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  • Le vice-chancelier d’Autriche : « Nous devons être reconnaissants envers la Hongrie d’avoir protégé les frontières extérieures de l’Union européenne »

     

    13h35

    Vienne – Le chancelier autrichien conservateur Sebastian Kurz a dit mardi vouloir « bâtir des ponts » pour apaiser les tensions entre Est et Ouest au sein de l’UE, affichant son entente avec le Premier ministre hongrois Viktor Orban en visite à Vienne.

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    « J’ai fait le constat ces dernières années de tensions croissantes au sein de l’UE, particulièrement en raison de la crise migratoire. Dans ce contexte, notre ambitieux projet en Autriche est de bâtir des ponts avec les pays de Visegrad », a déclaré M. Kurz au cours d’une conférence de presse aux côtés de son homologue.

    Les sujets de tensions se sont multipliés ces derniers mois entre la Commission européenne et les pays de l’alliance régionale du groupe de Visegrad (Hongrie, Slovaquie, Pologne, République tchèque). Des différends sur la politique migratoire européenne et les questions d’Etat de droit en Hongrie et en Pologne ont conduit à plusieurs passes d’armes avec Bruxelles.

     
      

    (…) Le Premier ministre hongrois avait un second rendez-vous en fin d’après-midi avec le vice-chancelier Heinz-Christian Strache, le chef du FPÖ, un parti qui a notamment fait campagne contre l’immigration musulmane.

    M. Strache a loué l’attitude de la Hongrie qui avait au pic de la crise migratoire de l’été 2015 érigé des clôtures et déployé les forces de l’ordre pour stopper le passage des demandeurs d’asile.

    « J’avais dit à l’époque que nous devions être reconnaissants envers la Hongrie d’avoir protégé les frontières extérieures de l’UE en restant sur le terrain du droit. Nous aurions dû coopérer plus étroitement et aider la Hongrie au lieu de la critiquer », a estimé M. Strache dans des déclarations faites aux côtés de M. Orban à l’issue de la rencontre.

    Romandie

  • Djihadistes condamnés à mort : vae victis ! – par François Teutsch

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    Laissons ces misérables là où ils sont, là où ils ont voulu aller. C’est la dure loi du vaincu.

    Le gouvernement a tenu des propos sensés à propos des islamistes « français » arrêtés en Syrie et en Irak, ce qui lui a valu une avalanche de critiques de la part de tout ce que la bien-pensance compte de consciences éclairées. C’est sans doute pour se racheter auprès de ceux-là que le ministre de la Justice, une dame Belloubet, a fait part à BFM TV d’une ferme résolution : si des djihadistes français devaient être condamnés à mort, l’État français interviendrait. Ou l’art de dire des énormités.

    Quoi qu’en pense cette dame, ces gens ne sont pas français. Leur nationalité théorique ne change rien à l’affaire. Qu’on les laisse donc réfléchir à la question. Mais encore, méritent-ils la moindre commisération de la part d’un pays qu’ils ont renié ? Ces combattants d’Allah ont beau exprimer – pour certains – des regrets de circonstance, ils n’en demeurent pas moins des ennemis qui ont décidé, un jour, de prendre les armes aux côtés d’un groupe terroriste et criminel international. Un peu comme on devenait pirate au XVIIIe siècle, et qu’on attaquait les navires de son pays d’origine. Lorsqu’on prend les armes contre son pays – rappelons que la France était engagée en Irak et que nos aviateurs s’en sont donné à cœur joie -, on ne peut pas réclamer l’assistance de ce même pays une fois vaincu. Vae victis !

    La guerre n’est pas un jeu vidéo. Dans ce conflit sont tombés des hommes de chair et de sang. Ils ont souffert dans leur corps et dans leur âme. Ils ont combattu l’hydre islamiste. Ils ont donné leur vie, et avec la leur, trop souvent, celle de leurs familles. Les ressortissants français qui les ont aidés n’ignoraient rien de ce qui se passait là-bas. Soit authentiques musulmans fanatiques, soit petites racailles en quête d’aventure au désert, ils assument leurs actes, un point c’est tout. Et, si l’on nous permet un propos que désavouerait un ministre, nous en débarrasser est une excellente chose.

    Alors, pourquoi cette déclaration ? La France étant la patrie des droits de l’homme (c’est bien connu), elle doit faire honneur à sa réputation de lutte sans relâche contre la peine de mort. Sortez les violons. Le ministre n’échappe pas à la règle. Mais son propos est tout bonnement absurde, et pourrait bien ridiculiser son auteur. Voici un pays, la Syrie, avec lequel nous avons rompu toute relation diplomatique. Pour rester fidèle à notre suzerain américain, nous avons renié les liens millénaires qui nous unissaient au Levant. Au sein de ce pays, dont le régime de Macron insulte quotidiennement le président légitime, la zone kurde a fait sécession de fait et n’applique pas la peine de mort. Qui ira donc, en Syrie, discuter et négocier du sort de quelques terroristes justement condamnés, et avec qui ?

    En Irak, sous influence américaine, la situation n’est guère plus simple. Notre influence y est nulle, et les Irakiens ont sans doute autre chose à faire que d’écouter un obscur chargé d’affaires français qui plaiderait la cause d’un ou deux criminels promis à la potence à cause de leurs actes. Ce raisonnement est celui d’une puissance coloniale qui croit encore pouvoir agir au Moyen-Orient comme elle le ferait envers un tyranneau africain dont elle soutient le trône vacillant. Il ne fonctionnera pas, parce que les gouvernants locaux ne savent même plus où est la France. Elle s’est lamentablement effacée derrière l’Oncle Sam, lui-même éclipsé par la puissance russe dans la région.

    Un peu de bon sens. Laissons ces misérables là où ils sont, là où ils ont voulu aller. C’est la dure loi du vaincu.

    François Teutsch

    Texte repris du site Boulevard Voltaire

     

     
     
     
     

     

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  • LE JOURNAL TVL 30/01/18