- Publié le : samedi 3 juin 2017
- Mots-clés : Avortement; Irlande; Israël; Les Inconnus; Mariage homosexuel; Palestine; Politique; Royaume-Uni; Sionisme; Terrorisme
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- Source : E&R
C’est le titre du Monde de vendredi 2 juin 2017. On s’imagine que Pierre Bergé a dû fêter l’événement avec une joie non dissimulée. Varadkar symbolise tout ce pour quoi le veuf d’Yves Saint Laurent s’est battu dans sa vie, hormis l’héritage du grand couturier : le métissage, la jeunesse, le socialisme soft, et l’homosexualité.
Son parti de centre droit (Fine Gael) l’a élu candidat au poste à 60% des voix. L’avènement de cette créature du mondialisme en terre catholique n’aurait pas été imaginable il y a 50 ans, ni même possible il y a 20 ans, l’homosexualité étant encore criminalisée dans les années 90. Leo sera pourtant intronisé Premier ministre le 10 juin.
La trajectoire de ce fils d’un Indien et d’une Irlandaise devenu médecin puis très vite Premier ministre âgé de 38 ans rappelle l’ascension fulgurante d’un Emmanuel Macron. Les antilibéraux de tout poil apprécieront son trident idéologique : le mariage gay, la liberté d’avorter et l’austérité économique. Comme quoi le libéralisme économique se marie parfaitement avec le libéralisme de mœurs...
Curieusement, alors que le déterminisme libéral internationaliste (ou antinational) et sociétal joue dans ses choix politiques, Varadkar affirme qu’aucun de ces termes (homosexuel, métis, célibataire) ne le « définit ».
Commentaires
le progressisme dans toute sa splendeur , en terre catholique??
je pense que celui-ci disparait petit à petit pour le plus grand plaisir des Mondialistes .
salutations.