Il revient d’abord sur les circonstances de l’incident. En patrouille dans ce quartier sensible d’Aulnay avec trois autres policiers, il repère « un individu déjà connu de nos services pour son implication pour le trafic de produits stupéfiants ». Après avoir été pris à parti, les gardiens de la paix décident de procéder à un contrôle. Ils encerclent le petit groupe. « Il devait y avoir une dizaine de personnes à contrôler », précise-t-il. Selon la version du policier, une bagarre se déclenche lors de la palpation d’un deuxième individu. La situation est d’abord confuse. La patrouille tente d’interpeller Théo et, dans le même temps, est encerclée par les autres personnes présentes. « Pris dans l’action, nous ne pouvions faire appel aux renforts », dit-il. Il décrit alors une interpellation qui dégénère en raison de la résistance de Théo.
« J’usais alors de ma matraque télescopique »
« Alors que je venais de lui saisir le bras, je recevais de sa part un coup de poing au niveau de la pommette gauche. Durant quelques instants, j’ai été sonné. J’ai compris à ce moment-là que l’individu serait prêt à tout pour se soustraire. Il se débattait, portait des coups de poing à tout va, gesticulait en tout sens, même des jambes. Le gardien de la paix D. parvenait toutefois, mais très difficilement, à le conduire au sol en le ceinturant. Tous deux basculaient au sol de manière très brutale ».
D’après le policier, Théo n’est pas encore maîtrisé, ni calmé. « J’usais alors de ma matraque télescopique, déclare-t-il, et lui portais des coups en visant l’arrière des cuisses. L’individu continuait de se débattre, il se retournait, gesticulait en usant de son gabarit musclé, et il parvenait à se relever », explique-t-il. « Là je le voyais piétiner le collègue D. qui était encore au sol dos contre terre et subitement un jet de gaz lacrymogène s’échappait de la bombe du gardien D ». Et d’ajouter: « Je suppose alors que ce jet a été causé accidentellement dans l’agitation de l’individu. » Toujours selon ce témoignage, malgré le renfort d’un nouveau policier, aucune amélioration: « il continuait de piétiner le gardien de la paix D qui se trouvait toujours dos contre sol ».
« Il continuait de se débattre »
Une deuxième fois, le policier fait usage de son arme de défense. Mais à aucun moment, dans ses propos, il n’évoque des coups sur les fesses. « Je décidais de porter à l’individu des coups de matraque télescopique en visant ses membres inférieurs dans l’espoir de lui faire perdre l’équilibre et de l’amener au sol. Mon effort portait ses fruits et l’individu basculait à terre. Au sol, il continuait de se débattre continuant de porter des coups de pied. J’ai à nouveau riposté par un coup de télescopique au niveau d’une de ses jambes. A l’issue de cet épisode, Théo est finalement menotté.
Le policier dit ne remarquer à ce moment aucune blessure sur le jeune homme. « Je procédais à une palpation de sécurité sur sa personne et lui remontais son bas de survêtement lequel était descendu jusqu’à ses genoux durant sa rébellion ». Puis, « je le plaçais en position assise. Là, il se plaignait d’être installé de façon inconfortable et avoir mal. Il ne disait pas où ». Fait troublant: une fois au commissariat, Théo déclare sur procès-verbal: « je ne désire pas faire l’objet d’un examen médical ». Le policier qui l’entend indique pourtant qu’il « n’est pas physiquement en mesure de signer » le PV, alors même qu’il saigne du nez.
« Je n’ai aucune idée de la façon dont cette plaie a été faite »
Le témoignage du gardien de la paix qui va être mis en examen pour « viol » résonne différemment. « L’individu se plaignait de douleur au visage ainsi qu’aux fesses. Je regardais rapidement s’il avait quelque chose au niveau des fesses en tirant son bas de survêtement. Je constatais alors qu’il présentait une plaie saignante. Je n’ai aucune idée de la façon dont cette plaie a été faite. D’autre part, je ne m’en suis aperçu qu’une fois arrivé au poste, lorsque l’individu s’est plaint. Nous faisions donc appel aux sapeurs pompiers lesquels intervenaient et le prenaient en charge ».
(…) L’Express
Commentaires
La parole d'un policier blanc contre celle d'une racaille protégée de Hollande et des bobos. La cause est entendue !
Systématiquement on donne raison aux...bougres .alias racailles au détriment des policiers essayant de protéger la France tenue en laisse outrageante par des étrangers ( pléonasme) nauséabonds.
Qu'ils ne se figurent pas être maitres de la situtation anti-française, Le peuple en a assez de cette vermine répugnante et malhonnête,le jour de la
réaction violente des Français, ces individus feront comme ils ont fait dans tous les Pays qui ont eu la malchance d'être dominés hypocritement par eux, ils ont toujours gardé prêtes leurs valises pour foutre le camp ailleurs, c'est une maladie cosmopolite en prévision de fuite. Ils savent que tout ne tient qu'à un fil
Coupons le sans pitié, qu'ils foutent le camp et que l'air pur d'autrefois revienne
Cher turigol, je suis obligé de vous signaler qu'il y a ce soir 81 (quare-vingt un) doublons de votre commentaire! C'est affolant ! 5 pages!
Surveillez qui a accès chez vous à votre ordinateur. Merci!
Amicalement
Le plus étonnant,c'est que la police continue à protéger ce régime qui la vomit!
le "gentil Théo" a donc été massacré par des flics racistes , nazis , et fascistes , diront une nouvelle fois en choeur tous les bien pensants , les dires du policier sans importance , le fait que le sieur Hollande s,est rendu au chevet de cet individu ne peut que renforcer , ceux et celles qui pensent que les flics sont d,abominables salauds .
salutations.
Et a cote de cela, on passe sous silence les attaques sur des innnocents:
http://www.breizh-info.com/2017/02/15/61972/malestroit-agression-sauvage-dun-habitant-migrant-passee-silence
Désolé Gaelle
Je vais faire l'impossible pour trouver la cause, à bientôt peut-être, je l'espère.
Cher turigol, ces incidents bizarres avec vos commentaires se sont toujours produits un mercredi. C'est peut-être un indice?
Et l'autre abruti de Hollande qui se rend au chevet d'un dealer bravo. Mais tous ces cocos sont bien contents de trouver les policiers et gendarmes pour les protéger lors de leurs déplacements
pourquoi mon commentaire n'apparait-il pas,
@Gaelle
Merci beaucoup pour ce renseignement.