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  • VIDEO. "J'ai dû passer une nuit à l'extérieur, sans duvet, sans tente, sans rien" : l'alpiniste Elisabeth Revol raconte son sauvetage sur "la montagne tueuse"

     

     

    L'alpiniste de 37 ans est soignée à Sallanches (Haute-Savoie), à l'hôpital des Pays du Mont-Blanc, pôle d'excellence en pathologies de la montagne et du froid.

     

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    FRANCE 2
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    Elle s'exprime pour la première fois. Elisabeth Revol, l'alpiniste française secourue in extremis sur le Nangar Parbat, a regagné la France mardi 30 janvier. Soignée à Sallanches (Haute-Savoie), c'est depuis son lit d'hôpital qu'elle a raconté, mercredi 31 janvier, son épreuve aux caméras. "Je descendais calmement, quand il y avait trop de vent,                                                                     , j'attendais un petit peu. J'ai atteint le camp 2 dans la nuit, vers 3 heures du matin et j'ai vu deux frontales qui arrivaient. J'ai commencé à hurler. Je me suis dit, c'est bon quoi", explique-t-elle avant d'éclater en sanglots.

    Une nuit sans chaussure

    Avant cette délivrance, l'alpiniste de 37 ans a vécu un calvaire. "J'ai dû passer une nuit à l'extérieur [à 6 800 mètres], sans équipement, sans duvet, sans tente, sans rien, raconte-t-elle. J'ai eu des hallucinations pendant la nuit, j'imaginais que des personnes m'amenaient du thé chaud. Une dame m'a demandé : 'Est-ce que je peux prendre ta chaussure ?' A ce moment-là, machinalement, je me lève, j'enlève ma chaussure et je lui donne. Le matin, je me suis réveillée, j'avais simplement ma chaussette."

    La rescapée de "la montagne tueuse" (8 126 m) souffre de gelures aux mains et au pied gauche, qui doivent faire l'objet d'un protocole particulier pour tenter d'éviter l'amputation. Elle a dû laisser son compagnon de cordée, Tomek Mackiewicz, dans un état critique, au sommet de la montagne. Elisabeth Revol, une des rares femmes "himalayistes", tentait pour la seconde fois en hiver l'ascension extrêmement engagée du Nanga Parbat, dont le nom signifie "la montagne nue". Tomek Mackiewicz, 43 ans, y revenait lui pour sa septième tentative hivernale.

  • Après une semaine de vacances à la plage, ils reviennent les pieds infestés de vers

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    En vacances en République dominicaine, un couple de Canadiens a été attaqué par la "larva migrans", un parasite qui touche habituellement les chiens ou les chats.


    Les deux Canadiens ont été contaminés sur une plage de Punta Cana (République Dominicaine). 
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    Les vacances de l'horreur. Pour échapper aux rigueurs de l'hiver canadien, Eddie Zytner et Katie Stephens avaient choisi de passer quelques jours en République Dominicaine. Mais leur séjour sur les plages paradisiaques de l'île caribéenne a tourné au cauchemar à leur retour chez eux le 18 janvier : ils se sont aperçus que leurs pieds étaient infestés de vers, rapporte CNN (en anglais).

    Après avoir ressenti tout au long de leur séjour de simples démangeaisons, le couple a commencé à se tordre de douleurs de retour au Canada. A l'hôpital, le diagnostic tombe : ils ont été attaqués par la "larva migrans", un parasite qui frappe généralement les animaux. Il s'est probablement glissé sous leur peau lorsqu'ils marchaient pieds nus sur la plage.

    "Portez des chaussures"

    Sur Facebook, Katie Stephens a voulu transformer sa mésaventure en message de prévention. "A tout ceux qui voyagent dans des pays tropicaux, faites attention quand vous êtes dans le sable et portez des chaussures", a-t-elle postée sur le réseau social, photos à l'appui.

  • Trump fait à nouveau rêver les Américains quand Macron désespère les Français

    https://ripostelaique.com/trump-fait-a-nouveau-rever-les-americains-quand-macron-desespere-les-francais.html

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    Il sera sans doute l'un des plus grands présidents des Etats-Unis

  • 50 djihadistes prisonniers en Irak et en Syrie : pas de pitié, à mort !

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    Publié le 24 janvier 2018 - par  - 93 commentaires - 10 317 vues

     

    Je ne vais certainement pas m’apitoyer sur le sort des 50  djihadistes faits prisonniers en Irak et en Syrie et qui attendent leur procès.

    Ils risquent la peine de mort ? Et alors ? Où est le problème ?

    Ces barbares n’ont-ils pas applaudi lors de chaque attentat perpétré en France ?

    Pour ces monstres, nous ne sommes que des mécréants qu’il faut détruire et les tueries du Bataclan ou de Nice les ont réjouis.

    Certaines bonnes âmes , débordant de compassion pour ces prisonniers, ne doivent lire que des romans à l’eau de rose. Elles devraient s’informer…

    Car l’Etat Islamique, c’est ça :

    Décapitations au sabre.

    Viols de masse.

    Femmes enceintes éventrées.

    Bébés fracassés contre les murs.

    Enfants enterrés vivants ou crucifiés.

