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Macron : « L’immigration est une chance ». Seuls 11% des Français partageaient cette opinion en août 2016 (rediff)

 

18h05

 

La France se replie sur elle-même. Une majorité de Français, 57 %, estiment qu’il y a « trop » d’immigrés dans leur pays, et seulement 11 % trouvent que l’immigration a un impact « positif » dans le pays, selon une étude de l’institut Ipsos* rendue publique ce lundi (Août 2016). 20 minutes

 


 

Emmanuel Macron a répondu à Geneviève Jacques, présidente de la Cimade, sur les questions de politique migratoire, dans Réforme, l’hebdomadaire protestant d’actualité.

Il faut regarder les faits. Contrairement à ce que certains disent, nous ne sommes pas aujourd’hui confrontés à une vague d’immigration. Un peu plus de 200 000 titres de séjour ont été octroyés l’année dernière, ce n’est pas un tsunami que nous ne saurions freiner.

Ces mouvements migratoires comptent aussi des étudiants, des demandeurs d’asile, dont le nombre a certes un peu augmenté mais dans des proportions qui n’ont rien de comparable à ce que l’on constate chez nos voisins. Le sujet de l’immigration ne devrait donc pas inquiéter la population française. Pourtant…

De surcroît, l’immigration se révèle une chance d’un point économique, culturel, social. Dans toutes les théories de la croissance, elle fait partie des déterminants positifs. Mais à condition de savoir la prendre en charge. Quand on sait les intégrer, les former, les femmes et les hommes renouvellent notre société, lui donnent une impulsion nouvelle, des élans d’inventivité, d’innovation. [...]

Réforme

Merci à Pythéas

Commentaires

  • les 11 pourcent sont les bobos , gauchos , verts et autres collabos.
    salutations.

  • Oui, on connait ces chances pour la France : c’est au mieux le vol et le viol, et au pire la tête coupée et le ventre éviscéré ! Macron, lui ne risque rien : nous lui payons très cher toute une équipe de gardes du corps, ce qui qu’il peut dormir sur ses deux oreilles. Et il compte sur la vote des immigrés pour être élu : c’est pourquoi il les fait naturaliser à tour de bras par son complice Hollande !

  • Macron est le porteur du plan Kalergi, soutenu par la Banque apatride, par les Minc, Kouchner, Attali, Cohn Bendit, Bergé, etc. Il est l'ennemi N°1 à combattre sans merci ! Ceux qui voteront pour lui seront complices de la disparition programmée du peuple de souche.

  • de la colonisation

    Vous savez, ceux qui suivent la musique en marchant au pas, ceux-là ne m’intéressent pas. Bien sûr, ils ont le droit de gueuler leurs convictions bien codifiées à la cantonade. Radios d’état, journaux d’état, partis d’état sont là pour formater correctement leurs petits soldats. Mais il est des voix étranges et solitaires qui, elles, se refusent à reprendre en chœur le refrain obligé.


    Ici, je pourrais désigner tel journaliste ou tel autre homme de radio qui vit mal un colonialisme qu’il n’a pas connu ,qui n'est pas de son age mais dont il fait pourtant chaque jour le procès. Il est en retard sur le siècle. Depuis longtemps les ligues anticolonialistes ont fait le ménage et imposé leurs vérités. Mais il reste des combattants de la dernière heure pour se donner de l’importance et de la vision. A se reconnaitre ceux qui font partie de cette dernière vague. Faut-il les saluer ? Eh bien, saluons-les !


    « Souvent femme varie », disait le bon roi Henri IV. Il en est de même pour la façon de considérer les faits de l’Histoire. Il fut un temps où le Français se sentait fier et glorieux de son histoire coloniale. Il révélait au monde des peuples et des civilisations oubliées, laissées de côté. Partout, grâce aux expositions coloniales, aux romans exotiques, aux récits de voyageurs, aux publications historiques, géographiques, scientifiques, ethnographiques, grâce aux tableaux des peintres, aux photos et jusqu’aux vignettes de la poste. Tout cela avait pour effet d’éveiller des vocations coloniales. Le monde s’ouvrait devant nos yeux, s’élargissait sous nos pas. Il n’était plus limité au seul espace européen. C’était tout un univers demeuré jusque-là inconnu qu’on découvrait. C’était la rencontre avec des peuples dans la richesse de leurs différences, la diversité de leurs aptitudes, qui devenait alors possible.


