est fort bien porté, en dépit de son financement extra-européen, qui devrait logiquement faire évoquer l’accusation de haute-trahison.

Mais, dans le débat interne entre Européens, la haine est à l’évidence un ingrédient aussi stupide que dangereux. À la fin des années quarante, alors qu’il se débattait contre la tuberculose qui l’emporterait, ‘’George Orwell’’ (Eric Blair), dans son immortel 1984, limitait à deux minutes l’émission télévisée quotidienne de haine partisane.

Depuis les années 1990 – la fin de ces années Mitterrand  -, les émissions des chansonniers-imitateurs et les actualités télévisées déversent un message de haine de bien plus longue durée et distillé moult fois au cours de la même journée. Le public en redemande, qui peut zapper d’une chaîne débile vers une autre, plus grotesque encore.

Nous en sommes revenus au niveau de violence verbale  de l’Entre-deux-Guerres. Or de la propagande hyper-violente aux combats de rues, il n’y a pas beaucoup de chemin à faire.

Les sauvageons de l’immigration nous le démontrent quotidiennement, qui s’immiscent dans un débat politique où ils ne devraient pas avoir le droit de pénétrer. Les choix de société en Europe ne concernent que les Européens, du moins le devraient-ils. Autochtones, ceux-là, des dinosaures reproduisent les détestables habitudes que l’on avait cru disparues avec la fin, dans le ridicule et la misère, de l’abjection marxiste. De curieux ministres de l’Intérieur, en principe voués au maintien de l’ordre, financent et protègent des groupuscules trotskistes… et tout le monde se souvient du jeune étudiant trotskiste et bourgeois qui a perdu la vie dans un combat de rues, incompatible avec sa constitution physique. La responsabilité de la grossière provocation, qui a entraîné le malheureux décès, échoit aux politiciens commanditaires.

L’étude de la vie publique des années 1919 à 1990, en Europe, devrait nous servir de leçon : des insultes on passe très vite aux bagarres et aux morts. Or, en ce triste début de l’ère globalo-mondialiste, les Européens ont mieux à faire que de s’entretuer. Il est plus que temps de débuter une saine réflexion sur les comportements politiques et la façon d’envisager le débat d’idées. Répétons-le : que l’on s’oppose très vigoureusement à l’immigration-invasion et au péril mahométan, c’est une nécessité vitale pour l’avenir du continent. Mais entre Européens de souche, le débat d’idéaux et de projets de société doit rester de haut niveau intellectuel et moral.

Nous avons trop d’ennemis extérieurs, à la fois trop nombreux et trop puissants, pour nous payer le luxe dangereux de nous étriper mutuellement. L’époque des guerres de religion et des guérillas politiques où le sang coule devrait être considérée comme révolue. L’intérêt des générations futures d’Européens commande de ne pas renouveler les guerres fratricides, ni à l’intérieur d’un pays, ni entre États voisins, ces conflits stupides qui furent si nombreux et si meurtriers au siècle dernier.

METAMAG

Commentaires

  • La haine a de l'avenir, et elle n'est pas là où l'on pense et où les médias ressassent qu'elle est, mais chez les ennemis de notre peuple, les mélangistes, les multiculturalistes, les mondialistes, les collabos des envahisseurs…qu'ils soient "européens de souche" ou non.
    Les résistants, identitaires et patriotes, ne font que résister, comme ils le peuvent, avec leurs mots à eux, les médias leur étant fermés, et ils n'ont que faire d'un débat limité aux intellectuels de "haut niveau intellectuel et moral".
    Ce type de débat nous est refusé, le politiquement correct s'appuie sur une justice impitoyable et le lynchage des dissidents. Le dialogue avec des traîtres et des salauds n'est plus possible !

  • Le mari de la collabobo narcissique Cox, assassinée lors de la campagne du Brexit, se pavane sur la chaîne Cnn pour combattre la " Haine ". Il a rencontré Obama. Tout est bon pour sauver la pourrie Clinton.
    En introduction de sa prestation, un panorama de la " haine" en Europe et ailleurs: on voit défiler, après Trump, Nigel Farage, Geert Wilders et Duterte, président philippin. Je ne comprends pas ce que ce guignol raconte, mais il est très décontracté, rigole même. Il veut combattre la " haine " mais je doute qu'il ait jamais versé une larme sur ses nombreux compatriotes assassinés par ses chers immigrés, les enfants victimes de viols et d' esclavage sexuel par les mêmes.
    Personnellement j'ai la haine envers ce genre d ' individus. Je souhaite qu ' il subisse ce que tant de pauvres gens subissent de la faute de pourris comme lui.

  • Je ne suis pas sûr que l’on se dirige vers une guerre fratricide : la grande masse du peuple français est tout près d’accepter sa disparition et son remplacement par les immigrés, hélas ! Certes, nos gouvernements successifs ont petit à petit mis en place une dictature féroce pour obtenir ce résultat : les gens ont une peur bleue de se faire traiter de xénophobes, racistes, antisémites, islamophobes et homophobes s’ils tentent de réagir contre cela ! Et, résignés, ils sont en train d’accepter cet horrible destin !

  • abad : je pense aussi qu,une minorité de Patriotes entrerait en clandestinité pour lutter contre une éventuelle république islamique Française , nombre de nos concitoyens sont mûrs pour la dhimmitude , il faut dire , pour leur décharge ,que le travail de terrain a été longuement préparé , et que de devoir souffrir ou perdre sa vie n,est pas vraiment chose facile dans cette société du "bonheur républicain" consumériste .
    salutations.

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