    Lapidations, amputations, flagellations.

    Exécutions sommaires filmées.

    Homosexuels jetés du haut des toits.

    Pilote jordanien mis en cage et brûlé vif devant les caméras.

    Marché aux esclaves et esclavage sexuel.

    Et bien pire encore… tout ce qui se fait de mieux en matière de sauvagerie.

    Alors, voir ces barbares se souvenir soudain que la France est la patrie des droits de l’homme, par peur d’être condamnés à mort par des Irakiens ou des Kurdes qu’ils ont combattus avec la plus bestiale férocité, ne peut que susciter de la colère et inciter à la plus grande fermeté, sans le moindre état d’âme.

    On ne combat pas la barbarie avec les droits de l’homme.

    Ces sauvages, coupables ou complices des pires atrocités, doivent payer au prix fort.

    En Irak ou au Kurdistan syrien, ils seront jugés pour leurs crimes de guerre.

    Mais en France, avec un bon avocat islamo-gauchiste, on sait très bien qu’ils seront d’abord jugés en tant que victimes de la société ou éventuellement en tant que malades mentaux.

    Ils ne seront jamais jugés pour haute trahison alors qu’ils ont pris les armes contre la France, leur propre pays.

    Aujourd’hui on voit ces monstres déclarer qu’ils regrettent leur engagement pour le djihad et qu’ils font acte de repentance. Quelle mascarade.

    Mais la parole d’un barbare aux mains rouges de sang, qui peut y croire ?

    On connaît l’art de la dissimulation qu’affectent les musulmans. Le djihad, on n’en sort jamais.

    Quant à ceux qui prétextent que ces tueurs seraient une source de renseignement précieuse pour démonter les filières terroristes, ils oublient que nos services de renseignements collaborent avec d’autres réseaux autrement plus sérieux, notamment auprès des services irakiens et kurdes.

    Irakiens et Kurdes n’ont pas besoin de nous pour cuisiner leurs prisonniers et nous transmettre les renseignements qui nous intéressent.

    300 djihadistes français sont morts en Irak et en Syrie, victimes des combats ou “ciblées” et éliminés par nos forces spéciales. Eliminations ordonnées au plus haut sommet de l’Etat et que j’approuve à 100%.

    700 sont encore sur zone, dont une cinquantaine en prison.

    Les crimes ayant été commis en Irak et en Syrie, il est parfaitement logique que ces barbares soient jugés sur place.

    La thèse du retour pour être jugés en France, n’est donc pas recevable, que ce soit au plan politique, diplomatique, judiciaire ou même moral.

    Ces djihadistes ne sont pas récupérables. Ce sont des bombes terroristes en puissance  et je partage l’avis de ceux qui s’opposent à leur retour.

    Y compris les femmes et les enfants, puisqu’il est dorénavant prouvé que ces derniers ont été entraînés au maniement des armes pour combattre. ​

    “Les djihadistes n’ont jamais eu d’états d’âme, je ne vois pas pourquoi nous en aurions pour eux”. Florence Parly, ministre des Armées.

    “Nous devons éviter qu’ils rentrent en France, hommes ou femmes, quelle que soit l’issue… C’est difficile à assumer mais il faut le faire”.  Manuel Valls.

    Et à la place du procureur Molins, qui s’interroge naïvement sur la sincérité des djihadistes repentis, je me demanderais si après les 250 victimes du terrorisme islamique, depuis janvier 2015, on a le droit de jouer avec la vie des Français en rapatriant des barbares sur notre sol.

    http://www.fdesouche.com/943243-procureur-molins-difficile-de-savoir-revenants-ont-garde-leurs-convictions-jihadites

    La France n’a rien à espérer du retour de ces barbares. Ces djihadistes sont les terroristes de demain. Ne soyons pas leurs complices.

    Les traîtres ennemis de la France, qui haïssent nos valeurs humanistes, peuvent très bien se passer de notre pitié et rendre compte de tous leurs crimes devant la justice irakienne ou kurde.

    Ce n’est plus notre problème, puisqu’ils ont abandonné et trahi la France pour la combattre.

    Aucun de ces combattants de la terreur ne mérite notre pitié. Pas de revenants !

    Jacques Guillemain

    Riposte Laïque

  • Accusé de plusieurs viols, l’islamologue Tariq Ramadan vient d’être placé en garde à vue à Paris

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    12h56

    INFO RTL – L’islamologue suisse est entendu depuis mercredi matin à la Police judiciaire de Paris dans le cadre d’une enquête pour viol.

      

    Tariq Ramadan, le théologien musulman visé par une enquête préliminaire pour viol, a été placé en garde à vue mercredi 31 janvier à la police judiciaire de Paris. L’islamologue est visé par deux plaintes pour viol, déposées fin octobre 2017. L’une par Henda Ayari, une ancienne salafiste aujourd’hui militante laïque et féministe qui l’accuse de l’avoir violée un soir de 2010 dans une chambre d’hôtel alors qu’elle venait demander des conseils religieux. L’autre par une femme de 40 ans qui a souhaité rester anonyme et qui a déposé plainte pour des faits qui remontent à l’automne 2009.

    (…) RTL