    Puis le vent de l’histoire a tourné. L’aventure coloniale a été unanimement présentée comme une abomination. C’était le règne de la repentance qui s’ouvrait. On a retourné les esprits vers la culpabilité. C’était à qui battrait sa coulpe le plus fort. Un vrai concours, avec ses vedettes, ses hautbois, ses fanfares sonores. Toute une littérature. Des auteurs issus de la négritude, Frantz Fanon et Aimé Césaire, sont devenus des mages adulés. Ils se faisaient les portevoix des peuples d’Afrique, des Antilles, de Madagascar régentés, écrasés, par la loi impitoyable du blanc. Ils ont connu les ors de la République et les honneurs du monde bienpensant. Pourtant aucun d’eux n’avait jamais mis un sou dans la construction d’une école ou d’un dispensaire. Aucun d’eux n’avait soigné un lépreux, une diarrhée amibienne, un paludéen, un éléphantiasis, une variole, une maladie du sommeil ou un aveugle. Aucun d’eux n’avait asséché un marais pestilentiel et éradiqué le moustique pernicieux. Aucun d’eux, sous un soleil brulant ou dans une forêt épaisse, n’avait élargi un sentier ou tracé une piste. Ils ne sont pas morts terrassés par les fièvres dans un trou perdu…


    Loin de cet unanime concert de détestation, il est pourtant parfois des voix qui s’élèvent et font entendre un étrange langage, un langage scandaleux pour les grandes âmes d’aujourd’hui.


    On sait combien la colonisation belge fut dure dans ses débuts. Le moment de l’Indépendance fut célébré dans un indescriptible enthousiasme au grand stade de Léopoldville. Quand le drapeau national fut hissé au haut du mât, un journaliste interrogea l’ambassadeur de Belgique : « Comment voyez-vous l’avenir du Congo ? » Réponse : « C’est simple, le Congo redeviendra ce qu’il était avant la Colonisation ». Vous savez ce qu’est devenu le Congo : 4 millions de morts ou de disparus dans des guerres tribales ou dans les affrontements sans merci entre bandes militarisées qui se disputent les richesses de la région du Kivu ou du Katanga. Et un président Kabila qui ne veut pas remettre son mandat arrivé à expiration : plus de 30 morts la semaine dernière parmi les manifestants. C’est à cela que Madagascar, si la raison ne revient pas, va finir par ressembler.


    Peut-être connaissez-vous Koffi Yamganne ? Il est originaire du Togo. Il fut l’élu d’une province bretonne et occupa, je crois, un poste ministériel en France. Il décida un jour de se présenter au Togo comme candidat à la présidence. A l’occasion de sa campagne électorale, il fit le tour de son pays. Il faisait volontiers la conversation avec les vieux, les anciens des villages. A chaque fois, il était interpellé : « Koffi, qu’est-ce que l’Indépendance nous a apporté ? Il n’y a même plus de mercurochrome au dispensaire. Au temps des Français, on était soigné gratuitement et maintenant il faut payer. Il n’y a plus d’école. La piste n’est plus entretenue… » Koffi ne fut pas élu. Et le pays resta dans un état lamentable. Pourtant les compétences là-bas ne doivent pas manquer. Autrefois, on y faisait d’excellentes études. Le Togo était même regardé comme « le quartier latin » de L’Afrique. Cela ressemble aussi à Madagascar.


    Il n’y eut pas de combattant pour l’Algérie algérienne plus énergique et plus déterminé que le kabyle Hocine Ait Ahmed. Au moins de juin 2005, il fit à la revue « Ensemble » cette déclaration : « Chasser les Pieds-Noirs d’Algérie a été plus qu’un crime car notre chère patrie a perdu alors son identité sociale. Avec les Pieds-Noirs et leur dynamisme – je dis bien les Pieds-Noirs et non les Français – l’Algérie serait aujourd’hui une grande puissance africaine et méditerranéenne. Hélas, je reconnais que nous avons fait des erreurs politiques et stratégiques. Il y a eu envers les Pieds-Noirs des fautes inadmissibles, des crimes de guerre envers des civils innocents et dont l’Algérie devra répondre un jour au même titre que la Turquie avec les Arméniens. Du temps de la France, l’Algérie, c’était le Paradis. »


    Que voilà des propos qui sentent le souffre ! Des propos inadmissibles pour les sectateurs empressés du politiquement correct. Ce sont des propos qui sortent pourtant du terroir africain et qu’il ne serait pas inutile d’entendre et d’examiner sereinement

  • Tramoni : vos propos se heurteront toujours au politiquement correct , et une bonne partie du bon peuple est complètement enfumé par des décennies de culpabilisation, haine de soi, tolérance envers le lointain, etc . . .il va être difficile de remonter la pente vers la vérité . .!!
    salutations.

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