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Toulouse : depuis presque un an, des "migrants" dorment dans la cour de leur immeuble

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Luc Fournier envisage de fermer la cour avec un cadenas même s’il n’a « pas le droit »./DDM, N. Saint-Affre
 

Ils se disent « exaspérés ». Depuis des mois, voire un an, des résidents de plusieurs immeubles de l’avenue Étienne-Billières, à Toulouse, sont confrontés à la présence de migrants qui dorment dans la cour. « Au début, c’était une tente ou deux. Maintenant, c’est un vrai campement », explique Luc Fournier, président du conseil syndical des résidents.

Chaque matin, les vestiges de la nuit traînent sur le petit carré de pelouse. Poubelles, couvertures, tentes mais aussi, de très fortes odeurs fécales ou d’urine sont devenues récurrentes. « Le jeune homme qui habite en rez-de-chaussée va péter un plomb un jour », craint Luc Fournier. Identifié par la municipalité et la préfecture, le campement de l’avenue Étienne-Billières n’est pas simple à gérer.

D’une part, parce que ces personnes, en majorité des Roms d’Albanie, ne sont jamais les mêmes. Certaines sont relogées, d’autres arrivent. La proximité du Service d’information, d’accueil et d’orientation (SIAO) relevant du Centre communal d’action sociale (CCAS) pourrait en partie expliquer l’installation de ces migrants. « Ce n’est pas de la faute des employés du CCAS, ils subissent une pression constante et doivent s’occuper de tous les cas sociaux de la ville », glisse Nicole Folch, une habitante complaisante mais qui a « besoin d’une solution ». « Je n’ai aucune hostilité contre ces personnes, bien au contraire. Ils me saluent, me sourient… J’apporte de l’eau, des fruits ou des sandwichs aux femmes enceintes et aux enfants en bas âge quand il fait trop chaud mais ça ne peut pas durer ainsi. Pour eux, comme pour nous. »

Une servitude de passage

L’autre pan du problème concerne le « statut » de ladite cour. « Il y a une servitude de passage avec la rue Adolphe-Coll », signale Luc Fournier. Un portail a bien été installé par la municipalité mais il reste en permanence ouvert. Seul un panneau évoque la possibilité de le fermer la nuit. « Ce qui ne rimerait à rien puisqu’ils sont déjà là ! », estime Nicole Folch. « C’est une situation ubuesque ! Il suffirait pourtant qu’ils le ferment avec un code à communiquer aux résidents », poursuit la retraitée.

D’autant que selon eux, le passage tout proche de l’église de la Patte-d’Oie suffit amplement pour les piétons qui souhaitent faire la jonction entre la rue Adolphe-Coll et l’avenue Étienne-Billières. Qu’à cela ne tienne, Luc Fournier a acheté un cadenas. « La mairie me dit qu’elle n’est ni pour, ni contre », explique-t-il. Dernièrement, un courrier a par ailleurs été adressé à Jean-Luc Moudenc, le maire. Ce week-end, la police nationale est même intervenue.

« Il s’agit de demandeurs d’asile primo-arrivants qui doivent être pris en charge par l’État avec qui nous sommes en relation permanente », note Daniel Rougé, adjoint au maire à la coordination des politiques de solidarité et des affaires sociales. « La municipalité cherche à sécuriser les lieux, peut-être en fermant le portail, et réfléchit à des mesures de protection et d’évacuation. Il faut qu’on prenne ces personnes en charge de manière plus structurante dans les prochains jours », assure l’élu. La préfecture indique pour sa part « avoir proposé une solution d’hébergement en hôtel à 40 personnes ».

Commentaires

  • La France, s’enfonce chaque jour un peu plus vers le sous-développement. Elle est en train de devenir un pays arriéré : c’est normal cela correspond à la nouvelle population qui est en train de s’installer un peu partout, au détriment des indigènes, c’est-à-dire les FDS. Tout tombe en ruine, on n’a plus le sens de l’hygiène la plus élémentaire, l’extrême pauvreté ronge tout le pays, sauf évidemment les mondialistes au pouvoir, qui, eux, s’en mettent plein les poches !

  • Tout va bien ! La municipalité "réfléchit" !…et la préfecture se lave les mains avec une "proposition"! Personnellement, j'aurais déjà acheté un solide cadenas depuis longtemps, sans le crier sur les toits ! Décidément les "résistants", ce n'est plus ce que c'était !
    Luc, cessez d' "envisager" et de geindre ! Des actes !!! Vous n'en mourrez pas !

  • Ces Roms albanais ne peuvent prétendre au statut de réfugié politique , statut qui est déjà une belle escroquerie en soi.
    Les contribuables français vont devoir encore mettre la main à la poche pour loger à l' hôtel des dizaines d' individus malfaisants qui entrent en Europe pour nous piller.
    Sans révolte sérieuse des Français avachis et lâches, la France ne sera pas remise à l' endroit .

  • La femme le Floch dit "qu' elle n' a rien contre eux , bien au contraire " car entre autres " ils me sourient " .
    Mais quelle ignominieuse hypocrisie . Bien sûr qu' elle ne peut pas les supporter , mais comme elle doit être "de gauche ", haut statut moral à ses yeux de mouton et de lâche , elle entend les refourguer à d' autres . Elle dit , en substance , les plaindre . Or ces gens ne sont pas malheureux du tout . Ils vivent comme à leur habitude , depuis des siècles . C'est gravé dans leur adn.
    Et très probable que pendant que certains se vautrent dans les immondices dans la cour, d' autres se livrent à des activités peu reluisantes a l' extérieur.
    L' Etat français ne remplit pas ses devoirs basiques de faire respecter la propriété privée(, et pas que dans ce cas ) , d' assurer la tranquillité des citoyens et l' hygiène publique .
    C' est la France qu' aime Macron , car la France " c' est ca".

  • Ils n'ont que ce qu'ils méritent, ils ont veauté à 80% pour Ben Makhron ;o)

  • "qui doivent être pris en charge par l,état" , c,est à dire le con-tribuable , qui déjà doit accepter la situation avec un grand sourire , et ensuite passer à la caisse .
    l,habitante complaisante qui leur apporte nourriture et boisson fait preuve d,une naïveté niaise .
    le jour est proche où ces clandos dormiront chez l,habitant sur ordre du gvt
    salutations.

  • cela ne m étonnerait pas , en effet parvus , qu un jour nous aillons obligation de les loger....chez l habitant , un peu comme pour le " tourisme"....GAUTHIER MICHEL

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