http://www.breizh-info.com/2017/06/19/72187/immigration-plaidoyer-droit-de-preserver-mode-de-vie
(merci à Dirk)
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Commentaires
"laissez nous vivre" , mais non justement , le Plan prévoit la disparition des souchiens blancs de gré ou de force , d,ailleurs certains et certaines de souche trouvent cela normal et juste de laisser la place bien chaude aux nouveaux arrivants au nom de leur idéologie mortifère et masochiste .
salutations.
Excellent plaidoyer que tout Français (et européen) devrait lire ! Merci à breizh et à Gaëlle de nous le faire connaître.
J’ajouterai qu’il ne s’agit pas seulement de notre mode de vie, mais tout simplement de notre peuple, disons pour prendre en compte tous les pays européens : les Celtes, puisque nous en sommes tous des descendants. Oui, nous sommes en train de disparaître sous le poids de l’immigration : il suffit de se rendre dans un centre commercial de la banlieue parisienne et d’OUVRIR ses yeux pour voir ce que sera la FRANCE tout entière dans quelques années. Et le plus grand malheur est d’entendre des petits enfants bien Français, tête blonde et yeux bleus, parler une langue qu’on ne peut plus appeler « français » et avec un accent arabe; ils sont déjà sous la coupe d’immigrés plus grands qu’eux ; les enfants qui n’acceptent pas cette « tutelle » ne peuvent plus sortir !
Cela nous laisse deviner le terrible avenir de nos enfants : au mieux, ce qui les attend, c’est ce qu’ont vécu il y a moins de deux siècles, les européens enlevés par les pirates ottomans sur les côtes méditerranéennes : émasculés, certains devenaient eunuques, d’autres esclaves, les plus récalcitrants étaient égorgés. C’est l’avenir que nous leur réservons quand les immigrés seront devenus majoritaires. Et ne parlons pas des femmes ! C’est pour mettre un terme à cette piraterie et aux marchés aux esclaves que Charles Dix donna l’ordre de prendre Alger en 1830, ce qui fut fait en six jours : ce n’était pas difficile !