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  • Procès contre Geert Wilders et la liberté d’expression aux Pays-Bas

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    Le verdict est attendu pour le 9 décembre. Geert Wilders, le leader du Parti pour la liberté (PVV), le parti national-libéral néerlandais allié du FN au Parlement européen, est poursuivi pour « incitation à la haine raciale » après avoir demandé à ses supporters en mars 2014 à La Haye, après des élections municipales, s’ils voulaient plus ou moins de Marocains dans leur ville et aux Pays-Bas. A la foule qui scandait « Moins ! Moins ! Moins ! », il avait répondu : « Nous allons nous en charger. »

    Il avait refusé de comparaître à ce procès qu’il considère politique, mais il est venu faire une déclaration devant les juges à la dernière audience, le 23 novembre dernier. « Je ne suis pas raciste », a-t-il affirmé, s’étonnant que les Marocains soient soudainement, pour les besoins du procès, considérés comme une race. « Des millions de personnes sont d’accord avec moi, des gens normaux qui veulent récupérer leur pays », a-t-il encore prévenu les juges et le procureur qui demande une amende de 5 000 euros.

    Et il n’a pas tort, car tous les sondages donnent son parti deuxième ou même premier aux prochaines élections législatives prévues pour le 15 mars 2017, et il n’est donc pas exclu que ses députés puissent être courtisés pour former une coalition.

    « La liberté d’expression est la seule liberté qui me reste », a aussi dit Geert Wilders aux juges, se référant aux douze dernières années passées avec sa famille sous protection policière constante, de peur qu’une organisation terroriste islamique ou un « loup solitaire » de confession musulmane n’attente à leur vie. Et cela n’empêche effectivement pas ce courageux patriote de s’exprimer ouvertement pour la défense de son pays. En août dernier, il publiait dix propositions pour les prochaines législatives, sous le titre « Les Pays-Bas doivent être à nouveau à nous ». Parmi ses propositions : interdire toute immigration musulmane, fermer toutes les mosquées et écoles coraniques et interdire le Coran.

    Avertissant que sa condamnation serait aussi la condamnation au silence de millions de ses compatriotes par un régime qui s’apparente de plus en plus à celui d’Erdogan en Turquie par sa volonté de museler l’expression dissidente, Geert Wilders a promis aux juges du Système qu’il ne se tairait pas :

    « Je dois utiliser la dernière liberté qui me reste pour protéger mon pays contre l’islam et contre le terrorisme, contre l’immigration en provenance de pays musulmans, contre l’énorme problème que posent les Marocains aux Pays-Bas. Je ne peux pas me taire, je dois parler. C’est mon devoir. »

    Parmi ses défenseurs, le professeur de droit Paul Cliteur de l’université de Leyde, connu pour n’être pas lui-même d’accord avec les idées de Geert Wilders, a prévenu les juges qu’une sanction, même modérée, pourrait avoir un effet destructeur sur la liberté d’expression aux Pays-Bas. Mais face à ce qu’elles appellent « la montée des populismes », les élites désespérées n’ont sans doute plus d’autre recours que de tenter de transformer la démocratie en tyrannie libérale-libertaire, en attendant la charia.

    Olivier Bault

    Article paru dans Présent daté du 30 novembre 2016

  • Journal TVLibertés DU 29/11/16

  • Ohio (USA): attaque dans un campus par un réfugié somalien armé d'un couteau: 8 blessés

    http://www.fdesouche.com/794465-attaque-dans-un-campus-de-lohio-un-refugie-somalien-arme-dun-couteau-fait-huit-blesses

    Déroulez...

  • Donald Trump nomme la milliardaire conservatrice Betsy DeVos ministre de l’Education

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    Mercredi 23 novembre, le président élu des Etats-Unis a annoncé la nomination de la femme d’affaires milliardaire et philanthrope Betsy DeVos, 58 ans, comme ministre de l’Education.

    « Sous sa direction nous allons réformer le système scolaire américain et supprimer la bureaucratie qui handicape nos enfants, afin que nous puissions offrir une éducation et un choix d’écoles de niveau mondial à toutes les familles », a déclaré Donald Trump.

    Betsy DeVos a dit être honorée d’avoir été choisie « pour redonner à l’éducation américaine sa grandeur », un jeu de mot sur le slogan de campagne du magnat de l’immobilier: « Make America Great Again ». « Le statu quo n’est pas acceptable dans l’éducation », a-t-elle ajouté.

