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G7 : Trump court-circuite le texte pro-migrants des mondialistes

 

"Nous réaffirmons les droits souverains des États à contrôler leurs frontières"

Pour son sommet du G7, Rome, concerné au premier chef par la question migratoire, avait envisagé un texte séparé sur le sujet. Donald Trump n’en veut pas.

 

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Le document reposait sur deux principes : responsabilité partagée des pays du G7 et partenariat entre les pays d’accueil et les pays d’origine et de transit. Trois domaines spécifiques devaient faire l’objet d’une attention particulière, à savoir les investissements à réaliser dans les pays d’origine et de transit, la protection des plus vulnérables (femmes et enfants) et la valorisation de l’aspect positif de la mobilité humaine et de l’intégration des migrants. Sur ce dernier point, il était question de leur assurer l’accès aux soins, à l’éducation et au marché du travail dans des conditions décentes.

Ces propositions avaient rencontré le soutien du Canada et du Royaume-Uni.

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Le projet de texte complet qui devait être présenté au G7 de Taormine a tenu jusqu’à la réunion des sherpas des 26 et 27 avril où le représentant américain, ayant reçu des instructions spécifiques de son président, est venu avec une version bien plus courte – deux paragraphes – devant être intégré au communiqué final. Exit le projet italien d’une déclaration annexe. Pire, Washington a clairement signifié à ses partenaires que c’était à prendre ou à laisser. Soit la question des migrations était traitée sous cette forme réduite, soit le communiqué du G7 n’y ferait aucune référence.

« C’est la première fois, dans toute l’histoire du G7, que nous sommes les témoins d’une telle attitude intransigeante d’un des pays membres », s’insurgeaient les ONG.

 

 

 

Ce qui les choque dans la version actuelle du texte c’est la mention explicite que le G7 « reconnaît aussi la nécessité de soutenir les réfugiés aussi près que possible de leur pays d’origine, afin de leur permettre de revenir et de reconstruire leurs communautés d’origine ». Chacun pensera immédiatement au mur que veut construire Donald Trump à la frontière du Mexique pour lutter contre l’immigration illégale. Plus loin, en effet, le texte envisagé indique en l’état : « nous réaffirmons les droits souverains des États à contrôler leurs propres frontières et fixer des limites claires sur les niveaux de migration nette, en tant qu’éléments clés de leur sécurité nationale et de leur bien-être économique ».

Lire l’intégralité de l’article sur lesechos.fr

Commentaires

  • L'interdiction de protéger ses frontières des invasions étrangères choque les ONG mondialistes, ce qui en dit long sur leur adhésion au plan Kalergi ! Bravo à Trump de ne pas leur avoir cédé ! Malheureusement, le collabo Macron n'en tiendra pas compte et ouvrira les vannes à la déferlante afro-maghrébine, comme il en a déjà manifesté l'intention auprès des Algériens.

  • pas sûr que les chefs d,état concernés suivent les bonnes paroles du président Trump.
    salutations.

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