    Donald « Trump a choisi la candidate la plus idéologue et hostile à l’école publique depuis la création du ministère de l’Education », a pour sa part fulminé sur Twitter Randi Weingarten, la présidente du syndicat American Federation of Teachers.

    Lily Eskelsen Garcia, qui dirige un autre grand syndicat d’enseignants, la National Education Association, a elle estimé dans un communiqué que l’approche de la future ministre ne « faisait rien pour aider nos étudiants les plus vulnérables tout en ignorant ou exacerbant les fossés flagrants qui existent dans les opportunités » offertes aux jeunes.

    Betsy DeVos est mariée à Dick DeVos, l’un des héritiers de Richard DeVos, la 88ème fortune américaine au classement Forbes de 2016 avec 5,4 milliards de dollars.

    Le magazine explique que la famille DeVos donnent chaque année des sommes importantes à des organisations chrétiennes et conservatrices comme Focus on the Family, The American Enterprise Institute ou encore Heritage Foundation.

    NDF

  • Robert Ménard fait la promotion de l’engagement et de la fidélité partout dans Béziers

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    « S’aimer, se donner, tout donner », un homme et une femme amoureux s’embrassant, c’est le slogan et le visuel choisis par Robert Ménard qui répond ainsi dans les rues de Béziers à la campagne gouvernementale faisant l’apologie de la promiscuité sexuelle et de l’homosexualité.

  • Communiqué de Catherine Candela, responsable du Front National pour la 4e circonscription de Vaucluse

    Communiqué de Catherine Candela, responsable du Front National pour la 4e circonscription de Vaucluse

     

    Orange, le 26 novembre 2016 novembre 2016

     

    Le Front national condamne l’incroyable déclaration du conseiller municipal LR d’Orange, Gilles Laroyenne, qui demande l’annulation d’un concert de musique sacrée organisé par la commune au motif qu’il s’agirait d’une instrumentalisation de la religion. Quelle mouche a donc piqué cet élu ? Sait-il seulement, le malheureux, que de nombreuses municipalités gérées par son parti organisent des concerts similaires ? Ainsi, et par exemple, la ville de Perpignan dont le maire est Jean-Pierre Pujol, filloniste distingué, annonce pour avril prochain un festival de musique sacrée en ces termes : « depuis 30 ans, durant la période de Pâques le Festival de musique sacrée de Perpignan convie le public à un voyage musical empli de spiritualité. »

    Dans un autre communiqué, paru samedi 26 novembre, ce même Gilles Laroyenne refuse le soutien que le maire d’Orange veut apporter au candidat François Fillon. On se rappelle, en effet, que Jacques Bompard avait donné en début de semaine un interview dans lequel il confessait ne pas être allé voter au premier tour de la primaire du centre et de la droite – alors que Jean-Frédéric Poisson, dont il est pourtant en théorie le plus proche, était candidat -, mais qu’il entendait soutenir François Fillon pour le second tour de cette primaire. Dispute entre braconniers électoraux ? Sans doute. Mais, là encore, en tout état de cause, quel lamentable spectacle offert aux citoyens. Et ensuite certains s’étonnent que l’abstention électorale progresse !

    En tout cas, cette  prise de position de M. Laroyenne devrait faire réfléchir tous ceux qui voient aujourd’hui dans le parti des Républicains, à travers son nouveau héraut, François Fillon, un défenseur des racines chrétiennes de notre pays…

    (Merci à anonyme)

  • USA : Ali Muhammad attaque une université à la voiture bélier et au couteau

     

    Ali Muhammad

    Compte tenu de la nationalité de l’assaillant, du mode opératoire (voiture bélier et arme blanche) et des vidéos diffusées il y a deux jours par l’État Islamique appelant les musulmans d’occident à mener des opérations terroristes , il est très probable que cet étudiant somalien soit un jihadiste.

    « Vers 9h52, un suspect mâle a pris un virage sur la 19e rue West, à l’ouest de la College avenue, et a heurté des passants. Il est sorti du véhicule et a utilisé un couteau de boucher en commençant à poignarder des passants », a précisé le chef de la police de l’université, Craig Stone, lors d’une conférence de presse.
    Un policier venu en renfort l’a visé et l’a tué, selon le président de l’établissement, Michael Drake. Un image du corps de l’agresseur présumé gisant au sol s’est répandue comme une trainée de poudre dans les médias sociaux.

    Selon les secours, au moins huit personnes ont été blessées, dont une grièvement, et transportées à l’hôpital.